samedi 1 août 2009

Objet : complément de plainte

Objet : complément de plainte

Monsieur le Procureur,

Je soussignée Melle Line Llao, vous prie de trouver ci-jointe la plainte contre X que je dépose.

Complément de plainte 3 :

Agents au départ conditionnants ou conditionneurs des cités, lotissements et Hlm publics et privés, inattaquables, rendus invincibles au nom de l'action de leur parti qui les couvre. Dont à priori celui de Le Pen. Battant les campagnes selon les lois de la loi du tapage. des périodes de vote, ceci constamment; faisant vivre un calvaire à des infirmes et inactifs, jusqu'au conditionnement de femmes battues, filles violées, prostituées, prisonniers d'opinion sur lequel peuvent se dérouler quotidiennement et nuitamment, parties de snurf et de viols avec violences autrement dit tournantes. Avec l'aide et l'appui de chefs et personnels d'établissements pénitentiaires, psychiatriques et organismes affiliés, réseau créé sur le pays et la région depuis les années 50 qui a fait les gorges chaudes des populations depuis ce temps, dans tous le sous-entendus y compris argotique de la langue. Devenue idiome de secte sur se sujet.

Meurtres sur ordonnance détruisant le fait, délais de justice saisie pour tentatives répétées de meurtre, assez long pour que le meurtre soit accompli. Trusts de matériel nouvelle gamme de neurochirurgie et de neurologie, ainsi qu'arme ne nouvelle convention, avec à la clef enrôlement forcé du cobaye désigné pour travailler tous STO et étiquette de la démence mentale, sa seule rémunération, l'argent gagné du profit des études ainsi pratiquée s sur la personne désignée, revenant aux mouchards et surveillants de principe de cette étude dite médicale. sous peine de placement d'office si la victime de ce trafic en réseau, résiste un peu trop ce qui lui vaudra maintes représailles les concernant sans devoir pour eux de se sentir concernés, et violences physiques, à actes de tortures pratiquées de main de ses bourreaux à l'aide précisément des instruments d'étude, ferme d'abattage et de travail obligatoire dites chantiers, mis sous couverture et surveillance médicale, psychiatrique, de médecins corrompus à très véreux, truands autant que proxénètes.

Ils auront voulu m'euthanasiée ensuite par la force de la violence et la mort violente subite, pour avoir trop usé et abusé de moi. Ou la mort, ou l’injection, létale ou à force d'injections, pour certains et certaines, ou la tentative répétée sans fin d’exécution sommaire, ou l’hôpital, ou la clinique privée de leur choix, afin que quelque personnel et système de profit en tire profit juteux. Groupements de lobbies perpétrant ces attentats, pénétrant de démarcheurs dans voisinages, les dérangeant sous la menace, s’imposant au nom d’un département psychiatrique d’un droit de secte et de passage illicite en fait, s’imposant de représailles tant que la rançon exigée ne sera exécutée, ou le décès.

Le racisme le doux nom du fascisme

Et la peine de mort passe incognito aux yeux de chaque concitoyen de français. Electrodes dans le cervelet droit si je ne calme pas quand on m’exécute. la prévention dans ce cas se limitant et résumant à la peine de mort par exécution sommaire après mort lente, ne serait ce que par surajout de toute matière cancérigène et méthode médicalement mortelle, fortement irradiante et de ce fait cancérigène.

Employés contrefaçon des Services Secrets, employés à ne se faire voir, si ça continue l'on va les peindre avec la peinture référant la lumière du dernier Phantom, afin que chacun de leurs visité se croit hanté, sa conscience mis en dont autant par autrui que par lui-même, effectuant des tours impensables, gaspillages de vies humaines et animales à décimer des familles de maladies mortelles déclarées héréditaires, dont le cancer poussé jusqu'au cancer généralisé. Absorptions quotidiennes de produits radioactifs, métaux lourds ayant causé la mort, ingérés dans nourritures et boissons, de plus d'un espion, dont un dernièrement en Grande-Bretagne, en plus du dirigeant assassiné à la Dioxine. Je crois qu'actuellement, c'en est bien le cas pour moi. employée contre mon gré par les services secrets depuis les années Mitterrand par la force et sous la contrainte de devoir mourir d'une façon ou d'une autre, je devais reprendre du service, promis, après période d'invalidité accordée.

Missions impossibles en aveugle, employée au renseignement donné et devant tirer à vue sans réfléchir, causant décès probables immérités, car inexpérimentée et utilisée à l'arrachée, soulée de traitements causant une ivresse à tomber, torturée à devoir, prise d'erreur et d'affolement, supprimer père et mère et qui me serait désignée, homme de paille que j'ai et manipulée par la torture des plus douloureuses et cause de souffrances innommables pouvant conduire si prolongée durant des années à sombrer dans la démence pure, d'où chez moi l'appellation prématurée de démence, après un passage dépressif vers mes 19 ans, suivi de l'étiquette de toutes les démences, ayant servi à me faire travailler gratuitement au nom de la société, en tant qu'adulte handicapé, rémunéré par allocation d'état pour ce fait, prostituée parfois, d'Etat servant tous les emplois de bas étages contrefaçons de la DST. Sans, ainsi que dans certains films, pouvoir réussir à savoir par qui exactement, ni à en voir un seul de visu. Procédé Mirage, technique élaborées qui devient à la mode.

Déments employés à la petite semaine pour opérer missions en taupe aveugle, sans savoir, tant irresponsables obsédés mais obéissants et capables d’obéir à la lettre, ignorants, ce qu’ils causaient, employés tels chiens de guerre doberman ou dauphins tueurs à l’explosif de guerre dans des buts de suppressions après fortes intimidations. Au dernier moment, ils n’avertissent pas. M’oaurnt lâché les chiens. Ils mordent à longueur de temps plus qu’ils n’aboient;

Mise en vigueur depuis les années 40. Menacée de mort dès mes un an, ayant vécu la mort toute ma vie, sous cette évidence de l’éducation dans les services secrets. Sacrifiée à ma tâche de devoir survivre, ils auront décidé de m’abattre, réticente à reprendre du service, refusant l’amnésie, ou la mort, pour le simple fait que j’en sais long.

Mise en demeure de mourir depuis que je suis née, pour d'après ce qui dit et rapporté, une bourrique d'employée de la DST qui m'a prise pour quelqu'un à la naissance, de 30 ans. tout pour se débarrasser du bébé, que survivant encore malgré les tentatives répétées de suppression sauvage, je me reproduise. Asile usant des services généraux pour m’exécuter, de mort lente et assidue. au cèpe et au morille mortel, autrement-dit l'amanite phalloïde en fonction des amours. œuvre parait-il du père, encore en vie de s'être tant fait , toujours en liberté, punir.

Assassinée de mort lente et assidue. au cèpe et au morille mortel, autrement-dit l'amanite phalloïde et le bolet Satan, reçu en paquet cadeau un jour de guerre froide anté-guerre du Golfe, années 85, en fonction des amours. Œuvre parait-il du père, encore en vie de s'être tant fait, toujours en liberté, punir. Plusieurs fois je l'aurai sauvé de la mort, il ne le sait, de la peine d'euthanasie anticipée à son passage dans les années 87, torturée à mort pour l'exécuter. Il fallait ne le dire. Je risque de décéder sous peu.

Affaires de meurtres déguisés en accidents et maladies mortelles, dans la famille. Le pays obstrué de ces crimes parfaits obtenus à coups de crimes contre l'humanité, crimes politiques, parfaits.

Pilule faiblement radioactive posée délicatement sur coin de commissure, pendant le demi-sommeil.

Les victimes principales de ces crimes inculpées de ce trafic de traite des blanches, de patients constitués, de drogue et de tests d’appareils de technologies nouvelles et nouveaux produits pharmaceutiques et nouveaux produits du capitalisme pour vérification de leur nocivité sur le corps et l’esprit, accompagnée de réquisition de personnes repérées par ces trafics dès les premiers jours de leur vie, rémunérées pour un travail qu’elles sont sensées fournir auprès de la société, d’opérations et soins à domicile palliatifs aux dégâts physiques et chez certains également mentaux, causées par des erreurs thérapeutiques d’étudiants se faisant la main sur eux, d’appartements mitoyens aux leurs (d’où les affaires de voisinages chez les prétendus schizophrènes en fait prisonniers du trafic et principales victimes de cette fraude), sous les symptomatiques et apparences de la symptomatique de la démence ensuite vite acquise et traitements de la dite de la démence, devant travailler sous le joug de la torture après du viol thérapeutique et du chantage à main armée, à tout usage que ferait la Médecine de leur corps, légué ante-mortem à tout type de médecine e de trafic qui en découle et voudra l’y employer, pour études de cas allant jusqu’à essais de lobotomies, servies ensuite à titre d’arme contre la tempe, dans braquages de sujets et en partie d’étudiants soumis au tutellat de particuliers et familles entières mêlées à ce réseau, repérés par la fraude, pour servir de cobayes et rédiger en tant que nègres d'écrivains, (pour ma part j'ai servie de nègre à mon insu durant ces dernières années à des quantités d'écrivains, dont la collection entière des Editions du Champ Social, Philipe Claudel et un certain Mr. Couvhennes) en surcroit des opérations constantes, à des thèses d’étudiants de l’Uni ou du trafic, de partis de tous bords, surtout communiste-stakhanoviste et stalinien et nazi. Étudiantes ou fausses étudiantes en raquet permanent auprès de ma personne, braquant ma tête ou tout autre organe de mon corps de ces armes de poing nouvelle convention ou instruments de soins médicaux encore en test sur ma personne, et mon organisme pour parties d’amusement sur personne déclarée handicapée et voulue vulnérable pour plus de facilité avec actes de chirurgie et de neurochirurgie à l’appui, dignes de parties de snurf américaines ou asiates. Suivie s de revanches et vendettas si le sujet se rebelle, puis après que la médecine et ses complices dans la population en ait eu bien usé, organisation sous la contrainte du silence assermenté sur l'affaire, de la suppression programmée des victimes du réseau au domicile même, sous es mêmes violences arbitraires et exacerbées ad mortem ou en placement définitif jusqu’à ce que mort s’en suive à l’hôpital.

Séances d'électrodes ou de heurts avec armements. Pratiquées sur tout lieu de vie, de résidence ou de circulation. Tout fait dénoncé y compris par autre personne que le condamné, reproduit sur lui. Chaque agression subie par lui lui étant condamnée de séances supplémentaires sur sa propre personne. Plus lui-même puni, plus puni il sera pour les saines réactions à ces tortures, l’induisant à se révolter jusqu’au massacre physique de sa santé et de sa personne, dans une montée de la violence issue de la simple attitude perverse et d’autrui à son encontre, menée de violences policières à violences psychiatriques jusqu’au fascisme si ne serait-ce que cité, le prisonnier, dont moi-même, passé de simple réflexion à agression verbale, aux armes des faisceaux, et les pratiques des Faisceaux. Constituée moi-même de ces armes armements militaires de type nucléaire et méthodes totalitaires personne vulnérable antécédemment à tout placement, personne dite et reconnue faible, en fait de ces traitements imposés et pratiques illicites de la médecine à tire préventif et de dédommagement réparateur, par pur accès de vendetta ou volonté de nuire, ne serait-ce que sur affirmation abusive de l’aristocratie d’un Père (de qui le veut) vécu et accepté gourou dans l’assentiment de toute une population, même adverse.

Phénomène de la chambre à domicile faisant mériter au prisonnier le diagnostic de démence schizophrène pour son isolement obligé, l’enfermement thérapeutique de son cas, ses luttes et combats exaltés des traitements mortifiants et dégradants précités, toute personne causant troubles de l’ordre public privilégiée, ses ou sa victime tabassée, opérée en soins intensifs à domicile sans autre forme de procès que cette forme nouvelle de l’Occupation, neutralisant les terrains neutres substitués aux pouvoirs dominateurs par les armes des plus fascistes, victimes dépossédées de leurs biens ensuite réquisitionnés par organismes de tutelle tels L’UDAF qui plus nazis que les nazis, tabassent et réopèrent jusques dans leurs locaux même, dans des traques à l’homme des bois sur leurs personna non grata fichées dans tous les établissements pénitentiaires, faisant accroire s’il le faut à PO encore en vigueur pour opérer et lobotomiser à souhait tout récalcitrant à ses « autoritarismes » totalitaires et de rigueur. Il fallait que rien n’en transpire sauf le prisonnier de rigueur lui aussi, bouc émissaire de ces fantoches et hommes de pailles du pouvoir de la dictature plébéienne populiste du et lumpenprolétariat. Dans la loi de mise en épingle sous mise en épingle du sujet, du fait futile qui tue et le tuera.

Vous confectionnant en employée administrative de la DDASS, enquêtrice de leurs services à la bouche pâteuse et asséchée, légèrement abêtie telle que dans les administrations on les aime, et qui de sa bêtise profonde et de son incapacité intellectuelle avérée, n’inquiète là plus personne. Contamination volontaire par passages à tabac constants jusqu’à la baisse des défenses immunitaires augmentée par l’usage abusif et illicite de traitements médicamenteux, jusqu’à l’infection virale de l’organisme ou par introduction d’urines et crachats contaminants d’infections en vue de me faire réclamer des antibiotiques destinés eux à soigner l’hypothétique infection résultante des lobotomies er actes de neurochirurgie illicites de médecins et neurochirurgiens corrompus appelés par maniaques et obsédés de la résection cérébrale à titre de matraquage de l’idée de gauche, pratiquée, à domicile, à peine mon identité physique et son aspect (voulu uniquement par l’artifice de dits soins, pratique de soins illicites à domicile), ma constitution naturelle et la grosseur de mon cerveau revenus, ainsi que la qualité des récits de mon esprit, donc, de ce cerveau si la pensée pour certain reste immatérielle.

Pressions physiques. Remises aux autorités pour manque de répondant aux provocations de partis fortement adverses et armés en conséquence, commettant violences morales et physiques mutilatoires graves par pur esprit de provocation. Puis leur fascisme augmenté des ardeurs et effets de l’alcool les enivrant, infliction de leur part d’effets de justice illicites et non déclarés en jurisprudence, tenus pour hallucinations sensorielles dîtes cénesthésiques, jusques dans procédures qui succèdent aux effets des précédentes, effet de Noria sans fin..

Ensuite, infliction au cours des parties fines précitées, de traitements non officiels donc officieux, précédant l’injection retard mensuelle vécu par la population forme d’exécution publique revendiquée ou sue, et confection à l’électrode d’électrochocs de multiples sortes et variétés, passant du courant déphasant mettant le corps et le système nerveux en loques, dit apaisant jusqu’à la prostration du prisonnier d’opinion, aux courants dits revissant et coups de fouet, dynamisant sur le plan de la tonicité musculaire, pris pour simples toniques musculaires, dits psychodynamisants à causer le meurtre du forcené ainsi obtenu, maintenu sous courant de séances continuelles, effet surajouté et augmenté jusqu’à son paroxysme, parfois encore s'il a résisté (dénommé se résister) le meurtre du condamné sur autrui ou son assassinat, des effets surmenant au comble du surmenage, de substances chimiques neurosurexitants de médicaments tels Prozac, Tranxène, Stablon, Electrolytes, infligés au cours de parties fines à scènes de violences de type violences conjugales de ces messieurs et dames en rut d’assassiner, violences constantes que sont les séances d’électrothérapie ou pratiquées à travers étages par appareils à rayonnement nucléaire, de faible à fort, représentant un danger de cancérisation du sujet en sus de son alimentation forcée à base de malbouffe cancérigène à base de féculents, sans légumes ni fruits, appareils usités en contrefaçon d’appareils à électrochocs, ou contrefaçons d’électrodes...

Vieux barbons se réclament Pères de famille en messes noires de Frères du Roi et commandos d’accueil envers individus choisis de la société pour leur lucidité sur l‘affaire, les opérer de mutilations cérébrales au cours de fantaisies au pas de charge entre amis du fascisme des deux extrémismes et leurs renforts. Tentatives totalitaristes de déstabilisation mentale de l’individu de gauche en dissidence de factions fascistes des partis de la gauche, dissident de l’extrême droite, donc en électron libre, donc incontrôlable et devant décéder dans l’hystérie sociale organisée en émeutes sanglantes et chasses à l’homme préméditées. A confection du handicap au domicile de la personne choisie par la populace, jusqu'à sa résection ou lobotomie, sur le type de courbe de Gauss requis d'orgies mussoliennes à gavages au lait de chamelle en guise de charivari envers nationalité ou origine maghrébine de l'amant, d’une relation ou du concubin ou d'une connaissance du sujet, selon le film de type 1900, le film. Jusqu'à l’assistanat politique ou l’assassinat par représailles.

Les handicapés physiques et mentaux, pour un problème intime qui doit être et rester le leur, de caste de race face à face à celle assermentée, de vieux pères fouettards bourreaux de petites filles, matons des cités aux aguets en expéditions punitives organisées, vieux porcs intervenants de résidences et psys tracassés de services en virées, devant se fréquenter, copuler et marier entre eux, sous une société policière et de surveillance pétainiste vichyssoise prête à tirer de ses tireurs d’élites et plantons fascii d’HLM résidences et lotissements ou de quartier selon le pourcentage de ces factions sur le terrain, sur le premier qui sera dénoncé par mouchard de fonction. S'amusant au départ lui même à tirer des armes mises par les services spéciaux français à tirer par pure provocation dans la nuque de l’électrode fatale ou du faisceau nazi en leur possession sous le simple prétexte qu'il a bu. Fait très toléré des asiles psychiatriques, qui rangés du coté des assassins de la pègre fascii et totalitariste, asiles eux mêmes peuplés de personnels médicaux issus de la pègre de la plèbe mafiosi, encouragent à la délation pétainiste du manquement au paiement de la redevance ou de la facture d'électricité, et jugent qu'il est normal et de bon ton de tuer par provocation, amusement, ou toute autre raison. Instituant le fait de répresser par les électrochocs ou la lobotomie toute personne qui subira ces types de violences et tentatives de meurtres à but de provocation policière.

Introduction au domicile conjugal de présupposés en PO sur délation mensongère, perquisitions constants jour et nuits de ce domicile, effectuées dans le but à effet mirage, selon les techniques identique de camouflage des avions Mirage, à causer des troubles divers chez les locataires et occupants des logements en questions, sans que ces personnes ne puissent s’apercevoir de la présence d’intrus dans ces lieux de vie, courses poursuites diurnes et nocturnes dans les mêmes conditions, l’enjeu étant que les services spéciaux souvent, employés de CHR, jouant les pires tours en vache et farces nazies, dites dans ces cas Jung, farces et attrapes fascistes destinées à provoquer des maux et les hospitaliser chez les particuliers tenus pour contestataires. Fait dénommé se poser en victime.

Tirs croisés à vue de leurs bandes armées de manifestants pour des besoins collectifs de torture, tirs entrecroisés des tireurs d'élite de style Services Spéciaux aux faisceaux contondants, armements d'infanterie légère nucléaire de l'armée de terre (cf.site internet d'Amnesty International sur la libre circulation des armes) distribués dans le pays à individus aptes à en user, mesurés pour blesser froidement plus que tuer, pouvant torturer à satiété par pure intimidation, à ne plus savoir où vivre ni survivre, je ne m'en suis pas sortie indemne.

Séances d’électrodes conduisant à la folie de la femme du Dernier Empereur. Le film. durant la semaine de sensibilisation d’Amnesty International, auprès de qui je cotise et dont je suis membre depuis peu de temps, association dont chaque démarche m'a été reprochée des tortures de chacune des tortures qu'elle a eu dénoncées, séances d'électrothérapies à l’occasion aussi du passage de Rachid Abadie dans la ville, précisément, et cela est fort possible, dans le commissariat auprès duquel je loge, ce qui m’a valu de me heurter à tout un service de l’ordre et aux pratiques de ses services spéciaux ; prétexte, ante-interventions musclées et plutôt électriques, à intrusions à mon domicile privé destinées à m'immobiliser de l'électrode pouvant être fatale tirant à bout portant dans le cervelet droit le temps de sa visite et prétexte stipulant que j’étais encore en PO, sachant que tout PO devra servir de bouc émissaire et tête à claque à ce pouvoir, je ne suis plus dans ce type de placement depuis 2003, et la guerre du golfe des années 80, durant laquelle j’ai bien failli me faire écraser par un char de manœuvres dans la ville, empruntant la rue de mon logement, le rite persiste de me tirer dessus, braquer de tireurs d’élites surveillant jusqu’aux hôpitaux. Soins intensifs illicites à domicile et falsifications de témoignages dans constitutions de dossiers.

La ville entière de Montpellier ne fonctionnant que de cette fraude, envahissant la région et combattant tout maire qui s’y opposerait, certains plus royalistes que le roi, la Médecine entière impliqué dans le trafic, sauf quelques rares opposants, vite réduits, se heurtant à un système de corruption du plus puissant et meurtrier.

Mes électro-analyses d'années durant de ce sévice psychiatrique pratiqué à titre d’interrogatoire DST à Penthotal (sérum de vérité, torture psychiatrique depuis les années 80, jusqu’à causer la mort par attaque cardiaque si interrogatoire trop poussé) sous ce type d'armes servant dans toute attaque rituelle de ces partis à idées fixes, m'exigent un travail gratuit, et analyses synthétiques ou synoptiques de la situation du pays, que je maintiens malgré toute torture et toute répression, jugées propos dangereux, de dangereux.

Infliction anticipée de la peine de mort et l’exécution sommaire, passant en force en France de nos jours, sous la dénomination de l’infliction du soin à titre préventif d'une peine d euthanasie pour les crimes et exécutions les plus inavoués. Peines de mort, suppressions ou exécutions sommaires de prisonniers politiques constitués par la population et la médecine, devenus objets de trafics sur le territoire français infligées par imposition de traitements médicamenteux jusqu’à l’empoisonnement du corps et bien avant de l’esprit, mort lente au cours de la quelle la personne, impuissante à cette exécution, se voit mourir et décède dans d’atroces souffrances psychologiques, mort douce après tentatives répétées et jeu de l’infliction de la mort violente, après une vie de tortures physiques à mort si le suspect ne bouge, ne répond ni ne bronche. Laissé en vie uniquement s’il admet de retravailler, ou souvent reprendre du service réputés pour simuler la DST. Téléphones sur écoute avec orientation des appels vers destinataires par le pouvoir choisis.

Dans une ambiance de Folies du vieux Montpellier et à l’heure actuelle, de petites gens impliquées dans les affaires de mœurs du gratin, de la société bourgeoise et de l’aristocratie féodale médicale en vigueur de nos jours, issue de la vieille aristocratie des villes et villages alentour, régnant sur toute ville et région du pays au nom de la substitution précisément à ces fêtes et orgies à blocs opératoires (parties de violences gratuites et politiquement engagées) à base d’opérations et tortures médicales mutilatoires, substitution des victimes de cette fraude dans un Jeu de massacre d’Ionesco. Sur Femme émancipée même apolitique, ou homme libertaire. Sur les conditions d’attaques armées de Brigades Rouges des Camps Mao et des interventions, médicales à nos jours, de la gestapo.

Gestapo en milices armées ou brigades rouges en intervention jugées non responsables de la violence urbaine donc jugée moi-même en irresponsable du fait pour l’avoir subi, les avocats du diable de ces petits marquis de Sade ayant profondément joué sur les mots ces dernières années, pour toute plainte que j’aurai déboutée, à contumace. Mon métier ne revenant qu’au travail de déboutement de profusions de plaintes commises en harcèlements délations sur délations mensongères concernant ma vie privée, que je travaille ou pas, de façon rémunérée ou non, plaintes délatrices de type Vichyssois auprès de services sociaux et médicaux affectés des populismes des deux extrémismes adverses politiquement, chargés de résoudre les affaires rejetées par des juges en mal de m’imposer jusqu'au meurtre sur ma personne les faits au centuple de toute dénonciation des faits que j’aurai commise sous les tabassages violences et exactions jusques dans les moindres lieux et instants de ma vie intime..

Groupes de pressions Qui au nom de leur travail de lobbies, des grands trusts capitalistes, interviennent jusques dans les moindres accès à la vie intimé et quotidienne, afin de régler d'hypothétiques problèmes d'impayés soit sur accusation mensongère, soit pour de réels impayés. Causés parleurs agissements et ils sont réels. Agressant des victimes les yeux rendus borgnes et le bon rivé sur le porte-monnaie, à ne devoir plus vivre qu'ainsi de ces pousse au crime, en état de ri atteint de lèse-majesté au moindre aveu extirpé de ses victimes, leurs cris étouffés des lobbies des établissements psychiatriques et pénitentiaire afin de les exterminer, ces victimes, en tout silence, qu'aucun cri elles ne poussent en cas d'exécution le plus souvent sommaire si ces lobbies décidant préventivement à toute dénonciation de leurs actes, de les assassiner.

Pratique rituelle de la torture (sous le prétexte du devoir prétendu de l'amour et de la sexualité hétérogène chez tout individu) sur les individus émancipés de la société française pour cette cause du plaisir solitaire, pratique de son interdit (cause de l'obésité en France et dans le monde) aux méthodes très pérennes, excessives et répressives aussi connue et maintenue taboue et tue mais sue aussi connue que l'excision des femmes en Égypte. la femme pour cet usage libre et non soumis à l'obligation, de son sexe, vécue petite fille. Donc dépourvue autant qu'enfant de conscience, de la Raison, de la Raison d'État donc, et donc folle, à traiter des mesures très répressives et tortionnaires de la Raison d'Etat. Équivalent dans la population masculine. Obligée elle à rester population que je désignerai de maculine, ou maculée de ses maculations.

Sinon clitoridectomie directe, existe une forme dérivée indirecte encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, l’innervation du réseau nerveux de l’arbre des ramifications nerveuses de l’organe clitoridien dans le corps et même le visage par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps. Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certains enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, ainsi que multiples zones érogènes dont celles du visage, d’où le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacies. Infligée sur personnes attachées pour ces faits. Pratique qui m’est périodiquement opposée à tout commentaire que je ferais de l’affaire.

Accusée d’hystérie pour l’hystérie collective de certains en mal de se venger de mon inactivité due à l’infirmité voulue passagère chez moi, et donc sujette à des résolutions expéditives scientistes des plus éculées concernant le mal de pureté et donc l’hygiène des jeunes femmes encore capable de posséder leur nuptialité, leur fécondité et les sens de l’Amour. Nuptialité des femmes qui selon ces mêmes personnes causeraient mon inactivité et m’empêcherait de retravailler, et considérée virginité autant que perte de l’hymen par des rites populaires repris par la psychiatrie de façon des plus tutélaires despotiques, paternalistes à dictatoriales, amenant à la castration définitive après excision nerveuse de l’appareil sexuel sur ordre d’un père de famille qui le voudra, au nom de psychiatres invétérés pour la pratiquer, afin que je ne sois plus aimée de ni capable d’aimer plus aucun amant.

Privée de mes droits, libertés individuelles et infirme de ces faits, exactions commises au nom de la loi et de psychiatres en état de barbouzes se disant représentants de l’ordre induisant des petites gens et leurs malades au meurtre, à la crise de folie dangereuse ou violente....

Plainte issue de mon dernier manuscrit encore inédit « judas, Lucarnes et œilletons, Mégères ou le baiser de Judas », présent sur le site du blog : htttp://linellao.numeriblog.fr/eclipse/, live dans lequel je retrace l’affaire depuis son début, dont la rédaction a débuté dans les années 90.

Dans l’attente de votre réponse, et vous en remerciant par avance,

Je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations

Line Llao

Montpellier, le 03-05-2009

Complément de plainte 4 :

Monsieur le Procureur,

Je soussignée Melle Line Llao, vous prie de trouver ci-jointe le complément de plainte suivant contre X dont la locataire logeant dans l’appartement au dessus du mien à la nouvelle adresse indiquée, pour récidive à ce sujet:

Ayant changé d’adresse et de domicile depuis le 5 avril 2009, je me trouve à nouveau assaillie par une bande de trafiquants et de délinquants dépendant apparemment de mes anciens logements dont le dernier situé à la Paillade, individus dont certains malades mentaux dont l‘affection due aux toxiques, l’alcoolisme et l’ignorance à la limite de l’arriération mentale qu’induisent leurs addictions en particulier pour l’extrême droite jusqu’à l’illumination, représente un danger pour la vie et la santé, trafiquants qui se disent officiellement mes partenaires sexuels, concubins, amis, compagnes (me faisant passer pour une de leurs vieilles bisexuelles ancienne fonctionnaire orgiaque et barbouze à souhait aimant les parties fines, qu’ils seraient sensés punir pour sa perte d’autonomie qu’ils me veulent, en la matière également) et compagnons afin de mieux avoir accès à mes logements et dossiers médicaux destinés à me tenir, raqueter et faire chanter, armés de leurs médicaments qu’ils fourrent dans mes cafés, et des armements de leur trafic, qui pour à mon avis les raisons suivantes et la vengeance envers tout soin, et refus strict pour eux qu’ils puissent devoir se soigner, m’encerclent depuis janvier 2007 d’une constante surveillance et de violences physiques et mentales quotidiennes, répétées nuit et jour sans relâche, sauf rares répits, je les accuse de :

Recel et possession illicite d’armes non conventionnelles illicites, sortes de pistolets et armes révolvers à faisceaux laser et d’autre nature, micro-ondes ou irradiations, certains engins dénommés convecteurs à agitation moléculaire etc., armes non classiques issues de la technologie de pointe militaire, parfois vraiment médicale ou industrielle, récupérées au titre d’appareils de soins par la médecine psychiatrique afin d’en créer maladies physiques et affections de toutes sortes dont les signes apparents la démence apparus sous la torture systématique causées par ces armes, parfois armes blanches destinées à la neurochirurgie et les multitudes de lésions corporelles induites et provoquées, cancers, arthrites, affections neurologiques, tares chez fœtus, dont pieds bots, victimes pouvant servir de chair à canon pour marchés de soins médicaux à en revendre et tirant profit de l’ existence, de l’utilisation constante sur la moitié de la population de ces appareils et engins de petit et moyen calibre, de main d’une mafia en bandes qui s’en arment, usent de victimes pour se faire la mains et s’entrainer à torturer, affecter de maladies et affections chroniques sur elles au cours de prétendues études, mafia hiérarchisée qui règne sur la région, voire le pays, en maître. Atteint jusqu’aux personnels administratifs, voire, personnels hospitaliers et médicaux de cliniques. Usant des familles des victimes ou de ses relations, ignorantes du fait ou incompréhensives et restées bornées sur le sujet, en tant qu’arme de confiance et moyen de pression supplémentaire sur ces victimes.

Armements de récupération testés sur patients et personnes rémunérées sous l’étiquette de la démence pour ces tests qui vont jusqu’à leur coûter parfois la vie, leur assignation à une torture systématique préventive à un enfermement psychiatrique en cas de non soumission totale ad mortem à ce principe ou légère rébellion, incarcération officieuse et illégale destinée à s’acquérir preuves indéfectibles de la maladie et la parution des signes apparents de la folie incriminée.

Par apartheid, proxénétisme, brutalités barbares de basses classes indigentes en lutte de classes mal assimilées, tentées par la dernière vague fasciste, et crêpages quotidiens de chignon d’ignorants et ignorantes en mal de saccager, massacrer et étêter l’élite des classes moyennes, violences de classe accompagnées de trépanations, opérations neurologiques, neurochirurgicales sauvages du cerveau, de type scientiste et organisées par bandes armées non habilitées pour pratiquer ces opérations et surveillance d’imitation pseudo-médicale (donc en pratique illicite de la médecine, se donnant un rôle qu’ils jugent de première importance compensant leur déchéance de basse classe ou bas niveau, de personnel infirmier auprès de ma personne), et de viols avec violences par blessures dans des zones génitales et cérébrales du crâne, ainsi que par le plaisir causé de l’épilepsie, avec tout instrument qui pourrait s’assimiler aux effets du poste à soudure infligé jusqu’à l’épilepsie, envers une femme émancipée de gauche qui présenterait les signes du délit d’opinion qu’elle fait envers toute personne s’affirmant de l’extrême droite et du front national, ou même d’obédience laïque de gauche, partisan qui assimilerait par effet de la paranoïa de son cas, la différence d’envers soi avec la maladie mentale, et faisant l’amalgame avec le délit d’opinion.

Que serait celui de publier ouvrages et œuvres d’art ou culturelles sans se prostituer avec voisinages attirés par le profit envers une personne isolée et choisie pour ce fait par eux sur critères sélectifs bien déterminés en fonction de son opinion, de son degré, type et niveau d’activité intellectuelle, de ses origines, et encerclée de leur omniprésence, qu’ils destinent à leur trafic de médicaments, de drogues dures et douces, de femmes et d’hommes, des armes précitées et autres armes de poing souvent nucléaires, de courte portée, environ au maximum pour certaines de 5 à 500 m de portée. Pouvant à bout portant si non réglées, cogner, tuer, parfois réglées pour simplement blesser et donc torturer, des douleurs dues aux lésions internes invalidantes causées. Protégé par les hommes politiques et les autorités voulant que cela se passe sans heurts ni ne se sache et soit tu, les services médicaux, juridiques et sociaux. Jouant avec l’exécution sommaire, l’infliction de la mort violente, brutale, subite ou lente, qui passe le plus inaperçue et attribuée à des causes génétiques ou de maladie endogène dégénérative grave.

Trafic de proxénétisme lié à la prostitution gratuite que ces bandes liées elles à une haute hiérarchie dans le gratin médical de cette ville, voudrait me faire vivre, et à laquelle elles voudraient m’habituer d’abord en douceur mêlée de violences physiques et mentales, puis dressée par ce stratagème, par la routine et le laisser faire de ma part contre ces contraintes, je devrait céder à la demande, subconsciemment entraînée de tortures, sévices qui devraient m’instituer les lois de ce métier, bande qui voudrait m’y condamner sous peine de soins illicites à domicile, sous peine si je ne résiste à en faire trop de bruit de mes capacités intellectuelles à fréquenter et à être des artistes, sous peine donc de placement, d’abord eux cherchant auprès de mes anciens entourages et univers relationnels à me placer par tiers, puis en cherchant le placement volontaire, auprès de ma famille qu’elle s’accoquine, réellement sollicitée et harcelée par cette bande qu’elle préfère à toute preuve de sincérité sensée de ma part.

Bande qui se dit relever de l’autorité d’un certain sergent, d’un Serge, d’un Pierre qu’il avouent être Mr Vidalva, gérant d’établissement psychiatrique du secteur deux de santé mentale de l’hôpital psychotique de Montpellier, et qui me voue depuis que je l’ai connu, une haine maladive et très discriminatoire, falsifiant et médisante, mensongère et fallacieuse, presque perverse et due à une profonde jalousie envers ma jeunesse et tout acte de conscience lucide ou de preuve d’une quelconque intelligence que j’aurais et décelable en moi ou dont je ferais montre, et d’un Mohamed que je suppose de la Paillade, lieux de mes derniers logements.

S’introduisant à mon insu dans mes appartements successifs, ils déposent dans mes cafés de quoi m’assommer, neuroleptiques puissants, barbituriques et somnifères, attendant que leur effet ait agi sur moi, puis entrent à nouveau, une fois que je suis les yeux fermés, incapable de constater leur présence, et abusent de moi ou pratiquent à mon encontre les soins qu’ils veulent s’assurer de m’infliger, soit par pure vengeance envers mes attitudes d’indignation face à leurs pratiques, soit par vengeance envers toute action en justice que j’aurai tentée envers eux, et là faisant entrave à la justice de soins illicites, parfois pratiqués à titre d’orgie répressive, accompagnées de viols correctifs à appareils à électrodes ou les simulant, ou viols dans mon sommeil de médecins profiteurs, ils triomphent de toute entreprise de me défaire de leur pouvoir, totalitaire à mon encontre. Dans un duel que chacun des médecins qui m’aura traitée pour précisément l’existence de ce duel, aura négligé, loupé, délibérément ignoré s’ils n’en ont pas usé également à mon encontre.

Madame Louise Pelard, un certain Guy, Michelle, jean Poperen, Jean-Louis Palacio, leur équipe du Saint–Guilhem ou dit pavillon 9 de l’hôpital de la Colombière, font équipe avec des inspecteurs protégeant les crimes contre l’humanité commis et propagés dans la ville par cette équipe ancienne du Dr Ribstein, décédé à ce jour, remplacé parle Dr Montalti, pour fustiger mes envies et besoins nécessaires à ma survie, de faire appel à la justice ou à quelque aide qui soit, m’ayant torturée depuis janvier 2007 de toutes les façons inimaginables, pour connaître le nom de mes compagnons, afin je le suppose de les travailler pour obtenir d’eux placements par tiers, intimidations envers ma personne sinon complicité avec eux, sous peine d e ravages pis que ce que j’ai subis et subis encore.

Au départ dans les années 80 sur l’exigence d’Anne Azaiez, homosexuelle apparemment bisexuelle parfois, malade du secteur du Dr Brès, de son équipe, celle du Dr Ribstein en fait, et du Point de repère, antenne du secteur 2 de maladie mentale du CHR de Montpellier, et son ancien compagnon Jeddi, elle s’appropriant mes anciens concubins et leur haine devenue monstrueuse envers moi après ses interventions auprès d’eux, Melle Azaiez qui me poursuit dans chaque logement que j’habiterai et se trouve logeant dans toute résidence où je trouverai appartement à louer, depuis quelle m’a délogée de mon studio rés. Porte de Belvézet, avenue de la Justice de Castelnau, à Montpellier, où je l’ai connue, elle voisine avec sa faille, mitoyenne de mon logement, encastré dans le sien, ce qui a servi ses persécutions, tortures, exactions violentes et maltraitances continuelles dont elle me poursuit, elle et sa band, depuis ; m’attirant haine et scandales depuis les années 1986, en compagnie de sa bande et d’une partie de sa famille, revanches à la moindre de ses hospitalisations ou soins de ses amies, droguées, éthyliques autant qu’elle, maniaco-dépressive à tendances schizophréniques, tendances à cette symptomatique dues à son usage des toxiques hallucinogènes, alcool et dont la poly toxicomanie entraîne chez moi des coups et blessures constants, m’ayant conduite à un cancer du sein, par trop de souffrances et douleurs violentes ou constantes subies, jugées et vécues vécu sans fondement réel par ses médecins et certains des miens, qui réfèrent m’en accabler plutôt vérifier chez les partenaires de cette bande d’homosexuels et bisexuels toxicomanes et alcooliques, le plus souvent adonnés à la prostitution et la dépravation des mœurs. Je l’aurai connue chez précisément mes voisins mitoyens (que je connaissais bien et sont rests amis avec moi durant quelques années, et dont un certain Charlie de Roquefeuil, ou Charles Henri Marie Gonzagues de Roquefeuil dit Mazelier car parents divorcés, dont le grand-père d’après ce Charlie, fut dans les services spéciaux diplomatiques durant les années 80, et qui fut la pierre d’achoppement du conflit qui oppose Anne Azaiez à moi, car elle me jalouse tout ami, Charlie faisant partie du cercle de ceux-ci ou connaissances un temps) qui occupaient ce logement mitoyen au mien, dans lequel elle a habité jusqu’à me déloger du mien, qui m’appartient, ainsi que de tout lieu de vie où je me situerai. Me bannissant de la région si elle le souhaite. Et logeant actuellement, elle ou une personne de sa famille, dans la résidence de mon nouvel appartement, rés. Saint- Amans. Sa référente, Jo ou Marie-Joséphine Suariz, faisant elle aussi partie de l’équipe du Dr Brès, réputé pour les cas de toxicomanie et d’alcoolisme, m’est une ennemie sérieuse, qui prend la défense de sa protégée, et me voue une haine morbide teintée de lutte des classes communiste horrible pouvant s’avérer mortelle.

Loge au dessus de mon appartement une jeune femme tout aussi dans les mauvaises mœurs et la bisexualité, en mal de me vouloir sa vahiné ou objet sexuel à sévicier et torturer à loisir, que les complices d’Aziez. Mauvaises meurs et homosexualité propagée par l’équipe de Robert Brès et Mr. Montalti, dont les médecins et complices entendent pratiquer chez moi des soins à domicile illicites et passant inaperçu sinon hallucinations que je ferais, soins bien réels hors normes injustes, injustifiés et non légitimement fondés capables de me laisser gravement mentalement infirme et diminuée jusqu’à l’arriération, l’impotence grabataire et la vieillesse prématurée suivie de mort violente lente par coups, sévices, blessures répétées, ou douce, en tous cas infligée. C’est dans leur projet et programme d‘action et d’élimination de ma personne que de tenter ce plan là de suppression ; pouvant passer pour suicide si poussée à ce fait et y cédant je meurs de ma volonté, afin de fuir ces représailles trop douloureuses, ou assassinée, crime passant pour un suicide que j’aurais fait, d’ou la tendance à me dire jusques dans ma famille, en train de craquer ou dépressive, autre alternative, l’accident mortel, chute, (après fort dosage médicamenteux, coups et blessures pouvant provoquer la chute mortelle) parfois, ont essayé l’arsenic, le cyanure, jusqu’à parait-il ma mithridatisation, et le valium alcoolisé d’alcool à 90° ou d’éther (dans les cafés ou les gouttes déjà concentrées en produits alcoolisés et aptes à assommer, commotionner sans éther ni d’avantage d’alcool, gouttes ou mixtures versées dans les boissons ou cafés).

Eux, cette équipe ou les médecins voulant rester anonymes autant qu’invisibles appelés à l’aide par ces gens et cette voisine qui loge au dessus de chez moi, en cas d’accident cardiaque mortel ou handicapant, plaidant à l’avance l’erreur thérapeutique, en guise de circonstance atténuante. Prenant un malin plaisir à d’avouer me confondre avec des cas graves de leur département, qui méritaient d’’après eux de tels mauvais traitements, sévices et tortures inhumaines, crimes odieux et actes antisémites en complicité avec des familles de patients, de neurologues et neurochirurgiens patentés dont il parait messieurs Frérébeau, l’organisme de l’UDAF et le pavillon privé de Mairet, crimes contre l’humanité sur lesquels j’en savais déjà trop long pour reste en vie, et qui ont déjà conduit les administrations à fermer leurs pavillons respectifs du pavillon 20, 19 sis en plusieurs lieux respectifs et successifs pour ces raisons qui doivent demeurer obscures, sans pour autant en radier le personnel, handicapant, bande de bourreaux totalitaires, irresponsables et dangereux.

Vous bourrant malgré votre début d’obésité, sous prétexte d’anorexie, (ce n’est qu’un maigre exemple) toutes les deux heures avec des boites de sardines et de thon en boite (cela est bon pour l’intelligence et la mémoire) afin de vous remplacer la lobotomie qu’en douce à votre domicile ils ont pratiquée soi-disant par erreur, ne le reconnaissant qu’ainsi, afin de rattraper les dégâts, qu’ils oublieront bien vite avant de vous retrépaner, ne laissant qu’une trace de griffure dans les cheveux même pas rasés et laissés longs, vous retrouvée dans la même position avant et après l’intervention, afin de tromper tout témoin ou tout témoignage. Jusqu’au jour où de lobotomie en trépanation et de faisceaux en tortures au laser (pratiquées à travers murs et plafonds, c’est dire de la puissance de ces engins) en passant par d’autres séances d’électrodes classiques, le cœur de victimes lâche. Décès classifiés dans les morts naturelles, parfois, par épuisement (cas d’un certain Madelin, et de Mr Vallier, bien d ‘autre encore à ce jour encore morts-vivants de ces supplices ou décédés à cette heure en quelque temps, le cerveau tabassé, raboté, arraché, réduit à la microcéphalie, brulé autant que gâteau au four, encore vivant mi-cuit).

A la moindre sanction, personnels médicaux, intrigants tels vieilles femmes acariâtres me réclamant la passe et le devoir d’être en toute légalité mes protecteurs, ingérentes ma vie privée et intime, voisins ou voisins de mes anciens logements assurant une véritable maintenance de ma vie (et qui tous font appel à ces services où à un médecin qui me visite incognito, parfois introduisant index dans rectum, sans se faire voir de moi, autant qu’homme invisible ou rat d’hôtel, agissant avec la même célérité que pickpockets, jouant les maisons hantées), qui vous torturent et vous tuent froidement si vous ne leur répondez ne serait-ce qu’un « hé » pour reprendre inexorablement leur torture et jeu de l’exécution sommaire sur une partie de leur choix à léser de votre crâne. Induisant à l’erreur qui peu s’avérer fatale, nombre médecins patriciens et internes qualifiés en médecine générale (mais pas en douleurs causées par la neuropsychiatrie quand elle se mêle de neurologie et de neurochirurgie, à base d’armes de contention ou d’infanterie légère de l’armée de terre, armement non classique de poing de nouvelle convention et de pointe dont l’existence secrète est protégée par le secret médical et c’est à croire, sous le secret d’Etat des autorités), erreur fatale dont le diagnostic de forte migraine ou de névralgie faciale chronique. Voire pincement dans les cervicales, ou inflammation de nerf sciatique trijumeau ou méridien.

Autant vous avouer qu’avec ces agresseurs, le monde est petit.

Qui dit Robert Brès, secteur de santé mentale 2, dit présence de cet armement en profusion dans la pratique des dits soins. Ou surveillance quasiment étatique de tous faits et gestes de ma vie sur le territoire national depuis ma première parution sur Montpellier en 19970-77, dit par le secteur 2 ma paranoïa.

J’ai souffert le martyre de cet armement depuis mes un ans, en réclame la saisie, ainsi que la mise en incarcération préventive de ces jeunes gens et ces vieilles femmes s’il se trouve qu’ils récidivent à nouveau. Ainsi qu’n éclaircissement sur le degré de complicité de mes parents, de mon père et de ma famille avec ces jeunes gens, leurs ascendants ou complices et supérieurs hiérarchiques, médecins, inspecteurs, personnels médicaux ou hommes de loi ou administrateurs publics dont organismes tel la DDASS qui ont protégés de tels faits et agissements.

Eclaircissement envers mon père, qui apparemment d’après ce qui m’en est rapporté par mes agresseurs et voisins du dessus, a cautionné amplement et même ordonné pour ses confusions mentales ainsi que pour ses crises de haine maladive et liée sà la jalousie de me voir échapper à sa coupe dans les bras d’un amant qui me soit favorable, a ordonné électrodes en séances continuelles et lobotomies de tous ordres, parties chaque mois de chausse- trappe pendant des ans et des mois puis ces mois derniers chaque semaine, dès et tout autant que le cerveau amputé aura repoussé et dès que m’apercevant silencieuse et réconforté de cette repousse ils attesteront qu’il faut réopérer. Mutilant ainsi autant que dans viol avec mutilation sexuelle, des zones de ma cognition et de ma conscience, afin de m’assermenter sur les mutilations, crimes et exactions précédant ces derniers agissements, ainsi que pour me réduire à l’état d’arriérée inadaptée, m’interdisant toute pratique normale de la vie, des devoirs et des corvées qui lui incombent, me faisant vivre comme dans centre pour inadaptées, centres dans lesquels j’ai certainement été placée à domicile avec séances d’électrodes et lobotomies indécelables pour qui ne s’y connait, (décelables aux arêtes aigues des os du crânes, des zones aplanies avec griffure quasi invisible blanchie à l’eau oxygénée, lobotomies à les prendre pour un suppositoire antalgique pour nourrisson, douleur de dents arrachée sous anesthésie locale à cet endroit là) in situ avec zones de dépilation sous les cheveux longs, indécelable à l’œil nu sans les décoiffer, moi-même replacée jambes croisées dans el fauteuil jamais apparemment quitté, même position du corps, sans que cela m’aie été avoué pour je ne puisse le prouver ni enter en justice, centres de rééducation véreux mutilant par pré-opérations préopératoires afin de causer incapacités et arriération, cognant sur un droit de fait de cogner sans relâche avec l’armement précité de façon acharnée ou attaquer au laser sans cesse à longueur de temps de vie et d’année, jusqu’à l’apparition de symptomatiques véridiques, aux personnels non qualifiés qui ne prétendent en fait qu’à indurer et causer l’arriération, voire la maintenir dans un état qui justifie leur présence sur terre, mutilant par pré-opérations préopératoires les zones cérébrales de la cognition, de l'intelligence, de la mémoire et de la lucidité, (mongoliennes aux yeux bleus, les trisomiques en faits aux yeux et cheveux noirs et de type asiatique, cf. La Vie de Jean Rostand, ou il y aura eu de mutations génétiques sérieuses chez les mongoliens et de première, ces dernières décennies, jeunes filles et jeunes gars confectionnés de toutes pièces en parfaits trisomiques ou autres types d’arriérés, oligophrènes, ou autistes, ne serait-ce que par l’aspect commun qui leur est voulu et conféré, cela a bien failli être et rester mon cas, manquée d'être euthanasiée dès les trente ou quarante ans après signes évidents de maladie dégénérative, loupé, (ce qui a été pris pour une paranoïa que je ferais) en fait, causé des mauvais traitements et tortures à l’armement non conventionnel, opérations diverses et répétées assermentées des mêmes méthodes) père prétendant ensuite devoir me placer incapable majeure à l’UDAF, revendication depuis toujours et préméditée de mon père.

Qui fait une fixation sur la curatelle et l’imposition dictatoriale antisémite et de type identique à celui du FIS de république ottomane (pour mon père et beaucoup de ses affiliés, toute personne dite arabe devant correspondre aux critères caricaturaux et dus aux amalgames, d’intégriste et musulman de type intégrisme ottomane, père et ses complices qui voulant, finassiers et gougnafiers selon leurs propres termes, que je le devine, me font vivre autant que musulmane sous le voile), abus de pouvoir et pouvoir absolu envers le délit d’opinion, imposition pouvant aboutir à la confiscation des biens et sont tutellat tout comme dans le cas d’un tutellat du Moyen orient, au Maroc, certainement pour la nationalité qu’il suppose à mon dernier ou nouvel ami...

Une enquête aura été faite depuis janvier 2008 afin de savoir le nom de qui pouvait être mon concubin et compagnon, j’ai été torturée de façon identique à ce qui précède dans ce but là, malgré ma réticence à donner un nom ou un signalement (ils auraient décrété alors que je n’avais pas le droit de me trouver avec lui, encore moins de le voir et fréquenter), et en fonction de mon refus, ordre a été donné par mon père de relobotomiser sur les médisances et fabulations grotesques (elles affirmaient que j'entrais chez elles et chez des gens, les battais, quand elles inversaient les faits, soupçonnées de s'introduire dans mon logement, de m'y violenter et violer) envers ma personne de vieilles femmes homosexuelles qui me voulaient par la force pour moi, leur maitresse, ramenant de ces harcèlements par armements illicites, interventions médicales quotidiennes et répétées, accompagnées de perquisitions, et soins illicites non déclarés à mon domicile ,mes capacités intellectuelles (qui d’après le souffle du génie qui a soufflé le patrimoine génétique de ma famille, aurait du être celui d’un quotient intellectuel assez élevé tout autant que chez mes cousins et petites-cousines), au niveau de capacités et celui d’une infirmière qualifiée.

Mon père, à ce qui m’a été rapporté et d’après les voix que j’en entendais à travers les murs car s’étant probablement sans m’en avertir déplacé, les médecins appelés, confondant ces intervenantes et obsédées avec mon cas de victimes de leurs violences, et sur leurs dires inversant les faits, me faisant opérer et traiter leur place. Ma parole contre la leur à elles et à eux tous et la leur faisant foi. Toutes les fois où les médecins intervenants auront voulu fustiger et punir es agresseurs ou les faire traiter de lobotomies, électrodes et traitements, cela m’aura été commis et j’aurai été traitée et punie de ces opérations du cerveau à leur place. Mon corps ainsi que promis, entièrement fait de tissus cicatriciels autant que tranche de jambon d'York tranché dans le lard, n'ayant échappé d'un pouce de chair à cette torture jusqu'au fibrome, au carcinome malin. Avec trafic de prélèvement d’organes tels que morceaux de cerveau, en fait organe vital du corps que je le suppose, que l’on retrouve je le parierais chez certains laboratoire et peut-être même IGN et des centres de recherche qui utilisent ces prélèvements pour leurs études sur le fonctionnement cérébral, en particulier dans les cas de démence et de schizophrénie.

Pénalités jures, jugées ad normem en cas de fichage en curatelle renforcée ou sous tutelles aux prestations sociales, sans qu’aucunement, ne soient informés les médecins traitants, sinon avec leur complicité, jamais avouée de face ni en face, mais toujours à mots couverts ou dans le dos. Surveillance et contrôle continuel sous le feu des armements ci-décrits, des moindre faits et gestes de la vie courante, intime et privée, ingérence d’indicateurs (il s’en situe toujours un au dessus de chez-vous, en dessous ou pas loin) et intervenants très en maintenance armée de ma vie privée, reconnue correcte et juge elle aussi normale, toujours dans les même cas de tutellat UDAF

Ceci dans le but de me faire vivre la vie à laquelle je n’ai échappé, de personnes décrétées malades que j’ai connues et secrètement défendues, (n'ayant tout autant que moi tué) tout au plus, intimement soutenues. D’où tant de similitudes dans de cas fichés, ce qui fait accroire à une uniformité de la démence incriminée, imputée en fait pour les raisons précitées, supposée, plaidée, mais rarement véridique ni vraie sinon dument confectionnée. Conformité voulue aux faits et critères de la maladie, issue du fait d'un trafic de drogues et d'amphétamines, conduisant à la supériorité d'esprit et raciale aryenne, conduisant à des opérations du cerveau expérimentales et scientistes, amphétamines certaines fois servant à des cures de désintoxication du LSD et des drogues dures, conduisant à la supériorité d'esprit et raciale aryenne, et à des opérations du cerveau expérimentales et scientistes, ces malades prises au sérieux et leurs complices, m’en voulant d’autres, ainsi que les membres du personnel médical qui les protège, m’en voulant d’autres en guise de dédommagement et de réparation pour leurs crimes, fraudes et préjudices répétées.

Ces personnes n’ont à circuler ainsi armées, ni à rester autant en liberté, assez dangereuses pour assassiner pour non réponse à leurs agressions, parfois assez violentes pour tuer. Me voulant la Douleur du Christ, le sort de Jésus et celui de Marie-Madeleine à la fois, me crucifiant de décharges et de lasers utilisés en tasers, afin de se permettre les Mystères de la Crucifixion envers une personne athée, ce qui les empêche de vivre, de manger et de dormir, mais apparemment le boire de ces Chrétiens certainement intégristes armés de la torture médicale de Mégret. et d'un certain Patrice la Fuentes, médecin d'extrême droite de renom dans la région, ses indicateurs, et hommes, femmes de main analphabètes se réclamant du groupe Combat et d'un certain Mohamed un inconnu chef de ces bandes me voulant ma perte, opérant en usant des instruments de pointe de cliniques privées, dont ceux de la clinique Mairet, et sa polyclinique, ceux de la clinique St Jean, Beausoleil, et celle du Millénaire, lobotomies sauvages destinées à effectuer des prélèvements de masses cérébrales vendus au poids très cher à ces laboratoire d’étude sur le fonctionnement humain, afin de rémunérer leur trafic sordide de drogue, et leur apporter gain drogue, alcool, femmes et profits, en profitant pour en obtenir des tests d’engins, matériels médicaux de pointe et armements divers sur fond de rites d’orgies à vices tortures et sévices punitives. Certaines exactions du même type que celles du film avec Léonardo Di Caprio, enfant de la boxe, maltraité par son père autant que par ce nouveau Clan des Barbares en parties sadiques anales de neurochirurgie au laser à sévices et actes de torture hospitaliers sadomasochisme sur individu choisi pour ses capacités loyales, de gauche.

A psychiatriser ensuite et de façon répéter dès que les tortures en bande se reproduisent, si encore en vie malgré de telles pratiques très tolérée des milieux médicaux et professionnels de l’administration ainsi que de la justice et de la santé, dans la religion scolastique de la plus profonde psychiatrie inquisitrice, prosélyte de sa Raison d’Etat digne actuellement de l’Inquisition, sinon de la Grande Espagne, du moins bien française. Confondant les cas et les cartes d'identité pour trépaner au domicile des personnes, leur victime choisie, si c'est tant là mes troubles de l'identité, actes de neurochirurgie de lasers opérant à plus de deux mètres de distance à travers murs, suivis de séances d'actes de neurologie dites électrodes, pratiquées jusques pendant les toilettages de sexe et d'anus, douches, défécations et besoins dans les WC, prises de nourriture et tout acte de la vie intime et privée, par l'artefact d'instruments similaires, opérant à distance, d'une portée pouvant atteindre les 500 m de distance et dont ils se servent pour pratiquer opérations du cerveau quotidiennes et à longueur de journée.. Ceci à titre de torture par instruments équivalent de nos jours au poste à soudure, récupéré pour opérer du cerveau au cours de scènes de ménage avec moi de voisines voyeuses et voisins dévoyés,, au même titre qu'instrument de soins sur gauchiste jugé un peu trop doué, pour un nivellement par la base du savoir..

A vous bousiller de soins illicites pratiquées également à domicile et qui tiennent de l’ensorcellement avec encerclement vaudou, de type magie noire jusqu’au stade de zombie véritable puis décès, toute intellectuelle de gauche parce qu’elle est intellectuelle et de gauche, son délit d’opinion et pour nulle autre raison (selon les mêmes raisons dites d’Etat que la fameuse gifle de nazis à Sartre sous la guerre d’Algérie, à me faire payer en tant que bouc émissaire pour la vie de Simone de Beauvoir pour ses excès, ne serait-ce que via UDAF, auteur que je n’ai même pas eu l’heur, vu ces méthodes, de lire), qu’ils auront pour ses activités humanitaires, remarquée et remaquée par eux à ce fait qui doit être son problème et doit le rester si elle en a tant, ,jusqu’à chez elle le physique et l’illettrisme des commères dites grand-mères, pour lui coller l’étiquette ensuite de grand-mère, bien commère et mémère, et continuer à la bousiller de gériatres bien avant sa cinquantaine et apprentis neurochirurgiens à leur solde l'utilisant pour se faire sur elle la main, pour l’étiquette du jour au lendemain ainsi attribuée dès les 50 ans (dénoncés sur le système de la délation antisémite et évaluation approximative de l’âge au vu, au su et au rapporté, bref, au qu’en dira-t-on). Idem pour tout autre cas de maladie mentale, physique, de médecine générale, de la pédiatrie à la gériatrie en passant par les maladies sexuelles dont la frigidité la nymphomanie et l’anorexie. Violences psychiatriques au même titre que violences policières, parachevées à a séance de beignes, pratiquées selon les mêmes méthodes, avec armement non conventionnel.

C’est à se demander non mais c’est quand la rémission chez moi, du moment que pour l’un des médecins et se acolytes, elle consiste à l’abrutissement le plus épais et le cirage illettré tant requis des basses, et pour l’un autre plus érudit, et ses défenseurs, le niveau ré-atteint de mes capacités intellectuelles, physiques et le retour de mes dons, après repousse des zones ablavées de mon cerveau. Je réclame une entente à ce sujet, prise entre deux tirs de feux croisés. Chacun intervenant qui pour m’aider consciencieusement à le faire repousser ce cerveau tant amputé et rattraper les dégâts causés par la partie adverse, qui l’autre intervenant constamment pour me l’ablaver. Faudrait fixer des normes à ces interventions qui tiennent de l’interventionnisme contant. Car ces personnes de l’extrême-droite, l’on ne les soigne pas comme ça, sans s’en prendre plein la poire, qui doit rester chez moi selon eux, en poire jusqu'à ce que mort s'ensuive de tant de commotions causée de coups, blessures et opérations cérébrales répétées plusieurs fois par mois.... Tous droits de l’Homme et du Code Civil bafoués, ou à peu près.

Je signale à tout hasard, qu’aucune protection civile ou même policière ne m’est respectée dans le cadre de campagnes d’organismes humanitaires, tout comme envers leurs membres et participants, à tel point que il fallait, que, membre depuis plusieurs mois d’une organisation humanitaire, Amnesty International, je doive faire appel à des association de même but afin de me protéger contre toute attaque qui me serait faite au nom du combat et de la lutte engage d ces organismes et associations humanitaires dont je relève et dans lesquelles je définis mon action, ma philosophie et enfin mon opinion, associations et organismes auxquels je suis contrainte pour les avoir eu cités, d’adhérer, ce qui est contraire aux droits d l’Homme cités dans la convention des Droits de l’Homme.

J’aurais milité pour Green Peace, c’était à coup sûr le boulon de métal radioactif dans les fontes du pantalon, et j’y ai réchappé de peu, sauf, que j’ai pris un comprimé de Césium pur (métal lourd) dans le tube digestif, à l’occasion d’une scintigraphie, pour un délit d’opinion certain et avoir eu cité en famille et en public ce fameux nom tabou de Green Peace. Et l’on se plaint que j’aie un cancer…

Eux me faisant soigner par leurs traitements thérapies, lobotomies et soins qui devaient leur être infligés et qui leur étaient prévus, dans une pratique de la substitution qui n'existe qu'envers les individus dangereux causant des troubles de l'ordre public divers, et peut conduire en Placement d’office, si ces méthodes sont juges normales en ce type de placement, également. quand l'affaire a débuté en ce qui me concerne, par ce genre de tabassage-opérations du cerveau à l'arme blanche ou non conventionnelle, pour le simple fait qu'indisposée, je devais servir de défouloir de haine (entre autres gavages d’aliments en guise de supplice de l’eau alimentaire jusqu’à l’obésité) à une bande de mégères en mal de me punir pour l'état de princesse que je ferais en comparaison de leur sort et des soins qui leur auront été infligés ou pratiqués, ceci, dans les années 80 à 90. Et cela dure encore; me condamnant à la lobotomie débutée aux tirs de lasers et sans façon parachevée aux électrodes sur les plaies causées, les médecins, policiers appelés à l'occasion afin de tenter d'arrêter ces violences, se sont chargés eux de ne sélectionner pour les croire sur parole et apporter crédit à leurs interventions fabulatrices, quelques témoins qui seront de leur bord et opinion politique notamment sur l'affaire, l'orientant vers un tri sélectif des témoins et des témoignages, qui pourraient en fin de compte vu ces décisions, me coûter cher, en fonction de mes écritures poétiques et parutions de blog, ou d'ouvrages artistiques et autres écritures philosophique dont la police faisant office de police politique, pourrait se sentir concernée.

C’est à croire que le pays français est le pays des cloches quand elles vous les sonnent, un pays de vieilles cloches pareilles, qui sonnent le tocsin des matines jusqu'aux vêpres, le glas de la gauche laïque humaniste et humanitaire française et des droits de l'homme, si ce n’est tant cela le mal français. Instituant la folie dangereuses chez leurs victimes choisies, par le biais de la torture mentale et physique à souhait, continuelle jusqu’à l’accès de légitime défense, qui maintenu et prolongé par ces procédés et ceux de la maltraitance, finissent par créer l’effet de ras-le-bol ou goutte d’eau qui fait déborder le vase connu chez les schizophrènes dans tout cas d’école maintenus le bec dans l’eau ou en état de constante révolte dans imbroglios à la Dallas.

Soumis autant que moi-même, à l’évaluation de leur niveau et degré de perte des facultés durant et après les tabassages, à bout portant dans le crâne le sur les critères de la lapidation, sur tout chez les femmes, de la lapidation pour adultère, et soupesage des couilles de leur conscience ainsi que l’aurait dit mon père dans son langage raffiné autant que céleste, pour voir si elles les ont encore, d’avoir affirmer de telles considérations (tenues pour leur délit d’opinion), ou avoir eu de tels actes d’hardiesse, sinon de témérité envers un pouvoir qui ne se passe d’ailleurs, tout psychiatrique qu’il s’affirme, absolu, naturel et de droit divin autant que FIS algérien.

Selon le problème et procédé bien classique du Ludium, où l’objet de fantasmes qui surnage dans un bocal qui lui a été alloué, coule sous la pression du liquide fœtal simulé, du bain social, puis noyé de coups et blessures, remonte dès qu’elle cède, le cerveau sinon arasé, de moins avec permission de se reconstituer, et avec promesse de se le voir à nouveau lobotomisé, avec gros lavage de cerveau aux faisceaux et séances de plusieurs jours d’affilée d’électrodes, dès sa repousse. Dénommée par certains, je le rappelle, rémission, et ce pour le complexe de Diane, en état de princesse en chasses envers une proie quelconque, d’une voisine et ses complices en mal de chair fraiche pouvant servir de chair à canon pour ses parties d’orgies très sadomasochistes. Ce qui devient à la mode depuis les Folies du vieux Montpellier.

Ou le coup du diodon, le pauvre, poursuivi dépioté à moitié par un ban de rascasses, avalé par un requin, à se demander s’il fallait abattre le requin, ou faire se dégonfler le diodon pour l’en retirer, ou loi de la substitution qui n’est à mon avis une loi universelle. Pour les associations de protection des espèces telles que la mienne et celles du requin, en voie de disparition, s’il s’agit tant de la mélancolie. De la à prendre les associations de bienfaisance pour uniquement Spiderman, car là, temps de latence avant une intervention valable, d’où l’état piteux du diodon, lui aussi, entre autres termes, moi-même, et ne pas confondre Spiderman avec une association de bienfaisance.

Où les gros lavages de cerveau aux engins de l’armée de terre et de lobotomies illicites bien assermentées, font fureur et même selon rites pandémiques, tache d’huile avec ou sans niveau d’huile après les séances de snif (et leur drogue qu’ils me veulent) du voisin et de la voisine du haut, qui si eux régressent de leurs psys, vous le veulent jusqu’à l’apparition chez soi du niveau mental de régression due aux électrodes, de deux ans sinon Cours préparatoire ; Ils passeront en suite leur vie à vous rééduquer à a dure pour leur fantasme d rééduquer à la dure tout gauchiste qui ne se laisserait pas faire, du moment qu’il vit en dessous de chez eux, et qui doit rester nian-nian, depuis ma 68, retour aux sources chez eux.

Ils me finiraient au coin du rebord de trottoir, autant que prostituée, les services médicaux et policiers ne s'en emparaient que pour certifier, mais elle n'a pas fini de gueuler celle là, on va se la calmer, et dose supplémentaire de barbituriques, comprimés retard neuroleptiques ainsi que Solian sinon en comprimé, en gouttes et injections, en plus d'Heptamil destinés à me sortir du cirage du aux coups, et ce, dès que ces jeunes gens me tabassent, en simulant des décharges d'électrochocs, de leurs engins de l'armée de terre, voire, liée aux milieux prosoviétiques, en vogue et en invasion en France dans les milieux médicaux, administratifs et les bandes de délinquants, instruments de revanche, ou de raquet, entrave à la justice et à la loi, milieux prosoviétiques à vous braquer et vous faire passer à votre insu de cela, la gauche humanitaire française dans les pays en manque de démocratie, et travailler sans s'en douter pour quelque agence Tass qui ferait passer la paix sur terre, après vous avoir faite travailler pour la présidence d'Obama, quoique je ne le regrette pas? mais employée contre mon gré, braquée en continu de cet armement

D’où l’inspiration du diodon, pendant, après. Et son expiration, ensuite, probable, et parfois certaine.

Je rajouterais : Et ils lui ont ait quoi au poisson rouge, pour qu’il soit tant transformé en diodon, avec arrachement des écailles ?

Je ne me dégonfle pas, malgré tout mon poids et mon volume, et dépose cette plainte contre l’organisme et organisation qui s’est formée à mon encontre, véritable machine de guerre ainsi que l’avoue piteusement tout dit dément qu’elle attaque, qui m’a tant absorbée autant que secte le ferait, au point de représenter un danger pour ma vie et ma santé si j’en survis, et reste en vie durant les délais de saisie de plainte, non portant sur des faits divers, mais sur une situation vécue due à un amalgame d’une somme de tortures nazies de l’Europe, du Moyen Orient, de l’Asie et de l’Afrique, du continent américain également, ce qui peut aller jusqu’à causer des douleurs qui sont dénommées névralgies, mis restent liées à l’usage mutilatoire de la torture électrique, médicale et chimique le plus souvent, de psychiatres qui ne sont encore descendus de leur aéronef, pratiquant l’application de politiques fictions au sein de leur établissement et dans les suivis de malades imaginaires, qu’ils détiennent pour faire accroire que cette politique fiction mussoliniennes et de tous types nazies dans laquelle ils les font vivre, n’est que fiction, due aux démences incriminés, de ces faux malades qu’ils mutilent pour les assermenter, et à la longue ou de façon brutale, tuer leur conscience, leur identité, les laisser claqués de tortures, arriérés, pour les exécuter, cela dénommé les abréger...

Prise à nouveau à la gorge par ces pratiques, je vous adresse ce dernier, je l'espère, complément de plainte.

Dans l’attente de votre réponse, et vous en remerciant par avance,

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur, l’expression de mes sincères salutations.

Objet : plainte envers Melle

Madame, Monsieur,

Je vous informe du fait que ma voisine du dessus, Melle x , appartement 15, n’a à résider dans son logement si elle entreprend d’effectuer ses études de neurochirurgie sur ma personne et d’établir son cabinet de neurologie ainsi qu’elle le prétend, en m’infligeant des attitudes de race supérieure envers cobaye humain qu’elle s’attribue au nom du parti politique dont elle est, statut de singe de laboratoire pour ses expériences de jeune étudiante, auquel elle me réduit, envoyant à mon domicile ses complices me contraindre à avaler ses traitements pour la psychose que selon certains de ses médecins il faut traiter, m’interdisant tout sommeil sain sinon par barbiturique, m’infligeant l’alimentation forcée ainsi que des soins à domicile particuliers, au nom d’une bisexualité mal assumée qu’elle fait, voulant me contraindre à être son objet sexuel au départ, au nom du viol correctif qu’elle m’a voulu un mois durant, causé à l’aide d’instruments qu’elle utilise au cours de parties de torture et de snurf ainsi que cela se pratique en milieu universitaire. Transformant mon appartement avec pour prétexte le droit à me déloger à peine prises les clefs de mon appartement le 5 avril 2009, par l’apartheid qu’ils revendiquent envers toute femme de mon type, en lieu de tortures ineffables de type Guantanamo, et se droguant d’amphétamines et autres toxiques, dont je suppose l’alcool, excitants nerveux qui lui confèrent cet supériorité d’esprit et opiniâtreté contre tout raisonnement, qui font qu’elle passe à l’acte de se fantasmes dans l’intention de les assouvir intégralement et jusqu’à leur aboutissement et sa satisfaction sur ma personne, dont des séances d’auriculothérapie au laser durant deux journées, ce n’est que le moindre effet de ces drogues, et des gavages aux pattes et aliments me causant le diabète, repas gavés sur les affirmations de cette femme, en sus des miens, jusqu’à la pléthore chez moi, l’encombrement digestif quotidien et le reflux gastrique. Elle établissant une véritable inquisition sur ma vie intime et privée, inquisition qu’elle affirme devoir être celle de l’hôpital-prison de Mont-Favet, une de ses principales focales, tant il lui a été promis. Ne recrutant leurs voisinages et voisins que parmi des membres de leur groupement politique ; transformant cette résidence qu’il faudrait fuir à la vitesse grand V autan que juif sous nazis, en bastion de l’extrême droite, dans les limites de l’apartheid qui leur sont permises.

Je réclame que cette personne ne fasse plus forcer mon domicile (j’ai du me prémunir en loquet et entrebâilleur afin d ‘éviter plus d’intrusions, mais ses « infirmiers » ou copains usant du droit d’enjamber mon balcon, sis en rez-de chaussée, mes efforts pour rester tranquille s’avèrent impuissant face à telle ténacité, je ne puis plus aérer mon appartement sans qu’il soit visité, de nuit comme de jour, par ces intrus m’assommant de leurs traitements barbituriques en lavages de cerveau s’il le leur faut et neuroleptiques (qu'il ne me faut pour intolérance et grave allergie que je leur fais) pour leurs troubles psychologiques avérés, médicaments qu’ils ne prennent, me les voulant pour se venger de devoir se soigner, on ne les soigne pas aussi facilement que cela, eux se réclamant de l’UNI ou d’un groupe Combat, je pense un groupuscule d’illuminés de l’extrême droite, qui n’est pas le mien, au nom duquel il faudrait me soigner pour un délit d’opinion que je ferais, notamment au niveau de la philosophie de mes modes de vie ) afin de traiter une démence qu’elle fait et institue devoir me traiter, par transfert de personnalité je suppose, au nom du fait que je ne prendrais son traitement, elle refusant tout soin que lui prescrivent maints médecins qu’elle fait défiler y compris nuitamment chez elle, eux ensuite voulant me prendre en charge si elle refuse tout soin, m’interdisant toute vie intime, sinon en sa présence, mes WC, salon, et en particulier évier et douche devenant le théâtre d’exactions rituelles courantes, ou lieux d’opérations cérébrales à sa manière. Plusieurs voisins et vieilles femmes très commères entreprenant de me guérir de mes infirmités pour me remettre au travail pour elles, ainsi qu’elles l’avaient entrepris ces derniers temps, rodant dans ces lieux qu’elle connait sont complices et auteur de ces parties de jeu de rôle à mon égard, ces jeux de violents sont à proscrire dans l’enceinte de la cité.

Je réclame que les particuliers qui servent d’appui et de serviteurs à cette jeune femme, soient médicalement et sérieusement traités, que leur famille et la sienne, soient expulsées ou réduites à ne plus pratiquer de telles activités diurnes et nocturnes des moins nocives, pour la vie, la santé, la paix et la tranquillité de leurs concitoyens, activités et agissements qui tiennent du fascisme, tentant des témoins qui pourraient les suivre sur cette pente dangereuse, et s’attirant par toute une mythomanie à mon sujet, l’affection de la police de nuit, qui les oriente vers des domaines médicaux incapables de traiter cette affaire, totalement totalitaires, barbares et incompétents en la matière, ce que je ne saurai tolérer d’avantage.

Je vous signale également que j’ai déposé dernièrement un complément de plainte contre cette personne et ses complices, a fin d’éluder le problème de sa présence dans cette résidence, et souhaite votre intervention auprès de ces personnes.

En attendant réponse et intervention, je l’espère, de votre part,

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations.

Line LLao

Au syndic de la résidence :

Je vis à l’heure actuelle une période de difficultés de plus, me contraignant à un nouveau changement de domicile, en résumé, je signale à nouveau le contenu de mon livre Judas, prise à l’heure actuelle dans un réseau de proxénétisme et de prostitution infantile, homosexuelle et sur personnes âgées, sur femmes seules et jeunes filles trop corrigées vissées serré, maintenu à main armée par des particuliers, leurs médecins ( de vieux fascistes et de vieux communistes prosoviétiques pour le bordel rouge chez les intellectuelles, antiféministes et très revendicateurs du soin pour délit d’opinion, surtout féminin) et deux secteurs hospitaliers, 1 et 2, Lapeyronnie complice des faits, avec parfois pour les victimes, s’il s’avère qu’elles créent trop de résistance ou de scandale autour de l’affaire, rapts répétés en clinique ou pavillons servant de maison d’entrainement. ¨Pour l’instant, c’est mon appartement qui sert de maison d’‘abattage pour la prostituée que je devrais leur être, par pure haine viscérale de leur clan envers mes activités intellectuelles, et les intellectuelles, après quelque placement illicite et non déclaré à mon domicile sous parait-il (rien d’officiel) de Mairet, Lapeyronnie et un secteur de santé mentale (pavillon 9 et son pavillon de force, voire, l’hôpital prison de Mont Favet en cas de plus ample résistance).

En termes de métier, ce genre de pré-séquestration se nomme « débourrage », non pas d’alcool, ce qui m’a faite soupçonner d’alcoolisme avéré pour consommation occasionnelle à l’occasion de fête, quand je ne bois pas, sinon de l’eau , mais de prostituée, terme aussi usité en terme d’équitation, pour le débourrage des cheveux, autrement dire, leur apprendre la monte, à cru, en selle, au pas, au trop etc. Débourrage (cf. Hebdo Femmes des années 80 sur la prostitution) consistant en viols répétés avec ou sans violences, certains à son insu pendant un coma artificiel afin que le corps cède au plaisir provoqué par une nourriture intubée (jusqu’à l’obésité voulue) que la fille ne peut pas voir, intrus au domicile pratiquant des soins intensifs dont électrochocs illicites afin de la mater, certains pavillons, selon l’étude parue dans le livre « la politique du mâle », affilés à ces réseaux pour pratiquer sur leur demande, ces sévices hospitaliers et tortures génitales au poste à soudure ou tout appareil de leur corps de métier faisant affaire de gégène, ou de tout ordre, destinées à mater la fille résistante à l’ordre de se prostituer d’elle même, ce qui fait que la plupart des filles de joie, se disant en prostitution libre, sont en fait prostituées sous les mêmes peines de mort revendiquées par leurs proxénètes et perpétrées.

Certaines vieilles femmes, folles atteintes de schizophrénie pour plusieurs, d’autres de psychoses de manie maniaco-dépressive, et suivies de ces médecins, sont instituées Mamas Da, autant qu’en Asie, proxénètes hypnogènes tant vociférantes en délirium tremens constant, polluant les moindres citées de leurs logorrhées diurnes et nocturnes, mères maquerelle de la fille à mater, qu’elles ont repérée et veulent faire travailler. Le point de Repère n’est pas étranger à ce négoce, antenne psy du secteur de santé mentale 2 sise dans les lieux de proxénétisme des quartiers chauds de la ville, entre autres les arceaux, je me suis faite repérer dès mes 23 ans, et depuis, la situation s ‘intensifie. A causé la mort de Karine Nicol, une amie de même galère, même situation, infirme et prostituée plus qu’à moitié à son domicile obésité, bleus fréquents, traces de coups, viols, d’attouchement, confidences, constats personnels, à mon avis exécutée par trop de traitements neuroleptiques et autres contraires et contre-indiqués à son état de santé, qu’elle disait cardiaque de ces prétendus soins, sans autre réponse à ses avertissements et refus de poursuivre et continuer ses soins que des infirmières à domicile lui infligeaient malgré ses protestations jusqu’aux tentatives répétées de suicide pour y faire face, raptée puis libérée après lobotomies dans le pavillon de Mairet, encore en vie sa sortie, décédée quelque temps après avant qu’elle ne porte l’affaire en justice) dont ce secteur se disait le bienfaiteur (Christine Lopez, entre autres, ex concubine de mon premier concubin, Jean-Marc Blanchin, de mon bord, décédé à ce jour dans les années 80 après m’avoir quittée, mort des tortures de ce secteur revendiquant l’euthanasie pour ses cas choisis, en réponse à l’alcoolisme dont il souffrait, l’ont poussé au suicide avec la complicité de sa famille, affaire très complexe).

Privilégiées pour ce genre de traitement, les femmes seules, isolées, en rupture de couple, guettées de loin pour cela ou qu’ils ont isolées de leur concubin, mari ou famille, à force de manipulations de leurs malades affiliés, drogués, alcooliques parfois les deux à la fois, servant de vigiles et planton de ce maquereaux, dans le moindre HLM, établissement hospitalier ou clinique privée de la ville de Montpellier, essaimés sur le territoire de la région, sur le trajet de l’uranium, de Marcoule à la Hague, en passant par la route de Sète et les petites routes. Visitent quotidiennement les appartement de ce filles et femmes seules et isolées, le prostituent à tout âge, sinon par maisons de santé et de retraite véreuses, en usant des relations de leur famille et de leur famille, dans certains cas, pour contraindre ces victimes à la prostitution passive, le plus souvent gratuite, consistant à subir maltraitances, injections calmantes ou anesthésiques pour électrochocs à domicile, sur médicaments abrutissants destinés à les contraindre et persuader, tortures et sévices coutumiers d’une ou deux vieilles, d’un vieux monsieur, soit disant médecin, d’une fille de joie adaptée à prostituer, etc. Celles qui ne cèdent meurent sous les coups et blessures, portées le plus souvent au visage et zones mortelles du corps et du crâne, par appareils non conventionnels de soin ou armement illicite non conventionnel de torture de l’armée de terre dit de dissuasion, récupéré tous azimut par ces pavillons, secteurs médicaux et personnels hospitaliers, utilisés encore de nos jours jusqu’en maison de santé et de correction, dans le centres pour handicapés et autre administrations telles l’ANPE, la DDASS etc.

Personnels crapuleux usant de la folie meurtrière ou tortionnaires de malades mentaux en tant que chasseurs de têtes et rabatteurs payés de drogue, de menus services tels que leur liberté, pour rabattre des femmes à leur secteur et les y prostituer de sévices à souhait et faux soins en fait tortures dégradantes pour la vie et la santé sous le syndrome de la vis serrée sans fin, gagner profit gains et argent librement en revendiquant leur droit au travail, à un surcroit de personnel, malhonnête, car choisi par leurs complices dont certains membre de la police, couvrant l’affaire, pénalisant les victimes dites par les personnels médicaux en manque de neuroleptique au moindre manque sexuel, en les internant si elles tentent de déposer plainte, par placement d’office ou résidence surveillée par la famille, faisant le plus souvent appel à la neurologie et la neurochirurgie parfois à domicile, argument de poids servant de moyen de persuasion supplémentaire ;

Karine Lefèvre, si non encore décédée à cette heure, courant le même danger ;

Ainsi que Melle Abdellac, soumise à un mariage arabe forcé, Monique Carles, martyrisée par Beau-père et l’un de ses concubins Pierre, anormal brutal ou rendu tel. Réduites sinon à l’arriération du moins à la folie brutale.

Décédés à cette heure pour avoir subi de bouclier humain à ces violences, Camille, décédé d’expérimentations sauvages sur les hormones, Madelin, trouvé mort de fatigue, Mr Vallier, mort des violences de sa sœur et de son voisinage, homme squelettique réduit à la microcéphalie, le cœur ayant lâché de trop de violences tortures et lobotomies de toutes sortes. Jean-Michel, mort de cancer du foie près torture génitale ineffable durant des ans par laser d’une oreille, même torture que pour Magdy, encore peut-être en vie, réduite à la folie après arriération de son fils, initialement sain d’esprit, après erreur thérapeutique au cours d’un examen du cerveau. Françoise Lebert, morte d’un cancer des poumons des armements nucléaires de faible et courte portée et lasers, faisceaux micro-ondes en test y compris sur elle et dont la moitié des personnes suivies ou condamnées à cet hôpital ont été braquées leur vie durant. Tous et toutes ne buvant pas, sinon ne se droguant, ni éthyliques ni drogués, pas même de cannabis. Seul en survie ceux qui pratiquent ces vices en accord avec eux même ;

Apparemment les médecins légistes ayant constaté les décès payés ou soudoyés pour ne rien laisser filtrer des violences et tortures subies par ces victimes, qui en savaient trop long sur ces faits l’hôpital psychiatrique et ses trafics, y ayant vécu la moitié de leur vie. Bien d’autres morts et décédés depuis, que je n’ai connus ;

Ceci dit sans véritable délire, sinon le mien. Ou dit mien.

Tous et toutes de ce bord et leur cause que j’entretiens, ne serait-ce qu’en leur mémoire, et afin de sauver ce qui me reste d’existence ;

Respectueusement,

Line Llao

Je vous informe du fait que ma voisine du dessus, appartement 15, n’a à résider dans son logement si elle entreprend d’effectuer ses études de neurochirurgie sur ma personne et d’établir son cabinet de neurologie ainsi qu’elle le prétend, en m’infligeant des attitudes de race supérieure envers cobaye humain qu’elle s’attribue au nom du parti politique dont elle est, statut de singe de laboratoire pour ses expériences de jeune étudiante, auquel elle me réduit, envoyant à mon domicile ses complices me contraindre à avaler ses traitements pour la psychose que chez elle selon certains de ses médecins il faut traiter, m’interdisant tout sommeil sain sinon par barbiturique, m’infligeant l’alimentation forcée ainsi que des soins à domicile particuliers, au nom d’une bisexualité mal assumée qu’elle fait, voulant me contraindre à être son objet sexuel au départ, au nom du viol correctif qu’elle m’a voulu un mois durant, causé à l’aide d’instruments qu’elle utilise au cours de parties de torture et de snurf ainsi que cela se pratique en milieu universitaire. Transformant mon appartement avec pour prétexte le droit à me déloger à peine prises les clefs de mon appartement le 5 avril 2009, par l’apartheid qu’ils revendiquent envers toute femme de mon type, en lieu de tortures ineffables de type Guantanamo, et se droguant d’amphétamines et autres toxiques, dont je suppose l’alcool, excitants nerveux qui lui confèrent cet supériorité d’esprit et opiniâtreté contre tout raisonnement, qui font qu’elle passe à l’acte de ses fantasmes dans l’intention de les assouvir intégralement et jusqu’à leur aboutissement et sa satisfaction sur ma personne, dont des séances d’auriculothérapie au laser durant deux journées, ce n’est que le moindre effet de ces drogues, et des gavages aux pattes et aliments me déclenchant le diabète, repas gavés sur les affirmations de cette femme, en sus des miens, jusqu’à la pléthore chez moi, l’encombrement digestif quotidien et le reflux gastrique. Elle établissant une véritable inquisition sur ma vie intime et privée, inquisition qu’elle affirme devoir être celle de l’hôpital-prison de Mont-Favet, une de ses principales focales, tant il lui a été promis pour ses actes. Ne recrutant leurs voisinages et voisins que parmi des membres de leur groupement politique, les membres de cette bande me rendent la vie impossible sinon infernale ; transformant cette résidence qu’il faudrait fuir à la vitesse grand V autan que juif sous nazis, en bastion de l’extrême droite, dans les limites de l’apartheid qui leur sont permises.

Je réclame que cette personne ne fasse plus forcer mon domicile (j’ai du me prémunir en loquet et entrebâilleur afin d ‘éviter plus d’intrusions), mais ses « infirmiers » ou copains usant du droit d’enjamber mon balcon, sis en rez-de chaussée, mes efforts pour rester tranquille s’avèrent impuissant face à telle ténacité, je ne puis plus aérer mon appartement sans qu’il soit visité, de nuit comme de jour, par ces intrus m’assommant de leurs traitements barbituriques en lavages de cerveau s’il le leur faut et neuroleptiques (qu'il ne me faut pour intolérance et grave allergie que je leur fais) pour leurs troubles psychologiques avérés, médicaments qu’ils ne prennent, me les voulant pour se venger de devoir se soigner, on ne les soigne pas aussi facilement que cela, eux se réclamant de l’UNI ou d’un groupe Combat, je pense un groupuscule d’illuminés de l’extrême droite, qui n’est pas le mien, au nom duquel il faudrait me soigner pour un délit d’opinion que je ferais, notamment au niveau de la philosophie de mes modes de vie) afin de traiter une démence qu’elle fait et institue devoir me traiter, par transfert de personnalité je suppose, au nom du fait que je ne prendrais son traitement, elle refusant tout soin que lui prescrivent maints médecins qu’elle fait défiler y compris nuitamment chez elle, eux ensuite voulant me prendre en charge si elle refuse tout soin, m’interdisant toute vie intime, sinon en sa présence, mes WC, salon, et en particulier évier et douche devenant le théâtre d’exactions rituelles courantes, ou lieux d’opérations cérébrales à sa manière. Plusieurs voisins et vieilles femmes très commères entreprenant de me guérir de mes infirmités pour me remettre au travail pour elles, ainsi qu’elles l’avaient entrepris ces derniers temps, rodant dans ces lieux qu’elle connait sont complices et auteur de ces parties de jeu de rôle à mon égard, ces jeux de violents sont à proscrire dans l’enceinte de la cité.

Je réclame que les particuliers qui servent d’appui et de serviteurs à cette jeune femme, soient médicalement et sérieusement traités, que leur famille et la sienne, soient expulsées ou réduites à ne plus pratiquer de telles activités diurnes et nocturnes du moins nocives, pour la vie, la santé, la paix et la tranquillité de leurs concitoyens, activités et agissements qui tiennent du fascisme, tentant des témoins qui pourraient les suivre sur cette pente dangereuse, et s’attirant par toute une mythomanie à mon sujet, l’affection de la police de nuit, qui les oriente vers des domaines médicaux incapables de traiter cette affaire, totalement totalitaires, barbares et incompétents en la matière, ce que je ne saurai tolérer d’avantage.

Je vous signale également que j’ai déposé dernièrement un complément de plainte contre cette personne et ses complices, a fin d’éluder le problème de sa présence dans cette résidence, et souhaite votre intervention auprès de ces personnes.

En attendant réponse et intervention, je l’espère, de votre part,

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de mes sincères salutations


Voici ci-joint le contenu des plaintes que j’ai envoyé depuis décembre 2008 au Procureur de la République de la ville de Montpellier, concernant l’activité mentale de Melle P à mon encontre, locataire del’apartement au dessus de mon logement actuel, et celle de Mr Rivière qui a eu pour concubines et visiteuses des jeunes femmes aussi acharnées et malades mentales, éthyliques et droguées, que cette demoiselle. Son état mental m’a révélé certaines fraudes qu’elle m’a occasionnées, provenant de centres pour anormaux et mongoliens, que dans son délire, et la self défense de ses proches et de sa famille, prêts à la protéger contre toute demande de l’interner, et ne sachant comment se débarrasser de toute personne qu’elle attaquerait de ses crises de torture et de meurtre dues à des accès de mégalomanie paranoïaque, lâchée sciemment ent ant que frelon brulot de mes idées, notions et conceptions, à mon encontre, dans mon apaprtement, ses atteintes schizophréniques très convaincantes et pourtant pouvant s’avérer très dangereuses, ce à quoi les prises en charge des centres pour adultes handicapés et secteurs psychiatriques l’ont délibrément poussée. Je constate simplement, que les centres appelés afin de l’évaluer, se sont penchés sur mon cas dès qu’elle a commencé, ainsi que chaque début de journée, à m’attaquer de ses armes de poing favorites, entre autres, lasers de courte et moyenen portée encore en test clinique, couteaux-lasers de chirurgiens, et autres instruments de laboratoire en test ou de nouvelle technologie de centres et de services médicaux que parait-il elle chipe et/ou que l’on lui confie, afin soi-disant qu’elle prépare ses études de neurochirurgienne et de médecine sur mon cobayage physique et forcé, se servant de ma personne autant que chair à canon de ses études, et esclave sexuel de ses parties « orgies »au cours desquelles elle a le droit de me tabasser, opérer au cours de ces fêtes alcoolisées diurnes et nocturnes, autant que l’on se servirait d’un objet de plaisir, ou d’une met à partager entre amis, la leçon de dialecte incohérent de délire de maladie mentale, pratique secte, apprise par cœur, destinée à faire accroire à la démence, sous peine de grave représailles si non acquise.Elle commettant accusations mensongères à faire vérifier sur moi, si tant la réalité correspond aux accusations diffamatoires avancées., vérifications destinées à désorganiser ma pensée, ca précédées d’ injections de Valium, neuroleptiques pratiquées en douce et à mon insu sur lecoup, ainsi que d’interrogatoires et surveillance sous matériel de guerre similaire au groupe électrogène, Vietnam français, faisant peser la suspicion pou prétendre à travailler et garder un emploi.

Sachant que les milieux qu’elle a appelés à l’aide étaient très corrompus et frauduleux, promettant leurs victimes à des maltraitances, opérations cérébrales amputant des quantités assez effrayantes de cerveau, pour plus de un kilo de cerveau en plusieurs opérations sur quelques semaines ou mois, militent dans les milieux sinon Nazis considérant cette idéologie naturelle, du moins soviétiques, parfois faisant l’apologie des deux politiques à la fois, certains plus convaincus que d’autres, sinon d’établir des répressions très violentes d’armes de combat récupérées a tire d’appareils de contention, qui parfois servent à opérer à travers murs et planchers, étant de cette technologie encore à l’étude sur les fous ou dits fous. En fait, je constate, que ces personnes qui leur sont confiées, surtout sur internement abusif précédent la remise en leur centre, sont parfois légèrement inadaptées, mais parfois saines, et ravagées de violences très dures, pouvant créer des lésions irréversibles de leur système nerveux et cérébral, voire, causer l’arriération légère à profonde par ablation systématique des zones cérébrales de la raison, de la conscience, et de la connaissance, bref, du savoir et du niveau intellectuel d ‘ordinaire requis, celui des doués et surdoués ou du génie. Ou simplement, du réquisitoires des plaintes occasionnées par des tortures des plus ineffables à des plus insupportables des zones sensibles accompagnées de tortures mentales très aliénantes .Le summum de souffrance atteint, la personne était plongée dans un supplice du watter-bording de tortures électriques, mentales et sous armement non conventionnel, supplémentaires, gavages intempestifs et systématiques de repas intubés pour gros mangeurs, constitués de nourritures contraires à la santé et d’eaux gazeuses salées, ou d’eaux plates polluées de traitements en grandes quantités, dont certains radioactifs, tels sels de lithium et électrolytes, destinés à les cogner à leur oter toute intimité jusqu’à la perte de l’identité et de la chronologie, ainsi que toute notion de raison, afin de conférer l’aspect revendiqué de la trisomie et de l’arriération, (dont le crâne raboté en brachycéphalie, la laideur et l’obésité requises) lobotomiser les plaintes et réquisitoires en question, susceptibles de les inculper. Je me suis heurtée à de telles pratiques, depuis quelques années, sur également les accusations de démentes du troisième âge, qui me confiaient depuis des années à ces centres pour handicapés mentaux, à mon insu d’abord, eux possédantes clefs de mon appartement, dont des trousseaux m’ont été volées et reproduits, enfin, ils pratiquent surveillance, contrôle, depuis les appartements voisins à leur victime, établissent une mise en observation constante ou quotidienne, si ce n’est en embauchant, entrainant des locataires voisins à ce métier de gardiennage, du moins, en inventant des faits qu’airait commis la victime, afin de la visiter, toujours à son insu, sur des tours de magie de secte, jusqu’à réduire leur victime en l’état de légume ou zombie de leurs fraudes. Parfois, causent sciemment et volontairement sans que cela soit avoué ou dit, des tumeurs cérébrales mortelles, des kystes frontaux ou cérébraux, nécessitant l’opération dont ils tirent gains et profits, pratiquées jusqu’à ce que mort s’en suive, entre temps, causent l’apparence même de l’arriération parfois poussent jusqu’à des cas complexes de maladies surajoutées à l’arriération, suivie de lésions corporelles graves destinées à les maintenir dans cet état, d’ailleurs causé par des violences physiques destinées à les battre et corriger sans fin, dans ce but d’en profiter financièrement et d’infliger des tortures aryennes ou staliniennes. Le summum des souffrances continuelles, contraintes au rapport et sévices sexuels également (dont certains par implants électriques ou électromagnétiques sexuels)se situant dans l’euthanasie par mort violente ou brutale de ces personnes tant sacrifiées au pouvoir de l’argent, autant que dans prisons prives américaines, la mort lente ou douce rarement permise, sinon le suicide causé de ces tortures insurmontables, sinon par la mort, en parlant de décès prématuré des débiles et anormaux.. Dans certains de ces centres ou maisons de retraites pour femmes âgées, l’on vous transforme une jeune femme de la quarantaine en une vieille femme d’apparence 70 ans en un rien de temps, après expérimentations organisées aryennes et sauvages étudiées sur ces personnes qui leur sont confiées. Leur autonomie reniée, empêchée, strictement interdite d’accès.

Cette affaire me concernant personnellement puisque j’en suis moi-même victimes et en quelque sorte unique témoin encore lucide de ces agissements, je vous prie d’agir en conséquence, ou du moins de tenter uen action en la faveur des personnes sacrifiées à ce trafic de directeurs de centres et maisons de correction, véritables truands en bandes organisées, et associations de malfaiteurs..

Moi-même victime de lobotomies mensuelles, ablation du pourtour du crane,, c’est à supposer, assez évidentes, sensées ne se remarquer sous la chevelure, et destinées à causer la baisse requise de niveau et le cerveau brachycéphale. Je suis initialement dolichocéphale t présente des aplatissements latéraux à l’arrière de mon crâne, qui ne sont trompeurs, à croire que la valeur de deux magrets de canard m’auront été prélevés, sur l’arrière de ma tête et son dessus, un coin en triangle prélevé sur le coté de mon front gauche, plus étriqué ensuite que le droit, tête en poire du coté gauche de ma face.,