jeudi 24 septembre 2009

Discours à Obama du 22-09-2009


L'économie de marché à l'heure actuelle du capitalisme impérialiste concentré sur des produits herzats de l'alimentation naturelle nécessaire à la survie de l'espèce humaine, herzats basés sur la sur-adjonction d'additifs toxiques et dangereux pour la santé humaine,( industrialisés à grands renforts de consommation-production de ressources naturelles, pétrolifères et nucléaires), et de farines raffinées, aliments carencés en oligo-éléments et vitamines sinon surajoutées sous forme chimique et non naturelle, en concentrations cancérigènes, nourritures cancérigènes en soi, trop abondantes en produits graisseux etc., (aboutissant à la surconsommation d'une pharmacologie palliative de cela et d'une sphère médicale réparatrice des dégâts causés par travail usant, consommation nocive, et soins palliatifs), la consommation à mon avis de la population de nos jours devrait se limiter à l'achat si quelque relance est permise, des produits de l'alimentation de base, à savoir, laitages, eau fruits et légumes frais, viandes et protéines animales nobles en produits frais, l'abandon des surgelés, conserves sinon produits céréaliers ou simplement en cas de survie, ce qui déjà limiterait les pathologies et décès, l'orientation déjà de cette consommation pourrait faire développer un marché du produits frais, sa filière de conditionnement et vente, ajoutée à la production de véhicules verts et d'une consommation de masse des produits de marché écologiques dits bio, dont le prix d'achat baisserait si sa consommation généralisée, le rétablissement d'un réseau tertiaire de services à la personne, d'organismes et associations, milieux associatifs bénévoles pourrait remettre sur pied l'Amérique. La déprivatisation de son secteur public, l'abrogation des prisons privées (incarcérant et torturant à but commercial et politico-financier), l'établissement d'une police de proximité, la législation sur la prolifération des armes, règlerait quelques problèmes de sécurité, l'embauche d'une police pro-Obama et non fondée sur une appartenance à l'extrême droite du pays dont le Ku-klux-klan, le rétablissement de plans d'attaque de front des problèmes évidents de l'Amérique me parait encore possible. A mon avis, la vie humaine peut très bien se limiter à une petite consommation régulière de produits de base, limités à l'essentiel plutôt que tomber autant dans la surconsommation de tout et n'importe quoi d'inutile ou dangereux pour la vie au prix d'un travail répétitif morbide, épuisant et carençant, mais de produits ciblés propres à l'hygiène et la santé, quelques biens utiles à l'autonomie des pays et des familles et citoyens, politique d'ailleurs première de l'Afrique, qui ne nécessite que de cette économie de petits marchés locaux, d'une entreprise d'assainissement de traitement et retraitement des eaux usées si l'Afrique peut se le permettre, d'une bonne organisation humanitaire établissant une économie non industrielle de l'eau et de bocages (idée de bocages, lopins de terre entourés de haies d’arbres et d’arbustes préservant l’humidité de l’air, du terrain et la faune, absorbant et retenant les pluies torrentielles, évitant le ravinement, à reprendre pour tout traitement du sol dans le monde) l'introduction d'un capitalisme planétaire inhumain pathogène créateur d’handicaps et de ses dictatures ne laissant survivre que l'inhumain où des populations entières s’ente-torturent et s’inventent des tortures à s’entre faire subir afin de mieux faire régner cette dictature, totalitarismes destinés à laisser proliférer ce système capitaliste de prévarication-corruption-surconsommation-surproduction en autofinancement et paradis fiscaux banquiers en place, n'aura été qu'une catastrophe terrible pour ce continent, les droit à se vêtir, se nourrir, se loger, l'éducation et le droit à la santé me paraissant l'essentiel de nos jour à conserver dans toute économie de marché et se limiter à cela. Renverser ce pouvoir exorbitant des cadres fixés du carcan d’un capitalisme sauvage, recadrer les finances et la production sans qu'elle ne soit automatiquement industrielle et basée sur la surproduction pour la surproduction, et non sur les besoins d'une consommation saine sans conditionnement pernicieux, court-circuiter l’usage de la spéculation financière de la Bourse, jeu de roulette de casino qui n’a lieu d’être, mettant au jeu de la roulette russe l’économie mondiale en danger, par le simple fait de repeupler les zones rurales, réduire la taille les grandes villes, fuir les macros entreprises et macros cultures (basées sur une monoculture latifundiaire) du sol jusqu'à son épuisement et le carencement en éléments nutritifs des produits agricoles, substances élémentaires du sol remplacées par engrais chimiques dangereux pour l‘écosystème, autant qu'en Amérique et de là en Inde, réduire la croissance démographique d’une planète surpeuplée, se fonder sur une économie de marché locale fondée sur une production agricole, maritime, d’élevage, de légère transformation, industrielle ou non, sans capitalisme dans de petites entreprise familiales du producteur au consommateur ou associatives, telles les coopératives, principes piliers de la survie de l'humanité et de sa démocratie


Libertés niées, bafouées par le régime actuel lié au capitalisme mondial, qui fait que l’établissement au fait des 35 h n’a été suivi du plan de redistribution des richesses et de la plus-value induit par Karl Marx, les 35 h libérant une embauche ainsi pouvant faire travailler durant ces heures libérées, 5 h par semaine de plus, toute une population de chômeurs et rmistes, ceci ajouté à un partenariat actionnaire des employés avec l’entreprise autrement dit, la fin de la rétention de la plus-value devant rémunérer de plein droit les travailleurs des grandes et moyennes entreprises, rétention financière alimentant les parachutes dorés et paradis fiscaux du patronat et des personnels à sa solde. Ou argent destiné à financer le surcoût de nouvelles machines de production d'une production liée à la mode, aux gadgets, au futile qui amène ces machines à la casse rapidement, sans cesse remplacées par de nouvelles, morale du gaspi qui crée de l'emploi pour l'emploi et de la production pour la production, seule relance propose par le patronat, vivant ainsi pour lui-même. Pour ce qui est des petites entreprises, la crise induite par cette rétention d’argent du bénéfice industriel (ou plus-value) rejaillit sur elles, ne pouvant répondre à l’embauche des emplois permettant que les employés ne travaillent pour tous ni pour dix dans des heures supplémentaires qui devaient revenir à être couvertes par l’embauche d’emplois supplémentaires tant promis, et que cet argent industriel de la plus-value retenu par le patronat aurait pu financer, sachant que cet état permanent de crise économique et financière provoquée par ces paradis fiscaux surajoutés au poids des paradis fiscaux banquiers, se sert du taux de chômage, en crise actuellement, pour effectuer une pression permanente et durable sur les employés surexploités par les heures supplémentaires et les conditions de travail, et sur ceux qui se plaindraient, rebelles parfois syndicalisés promis au licenciement abusif, donc au chômage. Situation générale de l’économie, ayant introduit et préparé le terrain à la crise financière et politique mondiale actuelle. Paradis fiscaux industriels et banquiers surajoutés à l’application sans suivi du plan d’accompagnement prévu socialiste de répartition de la plus value et des richesses, (impôt sur les grandes fortunes réduit à l’impôt sur les petites et moyennes fortunes) sans quoi l’économie de l'Etat aurait été saine et aurait pu financer l’embauche des inactifs.
Que Obama impose, en faisant état de président en puissance, et non victime le d'un état de fait passé, l'impôt sur les grandes fortunes afin de financer ses campagnes et ses réformes, me paraitrait une solution urgente, qui démontrerait qu'il est le président d'un continent qui a voté pour lui, traité sans respect aucun envers son poste en nazi par ces adversaires fascistes, pour son humanisme, envisagé par ses partisans qui s'en désolidarisent tel un homme faible avorton paria de ces klu-klux-klanniens qui le destituent de son role de président car main et poings liés, par ses adversaires, qui ne tiennent que d'une résurgence néo-nazie pro-buschiste Qu'il impose le respect qui est dû à un président élu par la moitié d'un continent, me parait aussi une évidence, il a le pouvoir, qu'il le fasse respecter et qu'il démontre en imposant ses réformes s'il le faut par la force, qu'il est le président, en fait bien trop laxiste, ce qui nuit à sa politique, non un dictateur tel celui que voudraient mettre au pouvoir ses adversaires, mais un homme de pouvoir lui aussi, qui n'a à être traité en imposteur pour sa couleur de peau ou la douceur humaine, bien trop faible, de son pouvoir. S'il est un homme, la terre entière attend ses devoirs de se faire respecter, car il est l'homme de la situation et l'unique solution de la planète, c'est bien en lui ce que chacun craint, sans parler de messie véritable, il était amplement temps qu'il contre-attaque, sans quoi, un de ces jours, on lui voudra jusqu'à l'empalement, tant le moyen âge de cette Amérique met un temps infini à mourir...


The french system of health is not the same in France and America, but the two know the crisis, and if the financials paradises, bancks and bigs companies detentors of money are not imposed to finance the Social Security, the two systems, french and american, will be in difficulty, so if i can be ill without to have to give money (to 100%), in France, the system is in some problem to find some financement, because the population and people in work cannot retribute the seniors, because the young people are too without work, so to create work is also a solution, chomage is the difficulty of France and America.

Pitié pour les gerboises:

Le débat de l’avortement devrait à mon avis se situer plus au niveau de la prévention qu'à celui de la réparation des négligences de contraception, donc contraception. Le problème étant inhérent à la propagande religieuse mondiale contre la contraception de la femme, qui n'en paie que les frais et se réclame de droit d'interruption de la vie, un pur assassinat j'en convient, l'embryon humain même encore né déjà un être humain, la solution consisterait à éviter qu'il ne soit paru sur terre, et donc, agir au niveau de la fécondation, mais, le hic se situant dans le fait que la religion l'interdit et règne sur la planète, d'où son explosion démographique, l'athéisme n'ayant fait que suivre la morale de la droite, qui préfère s'attaquer aux résultats de la "faute" de conception on désirée, plutôt que la prévenir, et instituent le droit au meurtre d'embryons humains au nom des obligations et devoirs du travail de la femme, que souvent, esclave du travail et de la société, après avoir été esclave des hommes de leurs dictats et totalitarismes, au nom de ses libertés, elle entreprend de respecter, dictature de servage, soumise au travail obligatoire au nom de son émancipation. Restituer le problème reviendrait à créer plus de plannings familiaux, de campagnes d'information et d'éducation sexuelle, qu'interdisent les religions, afin de dispenser l'information nécessaire à cette prévention, qui ne se base encore que sur des produits anticonceptionnels cancérigènes à base de produits hormonaux, et non sur l'usage qui devrait rester maitre, du préservatif, si simple, si efficace, l'avortement devant rester thérapeutique et réservé à des cas légitimes de santé précaire, viols, cas d’inceste et cas de grossesses indésirées pouvant conduire à la pathologie, les autre cas de grossesse indésirée pourraient être mieux pris en charge et aboutir à des accouchements avec adoption de l'enfant, si les accouchements à l'heure actuelle ne représentaient encore un danger de mort pour les femmes, la science s'étant bien gardée de quelque progrès en la matière plus efficace, si l'on va de nos jours sur mars en fusée. Société de consommation qui détourne les femmes de leur vraie fonction, d'être mères, leur rôle premier, en Europe du moins, les oblige à concevoir tout comme à avorter pour les besoins d'un capitalisme sauvage, société du gaspi, où l'on jette jusqu'aux bébés à la poubelle pour le simple fait d'avoir omis un préservatif durant l'acte, où les mères pour leurs quelques instants de déprave, en occident du moins, à laquelle elles sont adoubées, rendues par la société irresponsables ou inconscientes envers leur fécondité, priées pour les lois du travail de n'aimer leurs bébés, qui n’ont absolument pas mérité leur décès même en cas de viol par leur père, les assassinent froidement, quand interrompre la vie et une grossesse, ne peut se produire plus de trois fois dans la vie d’une femme, car intervention traumatisante dangereuse pour la vie et ses lois. Comment peut-on réduire une femme à tuer son enfant…. Torture, conditionnement. L’athéisme, dont je suis, devenu prosélyte en cette matière, intégriste dans son rôle et acheté aux besoins du capitalisme, de ses dictatures, niera peut-être cette solution, mais elle parait la plus saine. Un peu de morale, d'éthique déontologique dans ce champ de bataille de médecins Diafoirus poujadistes et arrivistes qui devraient vivre pour préserver la vie, et qui au nom du féminisme et de l’humanisme ont laissé pratiquer de tels débordements de gaspillages de chair humaine objet de ce marché, serait nécessaire. La polémique à mon avis, peut se situer à l’absence de prévention du viol, des conditions de la fécondation et de la femme. L’avortement ne pouvant remplacer la contraception.

mercredi 23 septembre 2009

Si la colère des producteurs de lait s'avère autant justifiée que dérisoire face à un pouvoir auto autarcique méprisant toute révolte qu'il aura causé de mesures draconiennes négligeant les sources mères de la production et de la consommation courante, je pense à toute forme de production alimentaire de base,céréaliers, producteurs de légumes, marins de chalutiers, huitriers etc, il est très dommage que les producteurs de lait et victimes de ce régime de sous-traitance du capitalisme aigu, poussées à toutes formes de la révolte paysanne d'esclaves sous payés et de serfs, croquants en servage, qui ne date de ce siècle mais revient à la mode de ce siècle de féodalité moyenâgeuse totalitaire ambiguë, ne se soit décidés, si personne ne leur en a donné l'idée, à confier leur production, en effet gaspillée avec leur force de travail et les moyens de production nécessaires à ces produits, de confier leur production inutile donc en signe de protestation, à des organismes sociaux et humanitaires tels le Secours Populaire, les restaurants du Cœur, autres associations humanitaires et ONG, d'autant que ces produits frais manquent terriblement dans les classes défavorisées et que le manque, le besoin pressant de cette production aiderait jusqu'à des femmes enceintes miséreuses en disette, enceintes et pourtant laissées sans vivres, des nourrissons grevés de la misère actuelle, futurs handicapés de leurs carences alimentaires, quitte pour eux, ces gens qui, nécessiteux vous seraient reconnaissants de cette aide, à mourir pour ne point se nourrir des poubelles de la société d'abondance si sombrer dans le sur-endettement et la délinquance. Grave sujet, que j'ose aborder, d'avance merci d'essayer d'y penser. Je compte sur vous pour faire passer le message.

Ecrit par : Line Llao | 19.09.2009

Merci, un grand merci pour votre confiance, ces manifestations à but humanitaire de dons à la criée de lait invendu, il faudrait que ce signe de protestation publique, qui engage aussi les personnes miséreuses des pays touchés par la crise, se propage chez les agriculteurs et producteurs de lait étrangers, je compte sur ce mouvement pour que l'idée atteigne tout producteur de matière première alimentaire ou non et de denrées nécessaires à la survie encore consommables (car surtout ces domaines de production touchés), en stock détruit, perdu en cas de mévente, d'en faire don public par solidarité avec les nécessiteux, autant afin que cette attitude de faire participer les victimes de la crise autres que les producteurs, renforce le mouvement, et contribue à donner un impact de plus à votre campagne, votre révolte tellement justifiée.
Encore merci.

Ecrit par : Line Llao | 22.09.2009

dimanche 20 septembre 2009

Moratoire contre la répression psychiatrisée des libertés de la femme, du féminisme en France et en Occident

Opération d’opérations en masse du cerveau destinées à mutiler froidement toute zone cérébrale cause de toute lucidité, ne serait-ce que philosophique sur le monde, l’univers et le propre positionnement de l’individu face à la répression qui s’en suit, normalité raison, raisonnement juste, conscience et conscience politique, cognitive. Phénomène reconnu des Femmes Savantes, son savoir sa culture sur le monde, sa philosophie cognitive, ignorance requise tant grave que l’on doit y laisser sa tête sur le sur le bloc opératoire ambulatoire à domicile, autre contrefaçon d’échafaud et qu’elle n’en reste que boniche, borniche fasciste ou bien curée, dans la borne du non savoir, de l’incompréhension totale, l’absence totale de logique, l’hystérie poussant à l’hystérie sociale et politique,

Le cerveau réséqué des nerfs de son polypier, le réseau nerveux des organes de son plaisir et de ses zones érogènes réduit à polypier, jusques dans les nerfs sciatiques descendant le long des faces internes des cuises, suivi de leur résection, ou excision des femmes en grand, dévissage ultime des femmes prostituées par la nation et leur père, jaloux de sa fille pour ses futurs beau-fils ou amants de la belle en âge d'aimer, les en séparant selon l’affaire des amants de Vérone. Femme au travail sinon d’accouchement exciseur, au travail salarié tu seras, ou celui de prostituée, l’organe clitoridien jugé hérésie même de la Femme jugé polype du cochon 9, du pavillon 20 et 19. Digne du nerf polypier du bras gauche, en principe celui du cœur.

Discrimination positive populiste envers l’illettrisme, l’ignorance requise de la Femme, illettrisme contrefait par les méthodes totalitaires d’un hôpital Goulag russe et les expériences Poutinistes d’un pouvoir partagé entre Biélorussie et Allemagne néo-nazie, vieux barbons des services spéciaux ne réclamant le peuple que de leurs infirmités, la totalitarisation des mœurs, la ritualisation des maladies dues au Sexe, la liberté d’opinion devenue délit d’opinion, opérée des maux de la Médecine et contrefaits d’un libéralisme économique du domaine médical absurde et abscons, ne vivant plus que pour lui-même dans les dérives d’un capitalisme vers le nazisme pur selon les déterminismes du Goulag marxiste de chaque pays.

L’amour jugé Folie, démence dangereuse de la Femme, à castrer de son arbre nerveux sexuel, de ses attributs du plaisir trait en hystérie chez elle pour qu’elle ne reste que Folle, condamnée à la tristesse de la mélancolie à vie traitée, dite chez elle schizophrène. Ses zones cérébrales sensées représenter son cerveau reptilien ou contenir sa pensée, réséquées, castrées ou en partie, considérées testicules de son père, pour ce qui est du cervelet, dans l'acquisition de l'aveuglement idéologique et mental de par la folie d’Œdipe roi de Pères Ubu du milieu médical en vigueur en ce cas, la psychiatrie, modèle actuel de pureté, chrétienne et nazie.. L’amour pour sa gueule d'Ange assassiné ou assassin.son organe du plaisir laissé verrue molle sans vie, innervée, bout de bois pelé râpé profondément, ou absent. Tranché ou amputé. Mutilé. Excisé.

Problème initial de la Femme dont la rébellion et l’intelligente émancipée revendicatrice éclairée de clairvoyance est traitée en démence précoce ou démence pure, voire accident dépressif à mégalomanie chez les surdouées, depuis les Femmes Savantes, cherchez l’artiste condamnée au rôle de figurante de sa vie, la gloire vécue par procuration chez celles qui restées de ces mesures répressives encore un rien douées, refuseront l’emploi de Marie Curie, condamnée à la mendicité et au délit d’opinion auprès de la société et de son Père donc envers l’Etat, dans l’indigence absolue de la cécité œdipienne de son rang devant rester si elle rêve artiste, celui de la Bohème, apolitique et désœuvrée sous une France de cette Occupation...

La gegène ou poste à soudure dans ces cas considérations et corconstances, non seulement une sensation bizzare larsen et placebo anormale des sens du corps, donc cénesthésique des sens, chez la victime des sensations causée de ce groupe électrogène, mais aussi, une dérivation somatique d’un blocage évident et libidineux de la libido manifeste au niveau du logos par des cris sauvages suivis ou accompagnés de délérium trémens après prise de calmants tels le Tranxène ou ou décompensé de la maladie, suivi d’épuisement léthargique parfois jusqu’à catatotinique dans certains cas avérés de sckizophrénie déterminable à cet effet, ou de l’hyperactivité mentale coprolalique, et vieillessement prématuré dû à l’inquiétude et état d’anxiété permanent, à calmer. Sic. La douleur cénesthésie causée par la sensation de décharges électrique d’un hypothétique engin de guerre usité en tant que moyen de répression ou de soin systématique de la folie.

Obligation aux peuples opprimés des français, d'oublier les griefs et contestations envers un Etat de dicature totalitaire français, dans l'opium alcoolisé des peuples soumis, sous peine d'amnésie plus grave, sous peine de mort du verbe, de ‘érudition dela langue, du corps et de la liberté de pensée, causée par la torture électrique du cerveau et des nerfs sexuels faciaux. Les tabassages pataphysiques et pataphylosophiques aux épissures des postes à soudure ainsi qu’au Soudan, sous Sadham Hussein, ils se pratiquaient eux, sous les plantes des pieds, les pieds, le nez, l'effet sensoriel de la gégène identique...

Exigence pornographique de par la médecine sur demande populaire de jeux romains et de pédophilie grecque, de prostitution infantile sur adultes et mineurs au sein des familles, rendues expressement pour ce genre de jeux pervers, de type pétaniste usant des armes pro-sovietiques afin de régner sur la planète et leur progniture, étendant ce pouvoir fasciste réclamant le droit à la torture libre et à la libre exécution sommaire, sur les animaux et les autres espèces de la terre par le viol sadique y compris homosexuel, pédophile, ainsi que l'intégralité des vices du proxénétisme, et de la prostitution par les lois du poste à soudure, de l'arme de contention utilisés en tant qu'instrument de torture selon les thechniques du waterbording aux contrefaçons de poste à soudure usités pour nombre d'opérations neurlogiques à neurochirurgicales employées dans les étabissements psychiatriques et voire pénitentiaires, .

:A Amnesty International : Je vous remercie pour votre news letter, et répond à votre article sur les mutilations sexuelles des femmes, cette pratique bien ancrée hélas dans les coutumes françaises et occidentales, rite autant religieux que athée, car la science et la médecine invoquées dans ces cas, la libre pensée fonctionnant selon la raison scientifique devenue religion et raison d ‘Etat, la médecine (Etat dans l’Etat, Vatican dans le Vatican) et surtout la médecine psychiatrique et ses médecins appelées à tenir le rôle de gourou exciseur, exorciste exorciseur du mal d’Aimer de la femme, et de l’Amour de l’Homme, plus d’amoureux de la planète, encore moins de passionaria, la Passion ne passera, selon l’église évangélique des intégrismes de ces religions, qu’elles soient athées ou pas :

L’excision des femmes et de leur pénis « modèle-réduit de celui de l’homme », celle du prépuce des hommes, ce qui équivaut si les organes peuvent ainsi se comparer, à l’excision d ‘une petite lèvre chez la femme, cette excision pouvant se pratiquer par éradication du plaisir sexuel et innervation lente des nerfs des zones érogènes, des organes du plaisir, la femme ayant le seul droit de voir mourir lentement son innervation sexuelle du plaisir, par électrodes, implantées, forme nouvelle de l’infibulation pratiquée encore de nos jours en psychiatrie, de main de personnels médicaux très embarrassés pour l’expliquer car eux même condamnés à la semi ou totale clitoridectomie ne serait-ce que par amputation des nerfs du clitoris ou leur déchirement, son inhibition ou son viol ou à l’ablation du prépuce, ce qui peut créer des problèmes réels, le gland de l’homme excisé du prépuce frottant avec les vêtements serrés, et se mutilant d’avantage, non protégé par le prépuce, le pénis selon certains, toujours excité ou à demi, (car cette mutilation empêche les gestes sains de la masturbation, le manchon du sexe trop réduit de cette ablation, et ne pouvant coulisser) de cette forme de nudité supplémentaire et forcée, homme forcés de cette exaction. D’où des personnels médicaux, « passés par » ces ablations, dits tordus et tracassés de première, autant si ce n’est plus que leurs prétendus malades. La folie indiquée dans les cas de femme ou d’homme possédant ses facultés mentales mais aussi doué de posséder l’intégrale possession de son appareil génital, et son libre usage. La condamnation sociale du plaisir et de la libre possession de son corps, de son appareil génital, une des clefs du christianisme et du capitalisme. Ce qui crée une population de vices et d’inhibés ou mutilés sexuellement, homophiles, forme de droit d’asile social contre ces persécutions. L’inhibition sexuelle autre forme de mutilation génitale, privant de l’usage du clitoris, des organes du plaisir chez l’homme et la femme, et donc, nerf de la guerre de nos sociétés ; le plaisir intégral du corps et de l’orgasme complet, ou réduit à être partiel, condamné par le viol jusqu’à l’auto-lysisme, causé par l’alcool, récupéré par les drogues causant l’orgasme, autrement-dit, l’interdit personnel du plaisir jugé acte de prostitution et condamné au proxénétisme sinon familial, du moins social, médical et répressionnaire. Les viols correctifs, la suralimentation forcée, consentie ou non, sont un exemple de méthodes usitées pour condamner à son annihilation le plaisir sexuel et la pleine possession de ses organes.

La torture, génitale et mentale, la mutilation cérébrale ou du système nerveux dans ces cas d’émancipation féminine ou masculine, dès ses prémisses, est qualifié de droit incontestable à incontournable à la mutilation sexuelle et de là nerveuse et cérébrale. D’où l’usage de la répression psychiatrique dans ces cas, en France, et en Occident. Se crée un système de suspicion et de chasses aux sorcières qui dure en France, en Europe, depuis le 19° siècle et la princesse Eugénie, ou le Directoire... Suivi d’une codification vestimentaire des pratiques de ces mutilations, très importante dans al détermination de la folie incriminée dans les cas d’émancipation intellectuelle. Et la pratique court de cette mutilation des femmes au cours d’accouchements répétés pour lesquels elles auront été conditionnées et poussées à les admettre, car rendus dangereux pour leur vie, et roulette russe de la société, le premier certifié assez mutilatoire, violeur et volontairement douloureux pour causer des plaies et dégradations voulues de l’organe féminine, définitives, assez du moins pour empêcher freiner réprimer ou gêner l’orgasme. Accouchements exciseurs causes de revanches des mères sur leurs filles et fils pour leur pleine possession de leur facultés et fonctions naturelles, et des persécutions envers la nubilité des enfants, adolescents, qui vont à l’attribution du diagnostic de folie, justifié ou pas, chez les adolescents. Car certains présentent à la suite de ces exactions, des troubles psychologiques et mentaux, d’autres, simplement rebelles importunés et victimes de ces rites obnubilatoires, et donc internés ou suivis médicalement pour leur rébellion. La stérilisation forcé des femmes dites atteintes de folie pour les persécutions subies de ces rites mutilatoires, les ayant sauvées en quelque sorte, de ces accouchements mutilateurs, leur est reprochée ensuite, par l’innervation aux implants ou aux électrodes, de leur système nerveux sexuel ; électrodes hors convention et non officielles, mais réputées efficaces, je le rappelle, allant jusqu’au plaisir forcé de l’épilepsie, autre forme de viol, dit thérapeutique, et mutilateur également. Remplaçant celles de l’accouchement évité.

La réduction obligatoire dans les familles françaises, chrétiennes ou même athées, des petites lèvres des petites filles ou des jeunes femmes, se pratique encore, petites lèvres rendues « enveloppantes » c'est-à-dire très volumineuses et développées, et donc pouvant être cause de gêne épouvantable chez les jeunes filles, conditionnées dès la puberté pour se les faire opérer (jeans serrés mutilateurs, prohibition) et réduire autant que par réduction

de poitrine, par toute une sous culture destinée à frustrer de l’acte sexuel afin d’ancrer le plaisir anté-opératoire causé par les rites familiaux et sociaux, par la frustration causant une érection ou semi érection continuelle sans aucune possibilité de satisfaction, sinon causée en cachette dans l’interdit et la surveillance totale de la vie intime, ou au cours d’orgies à farces Jung nazies,

facéties et scènes de boui-bouis, de théâtre de cabaret familiales et sociales. Ceci vaut autant pour les hommes, contraints autant que les femmes et les enfants à ne point se toucher, autrement dit à ne point avoir recours au plaisir solitaire condamné à mort par les religions, chrétien en également,, ceci maintenu jusqu’à l’apparition des pollutions, nocturnes et parfois diurnes, ce qui est une gêne sociale, un handicap dans le travail, crée un phénomène relationnel apitoyé et compatissant de relations amicales pour « sauver le jeune homme » de la confusion, ce phénomène ne se passe de clinique privée ou de l’hôpital surtout psychiatrique chez les familles et classes fortunées, les basses classes réglant le problème par la violence familiale et voies de fait mortelles, le proxénétisme, et les violences parfois meurtrières conjugales.

Les jeunes gens mariés à leur famille, ni plus ni moins, le temps de se faire « sauver » par la vie maritale ou conjugale, de ce fléau.. D’où le rôle du beau-père castrateur des belles-mères, contrôleuses génitales et malthusiennes du plaisir des couples, une certaine partie de la médecine, psychiatrique surtout, très corrompue dans l’exercice de ses fonctions, préconise depuis le discours de de G. Bush, la chasteté préconisée chez les jeunes jusqu’à leur mariage, rendu obligatoire donc, l’inhibition sinon leur mutilation de leurs fonctions sexuelles et le contrôle mental, génital, de leur vie sexuelle et leur droit à la reproduction, la stérilisation forcée des dissidents et résistants, contestataires et récalcitrants, conseillée et pratiquée par la médecine même. Jusqu’à l’hystérie sociale, la barbarie populaire, la transe sociale et la folie généralisée. L’être sain accusé de folie pour son émancipation et la possession de ses facultés et fonctions naturelles, la folie librement admise, considérée et décrétée norme, la schizophrénie revenant à être une des rares situations de dénonciation de ces faits, ou forme de l’accusation de démence envers la contestation lucide à ces exactions et pratiques, considérée délit d’opinion, ce qui est tu et tabou, le délit d’opinion en France, et en Occident, s’il est condamné par la psychiatrie, est non-dit, ni reconnu aussi ouvertement qu’à l’étranger. Si les femmes connaissent l’excision, la mutilation génitale et ses rites sociaux, les hommes autant. La Beauté des jeunes gens niée, sinon crachée au visage et surexploitée dans certains cas, car causée par tant de souffrance, et de pureté morale des victimes.

La suite consiste en la surmutilation du sexe des femmes, dans des rapports de couple, violeurs assez pour rendre frigide. L’essentiel étant qu’aucun ni aucune ne puisse s’en sortir entière, ou entier, autant que cheval et bête de somme, mais coupé pour plus de docilité

La psychiatrisation de la femme émancipée afin que son langage érudit soit ramené à la stricte et pure simplicité du langage destiné à l’éducation de sa progéniture soit des plus adéquat à ce qu’en espère la norme sociale que fait respecter la psychiatrie, en tuant en elle toute forme de sa faconde, sa culture et son niveau ramené par la constitution de son corps en celui de prisonnière d’opinion, à celui des basses classes du lumpenprolétariat, norme requise jusques dans la haute société qui préfère ses bécasses qu’elle met sur le pinacle et prostitue en toute liberté, aux femmes cultivées douées de savoir, d’intelligence, de finesse et dénuées des rituels sadomasochiste du culte ;

Si la véritable maladie en France, mentale telle qu’elle est prise en charge médicalement par la psychiatrie moderne, n’est l’établissement du diagnostic de démence, envers des prisonniers de la torture électrique dont les sensations causées sont délibérément, si cela n’est clair ni pas compris objet de diagnostic de folie ;

Chasse au célibataires et pogroms organisés par la population sur travail commandité de psychiatres, envers l’usage coutumier dit répétitif de la masturbation, ou l’onanisme ou plaisir solitaire, (certifié par la populace et la psychiatrie ne rien foutre ou branler à ne rien faire, langage ordurier médical, donc être résolument Fouriériste), la Veuve joyeuse des amoureux en attente de couple, des couples brisés, de la masturbation à deux, sur des problèmes d’interdit dus à la religion et à un regain de nazisme dans les secteurs médicaux intervenants sur appels délateurs de type vichyssois. Chasses aux sorcières répétées dans les rangs des célibataires dénommés dans ces secteurs psychiatriques réputés pour mettre une fin à ce mal, dans la population des célibataires dénommées vieux garçons et vieilles dès l’âge de la nuptialité, ou de la puberté, jusqu’à des crises de révoltes chez ces personnes pourchassées de soins intensifs à domicile déclarés préventif s’en fait de véritables placements d’office à internement non déclaré sinon suivi médical, soins pouvant atteindre un degré de violence certain, jusqu’aux voies de fait prolongées jusqu’à l’apparition de troubles réels, physiques et/ou mentaux, violences de type violences conjugales parfois jusqu’au décès suivis de violences supplémentaires de type opératoires, sans anesthésiques, viols correctifs et thérapeutiques en genre et de toutes natures, accompagnés et ou suivis d’opérations du cerveau le plus souvent au départ neurologiques et neurochirurgicales, précédent un état de crise post opératoire nécessitant l’hospitalisation réelle et office.

Moi-même victime de réductions sexuelles, (réduction des petites lèvres autour du clitoris, ablation de son prépuce, partage en deux répété du frein du clitoris, dès l’âge des 9 ans jusqu’à aujourd’hui, implantation d’électrodes génitales afin de réfréner et punir le plaisir, solitaire ou à deux) et de mutilations nerveuses pour le simple fait de posséder encore l’usage de mes organes génitaux, non mutilés ainsi qu’il est de rigueur par l’accouchement protocolaire, ces pratiques en France monnaie courante.

Argumentaire :

Le devoir d’arriération de la Femme constituée et devant rester arme de guerre ou faible faible-femme et faible d’esprit face à l’Homme et envers le Père et la Mère de famille, familles soumises encore de nos jours aux violences patriarcales de type iraniennes, obnubilés par l'Oedipe Roi, le complexe de Jocaste et la Révolution française, la poutre borne mentale franquiste ou de tous types fasciste prise chez eux pour génie stratège scipionnesque induisant à l’amalgame berluscolinien de la procession Klu-Klux-Clannesque franquiste et mussolinienne, et le goulag soviétique prôné prêché des communistes italiens ou le bloc opératoire ambulatoire assuré, Femme tais-toi et reste ignare ou je te lobotomise, autre forme de violence à domicile ou conjugale du père, de la mère ou de l'époux, totalitaire et médicalisée.

Usant du droit de la lobotomie par neuro-chirurgie et électrodes au même titre que raclée sur prostituée ou délinquante, autant que possible contre toute défense ou accusation de la victime (sa défense, sa contestation même (induite par ces répressions continuelles) criminalisées, au banc des accusés), consécutives aux violences, sinon initiales, du moins perpétuelles, se fondant sur tout prétexte venu. Regain actuel du problème de ce despotisme familial, trouvant mercenariat dans les membres du personnel des CHR et passant vite pour effet de mélancolie chez l'accusée, ses allures de garçonne déjà condamnées de longue date par l'abus constant de traitements neuroleptiques.

Actes de neurochirurgie alliés au pouvoir sur l'organisme des électrodes sous les lazzis et moqueries populaires de la famille et témoins autant que dans excision, opérations du cerveau cause de l'acception profonde somatique du plaisir jusqu'à l'orgasme et le coît, envers l'oedipe incestueux du père ou de la mère, précédée de la défloration dénommée "par le vilebrequin", tire-bouchon genre ou dénommé "Charles De Gaulle" ou perceuse destinée à forer des trous dans les os du crâne pour y introduire le trépan déflorateur, en vogue en Italie et France depuis les temps de Casanova. De nos jours, les forages de trous se pratiquent au laser, ou par la fracture du crâne aux électrodes, et faisceaux dont certains dénommés marteaux. Cf. pétition sur la libre circulation des armes de nouvelle convention. Règne une légère hystérie sociale et un certain révisionnisme vichyssois à l'encontre de ces pratiques et faits infligés jusqu'à femmes enceintes ou ne le sachant encore, autant que dans asile psychiatrique turc. .

Causant sciemment le transfert anal et rectal du plaisir chez l'homme et la femme contestataire pour une infliction plu complète et parfaite des vices et déviances de la prostitution, avec soumission à homosexualité. Dénommé par les victimes et la plèbe "se faire baiser, ou niquer". Le père tout au plus dans ce cas soigné pour mythomanie voire hallucinatoire et inventive quand il avoue ses péchés et activités de despotime sur sa victime déclare sa protégée.

Et que la Femme n'exprime sous ces procédés, que la joie de se prostituer une fois déflorée par l'œdipe l'inceste institué selon les préceptes de Sade (jusqu'à l'absence de ressentiment) Sodome et Gomorrhe par ses macs dont elle se fait punir par la mère le père et leur famille, dans le silence du viol de la femme battue, du viol thérapeutique et de la violence gratuite, à domicile, de la prostitution gratuite de la femme facile instituée jusques dans le couple, et se confine dans l'auto-confinement totalitaire intimisé en moi-je, à l'adoubement à tous les proxénétismes dans le manque sexuel induit et causé, du devoir de ne point se toucher ni se satisfaire.

Fait rituel de la religion et de l’Eglise chrétienne propagé, protégé et imposé par la médecine psychiatrique au nom des valeurs rituelles de la torture dans les mœurs. Constituant par l'imposition des faits de l'ignorance, des femmes incultes à représenter un danger physique pour autrui, forme d'armes d'offensive secrètes, lancées dans la population, meurtrières et pathogènes, constituant prisonniers d’opinion de ces femmes-armes de lutte de classes.

Le viol mutilatoire de la Femme banalisé en occident arme de guerre autant qu’au Congo mais décrété d'origine naturelle et attribué à la nature. .

Odeurs fétides de viol, toujours mutilatoire je le rappelle, institué jusqu'à la cancérisation des plaies tant fréquentes, odeurs animales d’animal blessé de la torture et ses blessures que libèrent les corps mutilés de ces blessures morts ou encore en vie usant les eaux de la planètes destinées à laver ces dernier outrages aux droits humains

Signez la nouvelle pétition sur :

http://www.thepetitionsite.com/4/linellao-care2-letter-to-world3

Gauchiste, ou énervé, machine à payer les coups qu'on lui donne, le plus aliéné de ses droits, sinon la Femme plus que lui perçue aliénée pour cela, l'énervé de service pour qui les services de la police ne font rien.

Ou retour à la case départ, de son parcours de combattant. Pour des prunes qui lui auront été collées au corps et au front, et sa bugne qu'il a prise. L'énervé en question ne devant s'en prendre qu'aux services sociaux s'il y a, ou services médicaux qui s'en feront paraît-il de parfaits avocats. Arraisonnant plus pour arraisonner au groupe électrogène, (implantés s'il le faut jusques dans les plaies fraîches de dents excisées de leur mâchoire, plaies sanguinolentes considérées celles d'un clitoris ablavé à torturer aux aimants à distance et électricité pour que le problème de l'excision dans le Maghreb fasse plus mal ou fait des tortures de l'Algérie.) sinon par le raisonnement envers les arraisoneurs.

Ou clitoridectomie directe pour sa fréquence sexuelle, existe une forme dérivée indirecte encore de nos jours en vigueur dans centres hospitaliers et cliniques privées, l’innervation du réseau nerveux de l’arbre des ramifications nerveuses de l’organe clitoridien par tabassage de ce réseau au poste à soudure jusqu’à le paralyser à vie ou le rendre non fonctionnel. Voire le tuer, net ou à la longue et ils en prennent le temps. Torture encore de nos jours en vigueur dans les hôpitaux psychiatriques français, infligée depuis le Moyen Age dans les asiles d’aliénés, au nom de l’hystérie de la femme et de son clitoris à cette époque là trouvé « en massue » tant auto-torturé de maltraitances et tortures induites, voire, cancérisé. D'où chez certains enclines (à force d'exaltation maintenue et d'états seconds prolongés par divers procédés), à se mutiler cet organe du plaisir que la médecine réserve à la fillette, ainsi que multiples zones érogènes dont celles du visage, d’où le port de la ceinture de chasteté hygiénique, encore récemment en vente dans pharmacies.

Femme, libérée. Accusée d’hystérie pour l’hystérie collective de certains en mal de se venger de mon inactivité due à l’infirmité voulue passagère chez moi, et donc sujette à des résolutions expéditives scientistes des plus éculées concernant le mal de pureté et donc l’hygiène des jeunes femmes encore capable de posséder leur nuptialité, leur fécondité et les sens de l’Amour. Nuptialité qui selon ces mêmes personnes causeraient mon inactivité et m’empêcherait de retravailler. Femme marquée au fer rouge de la psychiatrie jusques dans son cerveau de bête humaine réduite à l'inhumain de son sexe, aux enfers du bouge devenu son taudis personnel, condamnée au plaisir partiel limité à celui de son clitoris ou de son vagin, à la frigidité de ses autres zones érogènes, sinon en manque et appel constant jamais assouvi et resté inassouvi jusqu'à ce que mort s'en suive, et aux seins de glace.

Femmes. Ne jouissant plus que par le tube digestif, devenue ventre à pattes, tubes digestifs déambulatoires en fonction des fonctions seules de la grossesse, uniques survivantes dans l’affaire, et à prpos des grossesses , du taux de fécondité reproché depuis sa conception à la Femme, encouragé le plus souvent par les politiques natalistes des intégrismes politiques et religieux, ce taux de fécondité depuis la haute Antiquité jusqu'au au Moyen Age et de nos jours repoussé subconsciemment par l'homophylie, bref l'homosexualité, (résolvant des problèmes d'intolérance au manque d'empathie entre les partenaires qui en usent, due en partie aux pouvoirs et effets de la semence humaine sur le corps et l'esprit de la femme ou du partenaire, très riche en emphéhormones et neurotransmetteurs, toxines mentales, résidus d'effets corporels, etc) ne devrait se résoudre que par la réintégration du préservatif dans le couple, uni ou non par les liens du mariage, permettent une lutte plus certaine contre les MST dont les plus mortelles, en fonction de relations extra conjugales et aléas de la vie des couples, cherchant meilleure ententen dans un rapport extérieur à leurs frustrations, couples infidèles maudits condamnés depuis que l'humanité est née, au lynchage et voire au décès par les religions, (ce qui fut cause en partie de l'athéisme) pour l'introduction des maladies sexuellement transmissibles au sein de la population, leur propagation due à l'infidélité, et l'embastardissement des patrimoines génétiques qu'ils créent, créant par enfants naturels les bâtards tant coupables de l'Histoire. Condom au début del l'Histoire jusqu'au 20° siècle en peau de boyaux de porc ou de mouton, bref, retracé parl es peaux de boudins et saucisses dont l'extrême droite et l'ancienne Allemagne ont tant défrayé l'Histoire.

La Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme. en cela je suis d'acord sans les soutenir outre,avec un certain révisionisme des camps de concentration, ce qui en réchappé ont été moins aliénés ou corporellement lésés que certains blessés de nos jours morts pour plusieurs par jour prématurément, combien par an, quand d'anciens déportés sont décédés centenaires, ou quasiment dont mon grand-père, réquisitionné au STO sous les Allemands. C'est dire si la France a augmenté le taux de dangerosité de la vie quotidienne en comparaison de celui de la guerre mondiale de 39-45, France allant aujourd'hui, à mon avis, beaucoup plus loin en la matière, que les nazis.

Lutte contre le rêve d'amour, le fantasme amoureux : Le fantasme sexuel si non névrotique ni violent, concédé si uniquement impur, proxénète, homosexuel, violent, entre femmes saphiques ou gros matons. Rêve commué en cauchemar mu par l'inceste pro germanique, la loi de l'orgie répressive et publique.

Electrodes-parties fines de viols à tabassages, dans établissements pénitentiaires et disciplinaires peu scrupuleux, ou même de simples pavillons dont certains dits de crise, occupation, pré-occupation par ce fantasme de terrains neutres, vides mentaux pollués d’obstructions systématiques aux idées de la Gauche. Vieux fantasmes de viols issus du lumpenprolétariat qui rêve des amours petit-bourgeois, typiquement sadomasochistes tant inspirées de l’Extrême-droite et du fascisme.

Prostituée par malheur surprise amoureuse et fréquente. A traiter par lla traite des blanches et le tabassage comme à coups de poings par le moure de sa jolie frimousse, l'amour la rendant trop fine et belle, des appareils d'Etat et armements des faisceaux.

Au nom de l'ignorance devant rester obligatoire envers cet organe féminin, dont l'existence tourmente la médecine et les psychiatres, instituant la tourmente ou tournante médicale à titre de soin de cette folie, posséder encore à un âge procédé, son organe. Prévu virginité qui ne doit résister à l'accouchement prévu viol avec violences pouvant être mortelles selon le degré d'émancipation de la patiente, crispée d'artéfacts sociaux ad-mortem quasiment, la femme de nos jours considérée malade par la médecine sinon en placement d'office, du moment qu'il est aussi prévu qu'il doive un jour mettre au monde en milieu hospitalier ou de clinique privée, et en cas de stérilisation forcée, femme libérée ou qui ne s'ignore promise inexorablement au viol thérapeutique psychiatrique castrateur de la pensée de la femme et mutilatoire de ses sens. Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle.

Dénommés troubles sensoriels ou des sens, hallucinatoires chez elle. Que la femme retourne à son sexe de bête qui devra rester sa seule ouverture au monde et son nombril, sous peine de devoir sentir la bête fauve sous les électrodes et le viol, le sévice ordurier de l'Inquisition qui l 'attend, attendu que cette seule et unique focale des pensées auxquelles le machisme devra l'assigner, la sauvera si elle ne l'indique, de sa pensée pacifiste sur le monde, prédicateur de sa perte sui elle se refuse à ce viol supplémentaire. si elle ne tient sa science infuse qu'à l'ingestion forcée du sperme et de la semence d'intelligence de l'Homme qui la rend ainsi à l'Homo Sapiens, en sus de celui de De Gaulle.

Et qu'elle se prenne ça dans les gencives en plus du baba voulu trop cool, et digère ça en sus de la merde à l'épinard de son nourrisson, ou qu'elle devra à la constipation sodomite due au traitement jusqu'à des doses létales et fort empoisonnement, merde à l'épinard seul niveau de QI, de connaissance infantile, qui lui est dû et qu'elle devra respecter, en surcroit et surajout de la divine pastille pure imitation pure de son organe du plaisir, qu'elle devra sucer pour éviter de trop pensée, réséquée relobotomisée si trop d'intelligence, de raison et de sens du raisonnement logique non arbitraire et objectif jugée trop d'idée irrationnelle féminine. à traiter de la belladone, plante hallucinogène cause d'empoisonnements graves, poison végétal, seul argument de cette cigüe du peuple qu'elle devra avouer publiquement, sous la torture au groupe électrogène s'il le faut, électrique cela va de soi, infligée à titre d'exécution publique supplémentaire, au pilori du soin de son émancipation physique, intellectuelle, morale, éthique, religieuse, et économique. qu’elle ne se résolve à aucun, même si torture, appel du 8 juin envers son sort sous peine de graves représailles et résections digne du pavillon disciplinaire ou leurs bataillons qu'elle devra endurer qu'elle le veuille ou pas.

FIS musulman, fascisme phallocrate repris par les autorités françaises au même titre que soins des capacités de la Femme. Placée sou tchador médicamenteux et barbelés médicaux, défigurée du sévice refusant la communication ou l'exigeant, et mauvais traitement digne du vitriolage des femmes indoues et musulmanes, visée des faisceaux au point indien du milieu qui recevra la décharge fatale si elle persiste en son combat. Nouvelle forme et formule de la torture étatique psychiatrique au même titre que violence conjugale ou à domicile des nouvelles hautes et moyennes classes de l’intelligentsia envers la femme (procédé d’élimination repris par les basses classes), ainsi qu’envers le réseau entier d’hommes d’enfants et de femmes qui la soutiendront dans son émancipation culturelle, sa libération physique corporelle sociale et identitaire.

Et qu’elle fasse fondre sa graisse, de nouvelle Juive de la société qu’elle est seul rang auquel elle devra s’assigner et qu’elle souffre la passion d’aimer, représentante de l’Amour, dans la douleur du Christ. Qu’elle aime la chair le vieux cochon et la saucisse. Là au moins, de son intelligence surdouée qui la rend pour le monde dangereuse et suicidaire de tant persister, elle ne fera de mal à personne.

Sa belle chevelure d'Ève (apanage sexuel de la femme vitriolé depuis le moyen orient jusqu’en occident) chassée du paradis pour son amour autre que celui envers de Père de famille ou d'autrui, réséquée, mutilée, dépilée aux décharges électriques mutilatoires de son système cérébral, tirs à bout portant dans le crâne, rendue aux cheveux fins du bébés qu'elle n'aurait jamais dû cesser d'être et de rester, et qu'elle n'aura jamais, selon les trois K, l'autorisation étatique de reproduire de sa sale race d'intellectuelle surdouée interdite, répressée, dite abolie. Dépossédée en toute impunité inflexible et psychorigide de son niveau, de son rang de femme et mère de foyer, et de ses biens selon les pressions subies actuellement par la famille Uderzo. Quand le ciel d'un État policier totalitaire aux répressions et censures insidieuses lui tombe sur la tête. Et dont elle devrait perdre la lucidité, l'affaire devant lui rester méconnue et elle ignorante du fait.

Procédés lapidatoires de la Femme émancipée, dilapidatoires des caisses d’assurance maladie

Son opinion, le long réquisitoire de son éternel combat ablavés, amputés, réséqués, relobotomisés dans la sale la frustration la douleur, la souffrance poussée à son point ultime de cancérisation, et le manque d’hygiène de sa prison portative, son véritable domicile de nouvelle sous-race de juive errante.

Son amour jugé érotomanie, ses coups de foudre électrocutés pour crise d’érotomanie aboutissant à la névrose obsessionnelle schizophrène, la Femme devant composer depuis la dernière guerre mondiale avec le grand cheval de guerre allemand lancé au galop ou le dogue allemand qu’est l’Homme idéal pour elle dans les rues de sa vie pour tuer, meurtre d’elle qu’aura connu son ancêtre dont elle est issue et chercher de sa petite main fragile à l’apprivoiser, sous peine de se voir coursée et meurtrie à mort de cet animal fauve. L’homme, un fauve ennemi pour elle pour qui elle est dressée depuis qu'elle est née. Qu’elle devra acheter d'amour, recevoir une son endroit le plus secret, intime de son corps.

Car Homme- fauve capable de l'immoler avec qui elle devra composer, collaboratrice de ce pouvoir absolu, elle devant protéger sa future progéniture avant toute idée de survie pour soi, ne se devant qu’au devoir de mère resté en elle. Changeant simplement de potence à qui se pendre et tenter de se prendre. Lui demandant timidement aide et protection, son protectionnarisme, autant que prostituée à maquereau en mère maquerelle et sa seule mère au monde.rendue indisponible à Lui devenu son dieu, indisponibilité consécutive au combat de lutte passive et présente qu’elle mène contre la violence à domicile déjà établie à titre d’ordre établi. Prise secrètement par la prise électrique femelle avec prise de terre qui fait masse du plaisir refusé ou qui se refuse, à la hussarde de soudards dégénérés de dépravation sordide ou gênée, seul respect qui lui est du. Ce qui fait d'elle Eve éternellement prostituée. Prise malgré tout, sinon par le pilori de la torture électrique du viol thérapeutique. Ses dernières lobotomies ses dernières pertes sanglantes, assimilées à celles de l'idée qui lui sont dues ou ennuis après les petits ennuis règlementaires dus aux tchadors médicamenteux pour sa trop grande raison logique face à sa condition. A laquelle elle n'échappera ni à la systémique de sa systématique.

Femme tant devenue inconsciente de sa condition autrement-dit caste sociale, qu’un chat ferait plus pitié sur la table d’opération, que cette truie parfois encore humaine, que la femme rendue si femelle ignorante et ignoble, orgiaque et dépravée que jusqu’aux hommes elle fait honte qui la couvrent d’opprobre, parfois lui pris de pitié Tout à la femme, de ce siècle, n’est du.

Tenue pour animal inhumain et naturellement si par l’homme civilisée esclave de ce penchant, sa nature devant tant être contenancée du tchador médicamenteux et du carcan des faisceaux, de l’opération de son cerveau et de son organisme, femme donc si animale et rendue caricaturale de ce trait d’Hommes-Loups et Furies fauves maladives qui les ont conçus, qu’elle doit pour sa conscience rendue comme l’on se rend contestataire à cela, être réséquée de tous bords et cotés, opérations de son corps enlevant à la rose les épines que la nature rebelle à la nature même de l’inquisition lui a bien voulues.

Rendue à la vie qu’elle est sensée concevoir inadaptée, et mortelle de ce fait.

Son plaisir-né mort-vivant, ramené au viol sodomite de l'organisme féminin jusques dans son cerveau vécu cervelle, en son enveloppe charnelle, devenue corporelle, réséquée de la barbarie frigide des termes scientifiques désignant son anatomie. La femme pour son devoir d’accoucher en clinique ou milieu hospitalier ou médicalisé, condamnée à l‘appellation froide, méthodique de malade, sinon mentale, du moins patiente, à vie.

Son intelligence si elle persiste ramenée à celle assommée du plaisir, dit vacuité féminine, en fait requise de ce plaisir connu, intelligence ramenée aussi à celle de ses grossesses craintes et supposées d’enfant autiste, grossesses sans pensées de lui, laissées au vide mental qu’il peut causer et peut amener la mère au d »ni de grossesse si elle ne lui est avouée, d’où l’annonciation à la Vierge, Mythe chrétien envers les grossesses passées inaperçues, la mère perçue obèse seulement, ou goinfre affamée, vide mental soupçonné arriération et réputée affecter la pensée de la femme qui l‘a porté, et laisser idiote, sans plaisir ou autistique. Confondant gifles, brutalités et malaises, ce qui ajoute à l’idée de confusion mentale que se font les médecins, donc, la femme enceinte réputée folle ou inconscience, de sa grossesse, donc irresponsable de concevoir ce bébé, sans aucun discours pour l’en avertir, sa conception tue sinon simplement vécue hallucinatoire ou suggérée, si la mère du bébé s’en doute...

Sa schizophrénie depuis qu'elle n'a vu le Loup dans les bois ni l'homme au Loup, de ne vouloir ouvrir ni offrir l’ouverture ni le plaisir de son sexe à tout un chacun dit dans ce cas autrui, ramené à celle du besoin préconçu envers la Femme, de la partie fine sociale, réputée et dénommée devoir être et rester sa seule socialisation, en fait, conforme à l’orgie planétaire actuelle.

Effeuillez mon livre avant de m’effeuiller, moi, au claquement de doigts.

La Femme condamnée aux travaux forcés intimisés, de séduire ou plutôt apprivoiser son futur époux en premier jusques dans son dernier rapport sexuel (sensé l’éclairer sur son métier et ses tâches, le rapport connu résolutif en cette matière ou science infuse sensée l’éclairerd’où le viol thérapeutique destiné à éclairer son inconscience d’être femme), travaux forcés intégrés par pur alcoolisme du fait et vengeance envers soi plutôt qu’envers autrui par pur pacifisme sinon condamnée à son enfant mal né qui l’a violée de naître, morveux conditionné dans le ventre bourrique qu’elle devra réparer, qui lui arrache le pain de la bouche dès qu’il devient suicidaire ou dangereux, ou dans les cas de célibat forcé pour cause de trop d’émancipation féminine, aux moutard des voisins, déjà grands, condamnée damnée à les éduquer pour sa stérilisation forcée, dans un lent travail autoconceptionnel de soi-même, après destitution par le passage à tabac constant, seul contact de son corps et de sa pensée sous les violences conjugales psychiatrisées du maitre de sa conscience qu’il lui faut entre autre son psychiatre et ses substituts, qui lui ont été imposé, après la dernière amputation de son cerveau et le lavage de cerveau de la raison féminine. Formulée déraison aux yeux de l‘humanité. Sa conscience humaine champ de luzerne ou s’ébattent les Hommes condamnés au coup mortel précédant le tranchet sinon la balafre..

Les zones de ses rêves de femme réséquées. Les zones de ses rêves de femme réséquées. Le suicide ou la raison. Rééduquée pour réapprendre à la formulée après ablation tout comme page serait arrachée sur cahier de brouillon, pleurs, cris, pourquoi la femme pleure et crie, parce son psychiatre l'opère parce que son mari sinon son père la bat. Femme, battue. Réduite au style infantile pour celui de son enfant, qu’elle n’aura si son père le juge bon. si elle n'accepte pas le viol de son corps, la lésion de sa tête, la castration de son sexe. au nom de la société qui la combat, combat qu'elle lui rend d'un travail d’éternelle épaule éminence grise de celui de l'Homme.

Son intelligence issue uniquement de lui ou de Lui, dans ce cas parole de Dieu. Quand elle ne peut que vainement agiter la langue en guise de baiser buccal dont elle ne se donnera même pas, réputée pour ce fait jacassière, condamnée pour ses guerres de tranchées et combats inutiles, à l'oncologie de son sexe et aux langues de pies..aux langues de pies..

Condamnée, éternelle coupable depuis Dieu et sa venue sur terre, à corriger ses fautes, de frappe et de français, de chacun des français, à réciter des messes dument apprises pour son devoir devenu liberté, son plaisir limité à celui d’abbesse et de curé. Quémandant son plaisir autant par folie pure qu'esprit suicidaire, amoureuse uniquement du manque sexuel, et ne bandant, ne se prenant que l'appréhension de l'homme, du manque de plaisir connu avec lui, sa connaissance du sexe se limitant à ce quelle peut en deviner, l'initiation à l’Amour réservée à la télépathie amoureuse de l'attente dela rencontre véritable, feeling que son intuition lui dit et qui la sauve du monde de brutes épaisses qui l'attend, dictature supplémentaire à celle de l'Etat..Et ne devant l'amour que quand elle le doit.

Réduite en bouillie au style infantile pour celui de son enfant, qu’elle n’aura si son père le juge bon. Eternelle prisonnière d'opinion de l'Homme son nourrisson qui la roule sous la férule et la possède et du psychiatre qu'il lui faudra pour l'y résoudre.

Femme préservatif féminin, que l’on met dedans emboutit et que l’on jette, sans que rien ne paraiss et qui aime, du moins cela, sans que cela ne la satisfasse, aimant le sexe par son manque, jusqu’au coït de la jouissance éternelle de l’absence de mari, mort à la guerre, de ce pays mécréant mercantile de dépravations sauvages, mêlant haine et amitié, amour total et guerre totale imbécile, pouvoir absolu, et antiféminisme fraternel. L’Amour flottant d’un air de liberté, dans l’utopie merveilleuse d’une société humaine. Définition de la Femme.

Assassinée abattue de main même de la femme de ménage de Karl Marx, encore au dessus de chez elle. Psychiatrie voile français d’une femme hindoue, indigène de ce pays, la Femme en elle.

Restée nubile jusqu’à sa pré cancérisation dénommée polype. Justifiant le statut de femme-bonzaï, retaillée telle belle plante depuis l’enfance. Au laser et bistouri laser. Pratiques de l’asile psychiatrique de Turquie envers la Femme, pratique des électrodes en cas de sa grossesse, jugée nerveuse, déniée, ou vécue folie pure, électrodes infligée parce « pendant ce temps elle ne doit pas prendre son traitement », et donc sensées remplacer toute thérapie médicamenteuse envers la Femme jugée trop émancipée. En fait, d’avant-garde, Résections au domicile de la personne, de cerveau, selon les mêmes méthodes d’investigation du domicile de la personne ne question, que celles de la DST, des Services Spéciaux et de l’Eglise de Scientologie, en vue de STO ou le PO.

Femme d’honneur de lettres et d’esprit des représailles fascistes à la petite semaine. Pour que la France ne bouge d’un poil sous le bistouri. Au cas où la femme émancipée possède encore les possibilités de son amant, et profite de ses libertés, de la police psychiatrique conjugale de ce mari. Sous le joug de l’Amant idéal qu’il représente en elle. L’Amour y compris selon l’amant une folie érotomane devant resté caché dans le non-dit du maquis de la résistance faite aux générations antécédentes et à celles du pouvoir, la jeunesse, une maladie mentale grave, le plaisir, une hérésie mettant la vie en danger, de soi et d’autrui, suicidaire de se heurter à la société de consommation et la société en perdition en devenir nazi, dans la lutte désespérée contre les libertés féminines sa liberté de conscience, et d’expression, devant rester soumise au fascisme sexuel.

Au nom du Père Frère du Roi, (de famille, et sa patrie), du Fils (du voisin), ou du FIS envers toute fille libérée du Maghreb français, tenue dans ce cas pour femme libre et lesbienne, et du Sain Esprit, dans parties de basse fosse, messes noires organisées aux crimes parfaits, et crimes. Camps Mao et Front National, extrême droit entière, décidant de lobotomiser toute infirmité qui refuserait le travail, estimant que la pension d’invalidité n’avait lieu d’exister. Au nom de l’incohérence requise , de l’émiettement du raisonnement, du vide mental obligatoire, de l’obessionnalité sous la contrainte de l’opération, de l’estropiement et de la lobotomie. Selon les rites de la dernière guerre mondiale et du Dernier Empereur, le livre et le film, tenus pour être dans cas de guerre froide, vécus intimement. Les juifs aussi ont vécu la dernière guerre mondiale très intimement, de 39 à 45 ;

Folies du vieux Montpellier et à l’heure actuelle, de petites gens impliquées dans les affaires de mœurs du gratin, de la société bourgeoise et de l’aristocratie féodale médicale en vigueur de nos jours, issue de la vieille aristocratie des villes et villages alentour, régnant sur toute ville et région du pays au nom de la substitution précisément à ces fêtes et orgies à blocs opératoires (parties de violences gratuites et politiquement engagées) à base d’opérations et tortures médicales mutilatoires, substitution des victimes de cette fraude dans un Jeu de massacre d’Ionesco. Sur Femme émancipée même apolitique, ou homme libertaire. Sur les condition d’attaques armées de Brigades Rouges des Camps Mao et des interventions, médicales à nos jours, de la gestapo.

Il fallait être d'accord avec le médecin et Dieu le père comme par Raison d'Etat (création du Médecin et de la Médecine Psychiatrique d’Etat-Raison d'Etat).

Pour savoir si elle possède la Raison, soupesée continuelle de la qualité de la conscience, de l'intelligence de la femme libérée pour ses pensées libertaires, rejugée ainsi que prévenue, conçue prostituée dite femme libre par des fanatiques d'un Ku Klux Klan à la Française, des fanatiques d'une exhumation du S.A.C. faisant partie de l'entourage. Ceci pratiqué, soutenu par les mégères de quartier, leurs sympathisants, des passionnés houligans de la torture américaine, de la torture médicalisée. Antiquement contre-révolutionnaires et résolument hyper-conformistes.

Soutenus par des pères fouettards, mères maquerelles, mères sacrifice Immaculées Conception, Dames de Fer grandes Folcoches, Génitrix, pères endeuillés du Grand Mal de leur malade enfant prodigue plutôt qu’à leurs yeux prodige, parents assez matons pour dénigrer les faits de la torture, ceux de la torture médicalisée, dans un révisionnisme de bon aloi, emploient la menace d’internement, les électrodes et le Soin psychiatrique. La politique du Haut Mal Moyenâgeux. Du feu, du fer, le pouvoir des armes, le pouvoir de durcir la guerre par les armes d'une politique expérimentale fascisante propre à la médecine et aux hôpitaux. Qui sensibilisent des familles propices à cette morale de camps d’internement. (Psychiatrie lourde, gros traitements, longs internements, hospitalisations d'office en hôpitaux, à domicile à vie (le plus souvent non déclarées), dispensant des soins officieux, méthodes de répression étatique déclarées publiquement soins).

Dénigrement de l'intelligence de la fille, de la femme ainsi que du gauchiste-né à la racine, de jeunes gens émancipés déclarés publiquement et en petit comité en état critique de démence précoce, prémisse de la schizophrénie, si portés sur la critique, la contestation iconoclaste, dès le plus jeune âge de leurs facultés, à la moindre prise de conscience. Diagnostic de cet état critique sur tout contestataire de ces familles à propension vissante, envers tout parent proche contraire aux actes de revanche de fanatiques du bordel fasciste, menés par l'intervention psychiatrique et le Soin.

« Ce n'est pas de toi, dis-moi » : la femme libérée considérée esprit nul, ne possédant qu'une intelligence au moindre QI que celui d'autrui. Le QI le plus respecté restant celui de la torture pas raffinée à faire douter de votre parole, promise aux surdouées, intellectuelles, enfants précoces, jeunes gens mûrs avant l'âge pour avoir trop eu à souffrir de ces sévices. Classifiés dans la folie pour ce que l’on en imagine.

La Gauche mal à éradiquer dans une chasse aux sorcières incessante contre la liberté de pensée, le féminisme, l’usage du sexe féminin et de la Veuve Joyeuse, un déferlement de violences, de jugements derniers, menés contre les principes de la démocratie, de la république, de l’égalité. Lutte, guerre ou pogrom fondé sur la répression et la torture médicalisées, la torture psychiatrique, dirigé contre les défenseurs des Droits de l'Homme et du Citoyen, de la dignité humaine et de l'humanisme. Contre les défenseurs de l’antipsychiatrie tout court, et les femmes libérées.

Le féminisme faisant partie intégrante de l’humanisme.

La schizophrénie ne touchant surtout que la population de type mâle, les femmes concernées par la psychiatrie étaient, sont surtout masculines, garçons manqués, homosexuelles, émancipées. Cf. la Psychologie des foules, de Gustave Le Bon (1895), concernant les femmes et les enfants, déclarés, traités en races inférieures, propres et propices à la manipulation, certainement parce que peu cultivées, peu scolarisées ou bien trop intellectuelles et cultivées pour le commun des mortels et celui de leur « race ».

Pratique rituelle de la torture (sous le prétexte du devoir prétendu de l'amour et de la sexualité hétérogène chez tout individu) sur les individus émancipés de la société française pour cette cause du plaisir solitaire, pratique de son interdit (cause de l'obésité en France et dans le monde) aux méthodes très pérennes, excessives et répressives aussi connue et maintenue taboue et tue mais sue aussi connue que l'excision des femmes en Égypte. la femme pour cet usage libre et non soumis à l'obligation, de son sexe, vécue petite fille. Donc dépourvue autant qu'enfant de conscience, de la Raison, de la Raison d'État donc, et donc folle, à traiter des mesures très répressives et tortionnaires de la Raison d'Etat. Équivalent dans la population masculine. Obligée elle à rester population maculine, ou maculée de ses maculations

Je dois en quelque sorte fournir la définition philosophique qui à mon avis convient le mieux à ces mots, cause de complexes très aversifs et de blocages dans la société. Terme masturbation et son concept de plaisir, soulagement et acte naturel ressurgi dans les années précédant et post mai 68. Les femmes de cette époques et militantes de ce mouvement s’étant heurté au machisme avéré de leurs compagnons révolutionnaires, qui ne l’oublions, sont issus de la branche phalangiste stakhanoviste surtout stalinienne et prosoviétique, branche fasciste du communisme révolutionnaire, grande bataille de cette époque concernant le plaisir et le plaisir à deux, bataille perdue. Faction dure très répressive de la gauche qui a jeté le discrédit sur les évènements.

L’Homme pour son féminisme détecté ou avoué en milieu hospitalier, roué de coups et de violences aggravées pouvant s’avérer mortelles, bien pis en sus de la torture électrique et des tortures mutilatoires destinées à la Femme.

Actes de lynchage de commères matriarcales envers tout féminisme, dviolences ’affreux jojos dans le devoir séculier de réduire l’activité sexuelle des couples au besoin de se reproduire, dans la plus stricte pornographie, sous leurs bruits de bottes, selon les préceptes de la religion. Le carcan imposé de la mégère. Cas pris pour exemples même exemplaires de rédemption par la torture. Cas destinés à intimider la population, prioritaires pour la ré-hospitalisation.

Par contre, selon la loi de l'infibulation, dans un but répressif, pour assouvir la soif de résolution des vices cachés dans la population, le plus souvent, existe la contrainte au rapport sexuel par ingestion forcée d'aliments aphrodisiaques :

Les œufs, tout aliment pouvant provoquer le plaisir selon chacun, une pratique qui relève des rites autour de l’excision des femmes en Égypte et de l’attitude proxénète du public qui précède l’opération. Infibulation par implants électriques. Deus ex natura, mais jamais Deus ex machina.

Interdiction du rapport, de la rêverie non forcément érotique surtout quand elle concerne un monde meilleur, sans l'écoute forcée des litanies divagatrices de vieilles femmes, de leurs suivants, durant leurs actes de lynchages, guides nurses chaperons des cités dans les cas de rapports forcés qu’elles infligent. Actes de satyres saphiques. A projections psychologiques de fantasmes multiples à déviants sur sujets analogons, projections parfois meurtrières.

Tempes orbitales ravagées pour trop d’idées d’émancipation le plus souvent féminine, pour leur trop grande largeur et épaisseur, creusées de ce fait si elles dépassent de trop des yeux. Centres nerveux des idées féministes selon les toubibs, de type Algérie

Clitoris brutalisés par doigt glacé inquisiteur, moqueur, agité tel doigt dans une oreille sale, au cours du même toilettage après les séances d'électrodes, le bain forcé qui les accompagne bien souvent tant l’odeur de brûlure des chairs est forte : Le plaisir extirpé par réaction aux électrodes, celui de la crise d’épilepsie qui suit l’infliction des décharges, assimilé à la masturbation, sujet de prédilection des leçons de modestie et référence au sale, au crade et à l'aliénation, sinon à l'arriération trisomique (oligophrénie, trisomie déclarées maux de primates). En tout cas et c’est un fait connu, plaisir décrété maladie mentale grave digne de punition le plus souvent corporelle autant qu’elle sera jugée nécessaire.

Palpation papale des femmes avant les séances de torture électrique, au cas où elles seraient enceintes Parfois, imposition des électrodes et chaise percée en cas de craintes de la femme, dite seulement trop constipée par les traitements, dans un souci de la corriger pour sa grossesse jugée improbable, inacceptable et méritant l’avortement illicite que causeront les décharges. Avortements sous coups et blessures, purges à l’huile de paraffine, si huile de ricin périmée. Depuis le temps…


Le débat de l’avortement devrait à mon avis se situer au niveau de la prévention plus qu'à celui de la réparation des négligences de contraception, donc contraception. Le problème étant inhérent à la propagande religieuse mondiale contre la contraception de la femme, qui n'en paie que les frais et se réclame de droit d'interruption de la vie, un pur assassinat j'en convient, l'embryon humain même encore né déjà un être humain, la solution consisterait à éviter qu'il ne soit paru sur terre, et donc, agir au niveau de la fécondation, mais, le hic se situant dans le fait que la religion l'interdit et règne sur la planète, d'où son explosion démographique, l'athéisme n'ayant fait que suivre la morale de la droite, qui préfère s'attaquer aux résultats de la "faute" de conception on désirée, plutôt que la prévenir, et instituent le droit au meurtre d'embryons humains au nom des obligations et devoirs du travail de la femme, que souvent, esclave du travail et de la société, après avoir été esclave des hommes, au nom de ses libertés, elle entreprend de respecter cette dictature de servage, soumise au travail obligatoire au nom de son émancipation. Resituer le problème reviendrait à créer plus de plannings familiaux, de campagnes d'information et d'éducation sexuelle, qu'interdisent les religions, afin de dispenser l'information nécessaire à cette prévention, qui ne se base encore que sur des produits anticonceptionnels cancérigènes à base de produits hormonaux, et non sur l'usage qui devrait rester maitre, du préservatif, si simple, si efficace, l'avortement devant rester thérapeutique et réservé à des cas de santé précaire, les viols et cas de grossesses indésirées pourraient être mieux pris en charge et aboutir à des accouchement avec adoption de l'enfant, si les accouchements à l'heure actuelle ne représentaient encore un danger de mort pour les femmes, la science s'étant bien gardée de quelque progrès en la matière plus efficace, si l'on va de nos jours sur mars en fusée. société de consommation qui détourne le femmes de leur vraie fonction, d'être mères, leur rôle premier, les oblige à concevoir tout comme à avorter pour les besoins d'un capitalisme sauvage, société du gaspi, où l'on jette jusqu'aux bébés à la poubelle pour le simple fait d'avoir omis un préservatif durant l'acte, où les mères pour leurs quelques instants de déprave à laquelle elles sont adoubées, priées pour les lois du travail de n'aimer leurs bébés, les assassinent froidement, conditionnement. L’athéisme, dont je suis, devenu prosélyte en cette matière, intégriste dans son rôle et acheté aux besoins du capitalisme, niera peut-être cette solution, mais elle parait la plus saine. Un peu de morale, d'éthique déontologique dans ce champ de bataille de médecins Diafoirus poujadistes et arrivistes au nom du féminisme qui ont laissé pratiquer de tels débordements de gaspillages de chair humaine, serait nécessaire.

Ménopause décrétée, grossesse dite illogique, car ménopause déclarée acquise depuis longtemps, y compris chez sujets même pas ménopausés, depuis leur dernière injection hormonale destinée à les stériliser à vie. Anticonceptionnel retard testé sur femmes encore parfois actives, nullement invalides, certifiées démentes, encore capables d’enfanter, parfois en couple. Si leur stérilité n’est imputée à leur traitement neuroleptique.

Désir de rétablissement du bordel, du proxénétisme envers la femme libérée. De la prostitution de l'intelligentsia, du corps de la femme émancipée comme de ses idées. De sa conscience comme de sa mort, de sa morale comme de son amour profond pour la vie, par tout effet de torture des brigades rouges maoïstes comme par ceux, recréés par l’Hôpital et la Médecine Psychiatrique, du SAC, des autorités. Cf. la « Politique du Mâle », de Kate Millett, 1971. Silence hôpital. L’on pense pour vous. Pour celles qui ont osé dire qu’elles ont les règles, traitées en prostituées notoires pour ce seul fait, jusqu’à la confection de règles douloureuses, hyperalgiques (dysménorrhées). Causes de premiers internements désirés à vie, des années 70 à aujourd’hui.

Le cerveau de la femme et des féministes ne devant excéder 1 Kg de poids (microcéphalie obligatoire et contrôlée).

Pour son usage aussi de la Veuve Joyeuse, pour son art d'échapper ainsi à l'obligation de coucher avec le premier venu, de préférer soi-même à l'Homme ou plutôt à l’Hyper mâle teutonique nazi à pro-nazi, sans pour autant négliger l'amour libre : Loi en France même de l’excision de bouts de cerveau ou de ses organes sexuels, à défaut de clitoris, contre la femme émancipée, sa force, son choix, son pouvoir de vouloir, sa volonté d'être intransigeante et de défendre ses libertés. Contre celles de la défloration au vilebrequin, parachevée aux courants électriques.

Actes sexuels tenus pour provocation saphique voire auto-incestueuse, la rêverie sentimentale, le plaisir onanique chez la femme, tiennent de la position interdite par l'Eglise, selon les règles en vigueur dans certains états américains qui louchent sur les œufs du pauvre et la position interdite, Mai 68, celle qui peut être condamnée de la prison, de l’hôpital psychiatrique à vie, de la peine de mort. Vécue péché mortel par l’ensemble de la population, un Valium, Monsieur Cohn-Bendit ? Par la médecine psychiatrique. Agité. C'est selon. Selon exigences de l’entourage. Cela fonctionne également pour la frigidité ou l’abstinence quand elle n’est obligatoire.

Depuis Mai 68, la population des ménagères a mal digéré les libertés sexuelles acquises, le gain en libertés chez la femme défie les règlements, les lois archaïques de la mégère souhaitent mettre un terme, cela se conçoit, au déferlement de droits qui les offense, plante là son gourdin dans le but d'intimidations exemplaires

Combat de ce lumpenprolétariat de femmes âgées et de leurs sbires, à gros coups causés par les implants, les visites d’infirmiers, contre toute percolation sociale de leurs prisonniers, la femme devant rester esclave ménagère active jusqu’à ce que mort s’en suive, la rédemption du plaisir par le travail, mythe de la femme soldat. Dans le genre fourmi rouge. Espionne ou pas. Combien de cancers fibromes, polypes pour un ménage mal fait. Surmenées déclarées par autorités, déprimées en état de dépression dès que faiblesse ou travail bâclé. Electrodes. Ah, excusez on savait pas.

Condamnation dans la population occidentale du plaisir, de l’usage du sexe féminin dans son intégralité, selon les lois musulmanes, pronazies et américaines, selon de procédés de répression et de mutilation de l’innervation du sexe de la femme, asiates

A ce fait, la surnutrition en produits alimentaires hyper protéinés et à base de féculents revenant à la mal bouffe capitaliste et destinée à préparer le corps de la femme à la venue d’un embryon mâle, devient dangereux pour la santé des femmes, emportées par l’envie de procréer, selon les rites de la religion, et de la reproduction des forces de travail, un enfant de sexe masculin, nourriture contraire et inadapté au génotype de la femme (surtout si cette alimentation nocive en soi constante) qui ne devrait que se contenter, destiné à ces aliments, qu’à la nourriture destinée elle à concevoir un enfant de sexe féminin, autrement-dit, les légumes, produits laitiers frais, et fruits en quantités assez conséquentes pour que la femme ne souffre de cancérisation de son organisme et donc de son corps, devenant là ultime enfer mortel.

La surconsommation de cette nourriture hypercalorique, très riche en graisses saturées frites, et en absence quasi totale de fibres, hypocalcémique sinon forte en produits fromagers à bases de pâtes cuites et très fermentées, dégénérative et concentrée en radicaux libres, contrefaisant l'action sur le corps des répressions psychiatriques de la torture électrique, et cause de la virilisation du corps de la femme, entre à son métabolisme, ce que l’usage des traitements neuroleptiques lui ressert, certaines mères en gestation d’une fille nourrie exclusivement de cette nourriture mâle, fournissent à la société des femmes laissées de leurs grossesses hypermâles viriles, soldiers ou soudards, violeuses, saphiques animales.

Mamas Da écrasantes de leur poids de connaissance en la matière de prostituer, prostitution de type asiate, maghrébin, vieux genre européen de mères prostitueuses incestueuses querelleuses molesteuses privilégiant l'obscène et la pornographie, ne se donnant qu'à époux effacé ou plus grands fascistes et bourreaux qu'elles selon le mode Dubout le dessinateur du Midi, ivres d’orgueil démesuré en surestimation du moi-je et d’auto persuasion scientiste arbitraire, faisant une allergie systématique au lait frais, qu’il est vrai l’organisme adulte a du mal à assimiler, néo-führers fléaux aux tortures rituelles devenues rites sociaux, sergents major-chefs-nés de leur famille, menée tambour battant au pas du service militaire, militaristes violentes parfois hyper violentes, incultes et très grossières, donnant une population matriarcale de mégères hommasses, prêtes à reproduire sur autrui ce qu’elles se sont infligées de tortures dont leurs sévices alimentaires, jalouses de tout individu qui leur aurait échappé, émasculeuses mères castratrices mères privilégiants leur progéniture-tiques et sangsues, mégères plus puissantes que pouvoirs de mairies entières, dont la société et l'humanité souffrent, forgeant d'elles la nouvelle Inquisition psychiatrique, pour certaines réutilisées servant d'infirmiers de choc en psychiatrie, fonctionnant sur le mode parasitaire de la vermine, s'arrogrant, s croyant tous es droiits, prenant le pouvoir par la force du crime contre l'humanité er de devoir assassiner, forgeant en putsh assermenté la société sécuritaire policière, véritable pègre toujours du bon côté du manche de la gégène sinon policière, du moins médicale, pègre milicienne armée des armes du pouvoir s'introduisant en tout lieu où leur proie résiserait ou se situerait, société reliquat du 20° siècle.

Mères qui s'invaginent nourriture sous toutes ses formes omnivores autant qu’excréments qui serviront à confectionner ceux de leur progéniture, forme de déviance qui pourrait paraître aussi naturelle, si cultivée, que celles de l’homophilie. Ou homosexualité. Ou celles de la partie fine, pourquoi pas de la zoophilie, de la pédophilie, mis à part que dans ces trois cas l’individu partenaire n’est pas forcément conscient ni consentant. Dans la partouze à viols collectifs, non plus. Le problème du consentement restant le même.

Certains, certaines, revendiquant l’homosexualité en toute bonne foi, autant qu’ils revendiqueraient, ou revendiquent, la prostitution, voire, le proxénétisme.

Le problème initial de l'homosexualité et des déviances sexuelles revenant à mon avis, au refus de l’inceste de l’enfant envers le père, la mère ou les deux parents, aux diverses canalisations problématiques du refus, sinon saines, du moins, parfois mal assumées et par l’entourage, et par l’enfant une fois adulte ou adolescent.

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S'attaquent aux viscères de la conscience tranquille. Eux prenant de gavages de la femme fidèle en gavages assermentés les bourrelets constitués pour les circonvolutions du cerveau qui finit par lui manqué, avec la perte de l’idée et du bout de beef attenant. Femme libérée condamnée au paquet de frites belges chaque jour de sa vie s'il le faut, après le supplice chrétien de l’inquisition du supplice de l’eau, celui du gavage forcé à l’aliment, mariée au corps de médecine et à son entourage pour plus de facilité à la violer en femme facile, ses défenses y compris naturelles, après avoir été exacerbées des violences conjugales ainsi instituées à son encontre pour toute démarche de se défendre et de défendre ses droits qu’elle entreprendrait ou aurait, lobotomisée pour le principe simple de réussir à toucher la chatte à la voisine que chacun s’attribue en tant que chienne et handicapée impotente sinon à rendre impotente et infirme de pédophilie paroxysmique à son égard en guise de lutte contre sa philosophie.

Pogrom sur esclave domestique prostituée sans aucun réflexe de légitime ou self défense permis en poupée gonflable qu'il leur faudrait en fer si on ne l'en gave pour la résolution de ses maux, et qui ne doit se gonfler à l'air libre et prendre l'air qu'elle doit avoir dans le bide que de soi ni gonfler aurui de se refuser à lui... Procédés sur elle de Viêt-Cong en Asie.

Pour ce qui est des femmes issues du Maghreb, la plupart isolées dans le monde homosexuel de mamas, gavées au lait de chamelle dès leur nubilité, ou leur âge venu d'être mariées, le plus souvent en mariages arrangés, elles vivent encore en France sous le principe du viol sur les toits de la médina, entre femmes, femmes isolées du monde des hommes, univers féminin reclus et fermé sur lui, tournant autour de la prostitution forcée entre femmes, mode de vie quotidien lié à l'orgie collective barbare oiu médiévale conduisant à la prostitution libre ou gratuite de la femme ainsi devenue facile, prostitution typique de cette culture introduite en France par la voie du regroupement familial et de l'immigration. Monde imbibant de vice qui lentement travaille puis de guerre lasse finit par séduire, seule issue et porte de sortie vers une survie qui n'est qu'une demi-mort lente de l'esprit de lutter cotre cette tentation du corps , le corps absorbant d'abord les tortures et les coups, puis les plaisirs d'abord respectés chastes, puis lentement orientés vers l'orgie de la prostitution acceptée récompense, d'abord de femme sur femme puis mêlée peu à peu à la prostituions véritable, de tous sexes confondus, les filles devant se donner à tout client, homme ou femme. Dans une prostitution en appartement fermé, ou en semi-liberté, libre ou intimisée en liberté de coucher, découcher, déviance sexuelle en sus de celle de l’homosexualité due à un conditionnement lentement consenti, conçue liberté de pensée féminine ou féministe, en France la fille tenue chargée d'accueillir le client à domicile ou en call-girl.

Le féminisme de la femme vécu son handicap, tenu pour du à son sexe également. Substituée par la psychiatrie à son combat et au combat armé mené contre elle, pour le fait considéré d’opinion d’origine de son sang hispanique si d’origines espagnoles, reproduisant la substitution par les pouvoirs de la révolution espagnole, des pauvres et petites gens au service militaire qui revenait aux nobles et que ces gueux auront du enduré, guerre ou pas, rémunérés ou non en fonction sinon enrôlés de force. Problème de la substitution qui règne de nos jours envers la femme même en France, et dans les cas de prostitution.

La plupart des femmes qui en sont issues assez charcutées, laissées à moitié assassinées cuites et finies pour finir cureteuse d’abcès en chirurgie ou fouilleuses tritureuses de consciences, capables toutes ou à eu près de tuer pour survivre sinon faire leur médecine en internes le plus souvent barbouzes médicales estropieuses bousilleuses de patients dissidents, laissés finis. Claqués.

Certain(e)s patient(es), sur simple appel aux urgences médicales même d’un tiers, c’est le cercueil qui les attend, déjà fiché(e)s, urgences où l'on n'en est plus à l'onguent antitétanique contre les épines de rosier de belles et de leurs jardiniers du moyen age. les secrets de la révolution culturelle humaniste de la Renaissance en urgences médicales et soins due au franc-maçonnisme, révolue. Perdue la pharmacopée médiévale.

Europe se faisant, ne serait-ce que par la coalition de cultures médicales, récupérée par le profit capitaliste, apparition de métacultures et de métapopulations, qui emploient les différentes mafias, ce qui peut être triplement mortel pour les victimes choisies.

Les populations féminines maghrébines, black blanche et beur réséquées, lobotomisées des tempes en particulier, des intégrismes du FIS, et des intégrismes extrémistes français.

La femme libérée jugée femme libre, autre dénomination de la prostituée ou femme de joie, femme qui n’est jamais celle que l’on croit, termes de formule protocolaire réplique d’approche dans la rencontre proposition de rue.. La séduction chez la femme ramenée à celle de la prostituée chienne. la Femme lapidée, exécutée, morte vivante, au plus profond d'elle même, des persécutions lapidatoires de la torture électrique de la Psychiatrie, selon les rites de Zorba le Grec, le film.

Femme élaguée pour que rien ne dépasse des rails du chemin de traverses, qui mènent à Dachau, ou en Russie soviétique.

Chargée de nettoyer à la sueur de son front et à l’huile de coude qui sert d’huile de ménage dans le couple français, les vieilles casseroles de cet Etat qui les a faites flamber, au dernier dyu condamné durant ces dernières décennies, casseroles qui une fois brûlées, sont faites pour attraper, attrape nigaud de taille pour qui se nourrit de cette vendetta, sa pitance brulée inévitablement des vapeurs de la cuisine française depuis les hauts temps de l’interrogatoire.

Complexe cannibale d'Hannibal, suite de la trilogie Le Silence des Agneaux, du monde hospitalier, datant de la découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb, fait marquant des violences que cette coutume tribale peut entrainer dans les mondes civilisés, cannibalisme scientifique soviétique et pro-allemand nazi propagé par la psychiatrie, exacerbant cette tendance rituelle des masses populaires. Allant droit au sacrifice humain, à la cuisson de cerveau ou son amputation partielle, morceau parés après morceau, destiné à s'approprier l'intelligence de l’Ennemi et de la Femme tenue pour ennemie éternelle, cannibalisme consommant la beauté physique et intellectuelle de la Femme pour la tuer en elle, ne devant et rester mère nourricière que d'alimenter ces services et réseaux des plus proxénète (le proxénétisme une forme dérivée du cannibalisme populacier), que du fruit de cette chair qu'elle recelait qu'elle est, représente et institue parfois, ce que la plus innocence du fait paiera au prix de sa suppression sinon totale, du moins partielle en ce qu'elle possédait de plus cher en elle. Anthropophagies sociale récupérée de façon détournée et ses dérives fascistes pernicieuses par les pouvoirs capitalistes. Et dépeçage ante-mortem de la Femme. Contrainte à composer avec ce genre de gorilles hurleurs videurs de sa vie autant qu'une Jane Goddal de pacotille devant régir sa vie selon cette loi de la jungle. Sa vie, dans la misère sexuelle et affective, la quete éternelle du plaisir féminin, Eden raté.

Temps contemporains de barbaries phobiques menées à la folie, dont sont accusés la femme libertaire et l'homme émancipé, son unique soutien en ce monde. Son supplice de Tantale de vivre Eve au paradis doté d’un Adam humain et réservé, paradis promis de nos temps modernes, compromis, devenu immolateur de sa survie, du surcroit des folies planétaires de la Terre, sursaturée des grands mythes Chrétiens, condamnée à la guerre ou périr. La survie de l’espèce, destin de la Femme, vouée au prix du sang versé de la mort, seul instinct de l’Homme.

Les dictatures intégristes des pays du Moyen orient et de l’orient depuis les désastres de l’immigration choisie récupérées par les pouvoirs qui passent de ce surajout de pouvoirs absolu, en force en France, opération de forcing pouvoir machiavélique médical infirmier et de camorra qui assujettit et se développe sur l’Occident et, la Femme lettrée qui le dénoncera et l’osera, forcée, et devra faire piètre figure, fille soumise à la première pimbêche de ces intégrismes fascistes qui l’aura voulu. Menée tambour battant par la voie de la libre circulation des armes légères reprise et récupérée elle par la médecine psychiatrique qui en use pour régner. Transformant chaque père de famille en véritable Saddam Hussein, barbu de l’Inquisition nouvelle qui alliée à la présence de l'intégrisme du FIS, Inquisition musulmane, sur le territoire national, passe en maître des milieux lettrés de l’intelligentsia aux basses classes populaires.

Dans les ghettos français, chaque femme libérée d’origine maghrébine ou même française, passée par les armes ici décrites, arment non conventionnel de l’armée de terre, armes de poing d’infanterie légère, destinées à lobotomiser à travers murs et planchers, sur une portée de faisceau de 50 à 500 m, le crâne des personnes jugées posséder un cerveau assez développé pour relever de l’émancipation politique, intellectuelle, et féminine, ces trois critères allant de pair, l’humanisme faisant leur point de rencontre, cette lutte démesurée envers et contre tout esprit libérateur des dictatures, fait morts et blessés à tel point que la moitié de l’intelligentsia française est soit lobotomisée soit exécutée de cette entreprise de razzia totalitaire envers les cerveau du pays et susceptible de commuer les pouvoirs absolus du monde en liberté. La moitié de la population exécutée de ces armements illicite, les survivants arasés au moindre signe de contestation, divergence d’opinion, soit à son insu, soit de façon si souterraine qu’il est impossible de le faire reconnaître sans se faire taxer de démence.

Cerveaux féminins microcéphaliques atteints de limites aryennes, sur corps déformés d'éléphantiasis, femmes anorexiques tombées dans la nourriture pour s'habituer aux effets disgracieux de la grossesse et ses pertes d'identité mentale, physique, boulimie instituée par les mères dans ce sens d'habituer à la maternité les jeunes femmes nubiles, privée avant toute majorité du besoin sinon de l'assouvissement d'être aimées d'un conjoint réel, castrées de leur désir et de leur plaisir féminin au nom d'une maternité qui doit leur rester un devoir assidu, promis libération féminine et si seulement consentie par la famille, qui les nourrit au lait de chamelle autant que dans république Iranienne ou irakienne ottomane, phénomènes identiques de société patriarcale, de type intégriste musulmane, d'une société parcellisée, micro fracturée en micro cellules intégristes de tous ordres, qui raquettent pour un ordre, quand tant d'autres attendent hommes et femmes survivants à cet ordre d'une cellule parcellaire, pour les tordre dans un sens adverse et les arracher à la paix, de leur vie intime, jugée égoïste et inutile tant qu'elle n'aura servi à quelque phénomène de secte de quelque cellule de plus, ou de toujours la même, qui envahit lentement corps et esprit, dilapide temps de vie et de repos, obnubile et sert d'occupation nazie des corps et des esprits, mobilisés dans cette guerre éternelle qui tant sert à réunir des pays volontairement divisés, combat éternel de réunification de ces pouvoirs divisés, réduits à des clans adverses, pièges tortionnaires exigent tous les sacrifices, pathogènes et mortels. Raquet immonde mais purge véridique.

Sodas dans bouteilles à capsule, ingérés par une moitié de la population, mélangés à traitement assoiffant neuroleptiques, destinés à calmer les esprits de révolte de l’agitation publique, et à augmenter la consommation de ces produits, destinés au départ à étancher les soifs les plus rebelles.

L’information de campagnes de sensibilisation des Organismes institutions humanitaires et associations françaises et leur mobilisation ne circule plus que par l’infliction des tortures qu’elles ont répertoriées le plus souvent dans ouvrages médiatiques et des sites internet.

Femme entre autres tortures, promise à l'incontinence urinaire des viols de son appareil génital, sinon par les lois du coïtus interrompus lysique, broyant par clap-end les muscles génitaux au moment le plus puissant de l'orgasme, piou-pioutage continu de sa sexualité, la Femme violée de ses couches, également condamnées au jeu meurtrier du clap-end, et là, il ne suffira du doigt des pompiers dans le rectum pour les sauver du décès.

La culture humanitaire de gauche récupérée par les intégrismes fascistes français et étrangers pour une plus grande imposition de la torture en France, dont ces tortures répertoriées.

Ces pouvoirs s’amusant au jeu d’exercer la répression exacerbant jusqu’à l’esprit de révolte jusqu’à la mater de répressions supplémentaires toute révolte qui en serait issue, la débusquant et la traquant jusques dans les moindres consciences tranquilles.

Vaincre au prix de la mort les libertés de conscience et d’opinion, tel est le rôle d e l’Etat d’aujourd’hui, jusqu’à la fuite même des grands de ce monde à l’étranger de peur de tombe dans le piège promis de la répression psychiatrique

Nul ne pouvant réclamer son indépendance au même titre qu’Amnesty International, politique, religieuse , éthique, philosophique, littéraire, artistique physique et financière bafouée par ces pouvoirs intrusifs à la vie intime et privée.

Nostradamus disait, le 21° siècle sera un siècle de religions ou ne sera pas, la religion, une culture fondée sur la croyance en des faits issus du et basés sur le légendaire.