dimanche 25 octobre 2009

Bulletin d'alerte et de santé :

Je subis en tant que défenseur des droits de l’homme (et récemment adhérente de votre organisme) depuis mes premières prises de conscience, de violentes représailles à un militantisme que l’on me craint dans mes écrits, et ces derniers temps, ayant décidé la réédition de mes derniers livres, ainsi que l’envoi de mon dernier manuscrit à un éditeur, je subis des violences inacceptables, vires et expéditions punitives d’équipes médicales envoyées soit sur l’ordre de ma famille, et relations, assez axées sur l’invitation à des personnels médicaux aux répressions de goulag, soit sur appel délateur de corbeaux de voisinage, assez eux indélicats et exacerbés pour pratiquer eux même de exactions et enfreintes aux droits de l’homme, violences physiques de type charcutage neurologique aux laser perquisitions constantes de mon logement, selon le mode, par pure farce Jung nazie, des services spéciaux, ne laissant de traces que par empoisonnement de mes boissons chaudes, cafés aux sels arsenicaux et cyanure, lâchers de gaz létaux ou d’ambiance à doses toxiques, ainsi que sur les hauts de la ville, dans trams et trains, destinés à un programme d’action du CHR de Montpellier et voire sur congrès médical, de l’ensemble du pays, d’euthanasie des malades mentaux, prisonniers d’opinion ainsi constitués depuis les années 30 à 50 par leurs équipes, ce qui se pratique par tradition encore de nos jours, pratiques d’immiscions dans la vie intime et privée ingérence à la liberté de conscience notoire et préservée par la politique de trust de l’hôpital et du complexe hospitalier de la région de l’Hérault, très contraire au programme de Laborde, programme de prévention, attentant sciemment la criminalité des pathologies de la démence pour prétendre à la criminalisation de la démence, emprisonner les déments et non prévenir leur crise meurtrière. Afin de prétendre à la traiter par les méthodes de torture de dictature des pavillons de force, en tout pavillon. Au dessus de mon logement, logent des individus très intéressés par ces pressions, parfois eux même malades mentaux récupérés par l’asile psychiatrique et certains secteurs psychiatriques de la ville, pour intimider gravement toute liberté de pensée que par mes activités intellectuelles et littéraires, je leur représente, certains, franchement de partis aryens. N’hésitent au délogement par farce et violences accrues, faisant appel à des engins irradiants de la mafia locale, engins de répression dont s’arment sous l’action de certains membres de la police complice avec les faits, police propre à la répression et l’exécution sommaire, parfois par pendaison, sur tout lieu de détention, public ou privé, y compris hôpitaux, ou à protéger les faits, les pavillons, et destinés sur programme d’action de l’hôpital, à « sécuriser les pavillons » depuis la direction de l'asile psychiatrique par Manville, un ancien membre du SAC, s’arment en fait d’armements militaires souvent de type nucléaire de nouvelle catégorie, armement militaire non classique et d’une assez longue protée, issu de la recherche, testé encore à l’heure actuelle sur tout contrevenant à cette guerre qui inévitablement, s’il ne s’adresse au bon policier capable de l’écouter, se trouvera transféré en tentative de dépôt de plainte, au CHR en question, sous placement d’office. La région privilégiant l’ébriété des foules, sinon par auto-acception de l’enivrement aux toxiques et produits alcoolisés, du moins aux narcotiques puissants. Armement nucléaire, ou à faisceaux, propre à faire accroire à la maladie ou à la créer, le complexe hospitalier de cette ville ne vivant que de ce trafic et de la présence des lésions, pathologies diverses et variées crées sur la région, jusqu’à une profusion de cancers. Ajoutée à un programme d'euthanasie des individus et patients ciblés de la ville, propre aux programmes d'euthanasie nazis, avec attribution de chambre létale; programme apparemment issu de Jacques Blanc, Hitlérien ayant accaparé l'hôpital psychiatrique, le complexe hospitalier en général à une certaine époque de Georges Frêche, et qui depuis, s'allie à des médecins de Patrice la Fuentes, extrême droite fanatisés dans la pratique de la torture médicale, et psychiatrique; qui la pratiquent dans leurs officines, sous le nez de la maire, Mme Mandroux, qui aurait tendance à protéger les faits, ou les ignorer froidement.

Pratique par médecins non hospitaliers, et hospitalier, en relai sur la même personne, de la torture électrique létale en parties de snurf d’abord puis d’exécution sommaire, en séances de une heure chacune, infligée tout au long du jour dans des interventions à domiciles constantes jusqu’à la cuisson et l’éclatement en purée cuite de zones cérébrales concernées et choisies pour être ensuite lobotomisées, que ce soit au domicile même, ou bien en bloc opératoire, le plus souvent, après rapt à l’insu des victimes, parfois suivi d’un ramener du corps inanimé de l‘opéré du cerveau, pour ma part, lobotomie régulière dès la repousse des zones amputées après leur décès sous décharges électriques, repousse causée par alimentation forcée en ce but, des zones arrières du cerveau, d’un pan du cerveau gauche de l’arrière du crane au front réduit à en poire du coté gauche, opéré, moi y compris, à son domicile, mon corps inanimé et presque sans vie, réanimé par brulure intense des zones du cervelet, organe vital du cerveau reptilien, qui mort et décédé, cause le décès, replacé dans de la position identique dans laquelle il avait été surpris, le plus souvent, endormi, parfois, après lâcher de gaz neutralisant dans son appartement. Dans l’espionite générale de ce que chacun fait, et la loi de la surveillance constante dune société policière en voie de devenir une dictature de type Birman à la française, s’en prenant aisément aujourd’hui plus encore, aux liberté de conscience et au délit d’opinion. Dont le mien, de leur tenir tête, réduite à cette seule action. En sus des thèses de Lempérière fréquemment pratiquées sur mon cas, autrement-dit, vivisection charlatane, section en deux du cerveau par la selle turcique, sa base, amputation du pourtour du cerveau, après tabassages avec appareils de torture électrique ou très irradiants, destinés à causer les dits troubles du comportements résultant prétendument de la section du cerveau en deux, objets des amputations suivantes du pourtour du cerveau...

Electrodes dans les parties génitales, dans la salle de bain, autant que dans partie d’excision égyptienne, engraissage jusqu’au foie gras chez moi de repas dès les huit heures du matin, en sus des repas que prends après opérations neurologies à mon domicile, gavages aux aliments contraires à ma santé jusqu’à des triglycérides en dosages mortels, et début de diabète, destiné à m’enlaidir, défigurer physiquement, de l’obésité des barbouzes qui me traitent, forme de tchador médical et médicamenteux, torture chimique qui m'est infligée depuis longtemps, constituée en leur prostituée ensuite, ces équipes et personnels médicaux appelés sur appels de corbeaux et indicateurs de vie privée, commettant viols par sodomie avec vaseline, fellations durant comas, dans un but de proxénétisme d’un mafia infiltrant les secteurs psychiatriques de la ville, commettant la torture psychiatrique et le viol thérapeutique (gavage par alimentation forcée et supplice sinon de l’eau par assoiffement du à des doses massives de neuroleptiques déclencheurs de potomanie, supplice de l’entonnoir et de l’aliment représentant les excréments et ce qui les constitue, des maquereaux, ingérés par la force dans un but de mise à mal, dressage à la coprophagie et cassage de l’organisme, à des fins de matage dit « débourrage » de futures prostituées sinon placées en placements non déclarés à domicile, du moins en pavillon fermé, sous l’étiquette de la démence, pratique de la torture électrique en vue de lavages de cerveau, de l’acte de neurochirurgie à fin de pression physique et assermentation, faits des actes de barbarie, actes de cruauté, crimes contre l’humanité qui se pratiquent en pavillon et placements illicites à domicile, (dont avortements très fréquents après grossesses dues aux viols,, immiscions du liquide amniotique retiré dans les aliments, actes de cannibalisme forcé des déchets humains hospitalier, prélevés sur la victime même ou en provenance d’autrui, faits criminels protégés par la police, la justice et la jurisprudence, moi-même soumise à leurs actes de carressages durant les interventions, qui me restent invisibles, tour de secte ou de type militaire. Usage de la pratique médicale à des fins de proxénétisme, fraude électorale, élimination physique de toute personne qui serait témoin gênant de fraude à des fins d’occulter les affaires crapuleuses, de la région et du pays..

Obligation par ce matériel de guerre décrit, à des défécations en public, médicaments en surdosages jusqu'à doses mortelles ou jusqu'au coma en sus de coma épileptiques dus aux décharges électriques, coups violents infligés au cours de ces représailles pour les plaintes que j’avais déjà émises envers ces pratiques et méthodes de torture, confinement au domicile sous peine d’être plus grandement répressée ou raptée, invasion par un pavillon et cliniques privées autre que celui auquel j’aurai été rattachée des années durant, sur l’ordre et les attentats précisément, de cet autre secteur hospitalier qui pour ses fraudes que je dénonce espère me neutraliser, le secteur deux de l’asile psychiatrique de la région, ou l’Eglise de Scientologie, en devoir d’accaparement de mon cas, sur lequel il ou elle s’acharne en acharnements thérapeutiques intense dans le but de protéger apparemment certains de leurs malades malfaisants et dangereux à mon encontre, avec eux de me « buter », éliminer sinon de la vie sociale, et mentale, du moins de m’éliminer physiquement. Du moins, fortes intimidations ; toutes les fois où ce secteur aura promis de les placer en pavillon, il aura envoyé ses comités d’accueil et missi dominici afin de m’infliger tout traitement, thérapeutique violente, exercices de torture électrique, sexuelle et neurochirurgicale, promis à mes agresseurs, à mon domicile, ne laissant que les handicapés les plus dangereux en liberté, parce que dressés à agresser, brulots envoyés à l’encontre des intellectuels et personnes ciblées par ce secteur, cliniques hospitalières et privées, n'opérant les cerveaux qu'à but commercial en vue de profit juteux. Fraudes et accaparements que je dénonce dans mon dernier livre inédit, "Judas", visible sur : http://chelseyletterstoworld.blogspot.com/

Personnes de la base de partis politiques, femmes émancipées promises à ces bordeaux rouges ou nazis que sont ces cliniques et pavillons, parfois fermés, adversaires réfractaires et contestataires aux pratiques et méthodes totalitaires propres à leurs bouges infâmes que sont ces pavillons fermés, pour certains, fermés administrativement plusieurs fois pour maltraitances, en fait crimes contre l’humanité des plus sérieux, que j’avais moi aussi dénoncé dans des écrits qui ont causé, précisément, avec la partie civile de familles de patients concernées, par des décès.
Je vous prie donc d’agir si vous le prouver, en faveur des personnes qui y sont encore internées, ainsi qu’envers moi-même, très accaparées à l’heure actuelles par leurs virées incessantes à mon domicile.



Je vous remercie infiniment pour votre action,

Sincèrement,

Line Llao