samedi 12 décembre 2009

Bonjour, je vous ai confié des écrits dans la boite e-mail de ce site, concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais,se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement,adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral, destinées à en continuum le tabasser, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, leur soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux,(ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie),tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont , brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourriture essentielles à la vie,auto-alimentation très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée par intubation à base de pâtes et de pâtées pour chat , parfois jusqu'à la sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant,obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des organismes de tutelles tels l'UDAF, inflictions arbitraires (sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences), de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau,imposition de nourritures contraires à la santé,forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à titre de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il aurait du en être pour ma personne, maqueraux du monde hospitalier en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits,incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme" d'abattage privée, certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant proxénète lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis,assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric", dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, mais trè sfructueuses,argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux,déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques ou SS,d'une supériorité raciale insupportable.

A ce fait, je signale que si à l'étranger le plus souvent l'infliction de la torture reste destinée à créer la douleur physique violente, insupportable et meurtrière, la souffrance mentale en sus, en France, la pratique de la torture consiste à créer des douleurs physiques identiques causées des plaies à ce point imposées médicalement,, sous anesthésiques le plus souvent, destinés à augmenter la souffrance morale, torture morale.

Constituant des cerveaux de prisonniers politiques en soufflés au fromage ou patés en croute aux nerfs réduits en fils du gruyère imposé, cuits au four électrique de la torture électrique poussée à ce point de cuisson nazie et cannibale du corps. A titre de souffrance morale.Au nom d'un militantisme subaigu pour une peine de mort généralisée et médicalisée confiée aux hôpitaux psychiatriques envers tout contestataire, victimes de ces méthodes un peu trop"gênantes" de la société pour l'implacabilité de ses arguments, réquisitoires et plaidoyers, par cuisson progressive et létale sinon accompagnée d'ablation progressive également du cerveau par amputation des zones cuites et brulées, exposées et desséchées selon le mode de traitement électrique, et chimique.
Peine capitale de nos jours encore exécutée,au sein des hôpitaux psychiatriques et généraux euthanasie imposée, infligée destinée d'ordinaire aux vieilles personnes anciens résistants et femmes âgées au sein des maisons de retraite capables des pires meurtres prémédités et violences létales, dont, sur ma personne, non en m'âge de 65 ans requis pour ce droit à l'exécution capitale dans ce genre de conditions de camps d'extermination, soumise à cette heure à cette décapitation lente commise sous le bâillon chimique de la chape de plomb totalitaire du médicament neuroleptique, le fameux traitement de la torture chimique commune à tout prisonnier politique de ce régime d'années de plomb, afin d'éviter tout ébruitement pour en partie, des faits et agissements pierre d'achoppement de ce livre, Judas, un denier de mes inédits.

Peine capitale tentée entre autres sur mon chat, trouvé rebelle car doué d'une forte intelligente presque humaine, tabassé longtemps aux électrochocs autant qu'être humain, sachant que le crane d'un chat est de taille beaucoup plus réduite que celle d'un être humain, donc, laissé souvent à l'agonie de cette torture, réveillé par vétérinaires intervenues à temps pour lui à mon insu, tabassé quasi à mort à nouveau moi-même autant, par intervention de ces plombières électriciens des départements psychiatriques, en visites constantes sur les appels de mauvais éléments, lui, crucifié sur cette croix du chat du film 1900, jugé inutile si je devais être exécutée. Tentatives répétées d'exécution de mon chat pris en otage brulé plusieurs fois ces dernières années, jusqu'à l'odeur de viande frite des son crane et de jus de viande, son sang.

Contre ces pratiques illicites de la médecine, que faire, qu'opposer, quand les autorités refusent de saisir les plaintes, classent les affaires, internent par substitution et déni des faits, loi su silence qui m'impose,entre autres victimes de ce système, cette prostitution laissée sans controle, à actes de barbarie et crimes contre l'humanité constants ?
D'autre part,en ayant fait part à votre service juridique par appel téléphonique, j'attends votre réponse quant à une possible réaction à ces agissements, en résumé de l'affaire.

Dans mon cas, ces prétendus soins réglés par paiement avec sa carte vitale et au nom de ces dits soins qui lui auraient été pratiqués, en fait, sur ma personne, ou avec ma propre carte vitale, bancaire, et de mutuelle, par mon propre père, tyran familial, despotique et possessif,( au point d'avoir tué froidement, ma mère en famille, de représailles et méthodes totalitaires similaires, ma mère sur le point de le dénoncer, fuir et de le quitter, ce qu'elle avait tenté maintes fois,sans résultat, dépressive depuis ses dépressions-post-natales, femme battue autant que moi-même de ces méthodes de torture dans ce foyer là,cancérisée mortellement de ces exactions, mon père ayant fait appel aux mêmes services dits médicaux, personnels psychiatriques et leurs sous-fifres, des voisins de la famille, destinés à assurer entre autres flicquages, le devoir conjugal, la fidélité des femmes dans les couples, et le renoncement au divorce, dit le licou, la corde au cou), ainsi que par ses anciens collègues et relations de travail, anciens enseignants présentant les mêmes types de troubles mentaux que lui, assez typiques de l'enseignement.

L'acte de cannibalisme qui reste traditionnel dans cette famille, m'aura poursuivie jusqu'à aujourd'hui, mon père le pratiquant, après y avoir perverti ma mère, souvent hurlante d'horreur, dans un état de lamentations, de cris véhéments, déchirante d'horreur face aux crimes il ura en famille commis, elle trépignant d'impuissante puis vite matée, me forçant à consommer les nerfs, lobotomies, centres nerveux de l'amour affectif et de l'amour physique qu'il m'aura faite amputer de médecins, neurochirurgiens qu'il aura rendus complice de ce drame. jusqu'à un jour de banquet en famille, le plus souvent selon la superstition chrétienne, à 13, consommer des pâtés de tête de mort, selon des préceptes païens de profanation des rites de la religion, accompagnée de crises de ces types de meurtre envers ma personne, devait figurer en tant que Christ à crucifier sur la croix de Marie-Madeleine pécheresse, qui selon leurs préceptes, devait rester mon double, qu'ils condamneront des séances d'électrochocs décrites, suivies de lobotomies des zones brûlées le plus souvent chez moi, le dessus entier du crâne, celles des dolichocéphales sur lesquelles il semble faire une obsession, l'obsession nazie à l'encontre de cette bosse du crâne, l'opérant à la rendre plane, dite brachycéphale, cuite aux électrochocs à l'odeur de steak génital frit. Je le soupçonne, à l'heure actuelle, ce type de démon qui chez lui avec l'âge s'amplifie, de m'avoir faite intuber d'une partie de mon foie, une réséquée en tranche de cette viande de génisse d'ordinaire, de veau, ou d'animaux, pour être de la taille du morceau de chair de foie qu'il m'a ostentatoirement présentée, dans mon coma épileptique, suite aux décharges de courants, avant de la cuire et de me l'enfoncer dans l'œsophage, autant que coin de l'affiche d'Amnesty International, afin de me punir de n'avoir encore eu le cancer du foie de ma mère, qu'il me reproche ainsi aussi, ou bien d'une tranche du foie de ma mère qu'il aura opérée, je pense qu'il s'agirait plutôt du mien,tranche arrachée au scalpel en tranchement à la va-vite tant je devais être à l'agonie de cette opération,(cause répétée d'hamoragies cérébrales importantes, les artères et vaisseaux veineux imortants sectionné,s tabassés d'électrodes et donc, dans ces cas réouverts sous les chocs électriques), en zigzags dentelant son rebord, à son odeur génitale s'il ne s'agit en plus de mon utérus, encore à la dernier radio-échographie, sain, qu'il aura tabassé jusqu'à sa demi-cuisson durant des ans, qu'il m'aura amputé d'une hystérectomie (en vengeance de son cancer de la prostate ablavée depuis longtemps), pour l'avoir eu soupçonné encore une fois enceint et voulu faire gouter pour me punir d'avoir osé aimé un autre homme que lui,pour me punir à titre de position sexuelle d'avoir osé être aimée, d'aimer d'amour et d'amour physique aussi, un homme, punie des électrodes et lobotomies pour cet amour également cérébral, les électrodes qu'ils m'aura refaites, lors d'une pièce de théâtre sur le texte de Bertold Bretch, que j'ai jouée, et encore ces derniers temps, me punissant pour tout acte littéraire,création artistique que j'aurai eu depuis mon enfance. Son but essentiel étant de faire passer ma vie entière sous ce genre de vengeance pour toute possession de l'amour que j'aurai, sous électrodes, amputations, usure de ma nuptialité et des tissus de ma jouvence maintenus sous électrodes jusqu'au vieillissement prématuré de mes tissus. Il m'aura menée de ces opérations cérébrales et excisions de mes longs nerfs liés au plaisir , plus d'une fois à l'agonie, du moins très souvent... II persiste à me dépecer encore vive de mes organes vitaux, cœur, foie, par moments la rate, utérus, et le cerveau,organe favori,selon les rites ancestraux connus des premiers cannibales, je crains le pire. Sa famille le protégeant contre tout placement en maison de retraite ou en pavillon fermé, en me les infligeant, que quiconque, appellerait qui serait témoin des ses actes, qu'il dit ne pas comprendre ensuite, tenterait afin de me me sauver la vie, de ses représailles continuelles, qui ont débuté avec le début de ma vie, depuis un certain temps, afin de m'interdire toute relation, y compris amoureuses. A mon avis il ne s'est arrêté à cela, il me semble, dans un autre coma épileptique, sur le moment du réveil, à mon domicile, d'où les infirmiers partent sans m'avoir réveillée, laissée encore sous effet de l'anesthésie, non règlementaire car pratiquée à domicile, à la surveillance du père, l'avoir strictement vu, s'il s'agit bien de lui ou d'une ralation que j'aurai eu, strictement amicale, car vu de dos, coiffé dela casquette rouge de mon père, casuqette qu'il avait un jour oubliée à mon domicile, consommer un de mes nouveaux nés, qu'il aura cuit autant que poulet, après me l'avoir fait extirper à mon insu, mes dernière grossesse cachée peut-être par lui,peut-être sur sa demande et ensuite celle d'un psychiatre, sur l'une de ses lettres un laboratoire d'analyses chargé de réaliser un de mes tests de grossesse l'aura niée ou il m'aura faite avortée de quasi nouveaux-nés, tant les fœtus proches de la naissance, ou il aura tué et congelés ces bébés une fois nés à mon insu, ni sans que je puisse sur le coup m'en douter. Dans ce carnage, il m'aura également contrainte, dans mes comas, à absorber des morceaux de lobotomies, dont j'ignore si certaines, étaient des miennes.

Il aura également conservé longtemps à ce que j'ai pu en constater dans mes demi-comas, certains de mes anciens nouveaux-nés au congélateur, pour les introduire à l'heure prévue par des assistantes sociales de me restituer une de mes dernière s filles, les corps congelés des bébés, pour ensuite me les présentés, toujours congelés, en les plaçant sur mon pubis, une fois relobotomisée pour la circonstance, d'avoir eu osé enfanter, sans son avis. enfants qu'il n'aura jamais eu voulus de moi, car il n'en était le père. Il passe depuis son temps à constamment forcer la baie vitrée de mon rez-de chaussée, afin de venir soit me narguer, soit me défier de persister en ce qu'il refuse, soit pour m'opérer, à ainsi que chaque jour, passant son temps à s'introduire à mon domicile accompagné de ses amis, collègues équipes de personnels infirmiers, et médecins, sont il se fait des relations amicales durables. Sans compter les maintes retailles de l'extrémité du clitoris, tellement électrocuté jusqu'au fibrome, puis gelé d'applications répétées d'un glaçon, organe tant réduit de cette cuisson cryogénique sinon sous fluide glacial, savonnette, et pâte dentifrice très fortement mentholée alternée avec cuisson aux courants électriques,institués sur le prétexte de "devoir parental" (dans mon cas depuis mes premiers langes dans mon cas, surprise à quelques mois d'âge la main dans des langes trop serrés pour cet interdit du plaisir solitaire y compris chez nouveaux-nés), en jambon sec que son amputation aura été nécessaire, fait qu'il reproduit à que j'ai d'entrer en relations avec un ami dont je pourrais prendre plaisir, être aimée et que je pourrais aimer, fait selon eux très dangereux lié à une forme dangereuse de la folie, selon la médecine appelée. Agissant de même envers toute liberté de la Femme déjà acquise, y compris le droit à la vie.

Sans compter pour plus de vice, l'implantation durant mes comas, d'implants électriques manipulés de manettes à télécommande digitale, destinés à m'électrocuter l'organe du plaisir, implants parfois retirés discrètement de mains amies d'intervenants venus à mon insu le récupérer, puis le plus souvent, ces aiguilles de cinq à dix centimètres de long, plantées le long de cette extrémité du clitoris,formule de l'excision française dite "la vis" chez les petites filles, dans le but de griller le réseau nerveux, artériel et veineux pelvien, électrodes de même type implantées dans la zone médiane de la vulve, entre les petites lèvres, précisément dans un autre organe du plaisir relié au clitoris, "la fraise". pratique devenue rituelle pour ses intérêts politico-fianciers, débutant dès l'enfance avec la fraise du dentiste, auteur des premières trépanations de ces nerfs du plaisir et de la douleur mortelle donc autant que dans tous appareils sexuel, situés dans les dents.

Certaines fois, implants destinés à raisonner le plaisir féminin pris pour déraison depuis parfois la petite enfance, technique employée en pédiatrie, éducation spécialisée autant qu'elle m'a été imposée, électrocutions de l'organe féminin puni jusqu'à la calcification de l'aiguille et de son électrode, ainsi que par la prostitution sous masquage de ces maquereaux, au nom de la vision de l'homme phallocrate sur la vie sexuelle et donc amoureuse de la Femme, homme fasciste dit usuellement machiste déclarant l'usage de cet organe naturel, par loi rétroactive fasciste, lié et devant rester lié à la prostitution. Soumettant la Femme à ce type de conditionnement, sous peine de sa psychiatrisation, apte à la faire réfléchir sur cet usage du plaisir, qui apparemment, ne devrait lui revenir que si accordé par l'Homme, dans les conditions de la déviance sexuelle et de l'acte contre-nature dangereux pour la santé et la vie, déviances de l'amour, la sexualité donc, due chez la Femme, au pénis féminin, le clitoris, ses ramifications irradiant le vagin, les zones érogènes et organes sexuels de son corps jusques dans les chairs en surface de son crane , corps, son amour, condamné à la jouissance seule, de l'orgie publique de viols correctifs et répressive infligée aux rebelles, précédent l'excision des femmes, devant l'infliger sinon devant être subie d'avantage...Certaines de ces femmes très conditionnées, par esprit de revanche au pur gout d'infliger ces tortures par représailles, incitent à cette pratique et maintiennent le fléau.

Après avoir condamné la Femme rebelle à ce conditionnement, à sa défloration dite dégel, selon les conditions de l'excision à l'étranger, par les méthodes des plus douloureuses de mise en souffrance du corps souvent mis sous anesthésie, et relevant de l'usage de la torture y compris électrique poussée à son summum à titre de prévention thérapeutique ajoutée à la castration neurochirurgicale des zones cérébrales revendicatives en sus de la mutilation de zones neurovégétatives parfois accompagnée de thèse de Lempérière, vivisection très fréquemment sur femmes jugées belles et fine etdonc trop propres car dites top honnêtes, opération dangerosissime consistant à séparer les deux encéphales du cerveau, à en araser le pourtour pour moins de troubles du comportements causés par cette section, accompagnée de la défiguration complète de la victime, pour trop de beauté y compris intérieure, jugée là excessive, devant rester envers l'homme celle de la truie qui ne lui résiste, violée par tout acte contraire à ses actes de prévention sur autrui et envers elle, dont l'insémination punitive de blennorragie (cause de gangrène du corps et donc nécessitant la stomisation de multiples organes, d'os, la résection lobotomique de zones du cerveau infectées)interprétation française de l'excision pratiquée à l'étranger, par la médecine depuis la nuit des temps en France assimilant la propreté jugées dans ce cas excessive, à la possession du clitoris, en fait à l'étranger, il s'agirait de l'inverse, la possession de l'organe féminin, jugée sale et la propreté du sexe devant être rendue à la femme par son excision pour plus de pureté de son esprit, leit-motiv repris par les nazis....

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