samedi 27 février 2010

En sus des méthodes totalitaires d’une politique dite sécuritaire des établissements de santé mentale, imposée à titre de traitement de la folie et de soulagment de ses maux, souffrance morale supplémentaire aux tortures médicales substituant les soins prétendus, au nom d’un militantisme subaigu pour la peine capitale envers la dissidence au cas par cas d’abord “raisonnée” des tortures mutilatoire connues, passage en douceur de peines de mort envers ces dissidents, dénommée par le corps médical ”euthanasie”,l’euthnasie dont le débat a encore été abordé, ne devant relever que d’abord et en premier lieu, de cette lutte sociale pour une peine de mort généralisée et médicalisée confiée aux hôpitaux psychiatriques envers tout contestataire à ce régime, et la pratiquant depuis les années 80, sur de surcroit toutes victimes de ces méthodes un peu trop”gênantes” de la société pour l’implacabilité de ses arguments, réquisitoires et plaidoyers contre totue attaque au nom d’ue intolérance religieuse des multiples fascismes régnant dans les masses, et ceux des pouvoirs étalbis les divisant, par cuisson progressive létale du cerveau, de son système nerveux, sinon accompagnée d’ablation progressive également du cerveau par amputation des zones cuites et brulées, explosées et desséchées selon le mode de traitement électrique, brulures augmentées de la cuisson chimique de produits pharmaceutiques employés dans ces cas de torture psychiatrique, dont la cuisson chimique constante causée de certains neuroleptiques sensés remplacer les électrodes, électrochocs anciennes et nouvelle formules dans la pratique médicale actuelle leur infliction constante. Dans chambres létales présentes en cliniques au sein des hopitaux psychiatriques, cliniques privées, pavillons d’asiles psychiatriques, parfois improvisées dans simple chambre de patient, sur lit de fortune dans résidences privées, HLM, dans des cas d’assignations à résidence surveillée, méthodes birmanes intoduites ne France dans les années 80, dissimulées de nos jours sous le prétexte d”internement préventif sécuritaire”, le plus souvent non officiel ni déclaré, dissimulant la présence de prisonniers politiques et d’opinion réels, constitués depuis les années 50 et la Guerre des Nerfs ou Guerre Froide sous l’infliction de faux en écritures, faux témoignages en jurisprudence si l’affaire portée en justice, auprès des autorités et des forces de l’ordre, faux stipulant à tort le diagnostics de démence grave, détournement de lois, dont celle de la substitution à des violences subies au cours troubles de l’ordre public causés de troubles majeurs d’impétrants, privilégiés pour avoir commis violences physiques et mentales, juqu’à scènes de tortures quotidiennes continuelles sur des militants de gauche, relaxe systmatique de ces extémistes adverses laissés sur mesure d’intimidation dans le droit de poursuivre leurs actes de violences sur leurs vitimes, relaxe due à la stricte inversion des faits dans les versions multiples de ces affaires, des responsabilités et culpabilités, les militants hommes ou femmes victimes de dégradations corporelles mutilatoires voire importantes suites aux agressions en continuum de ces casseurs, inculpées à contumax et devant témoigner à toute heure sous la torture électrique, sinon internées, détournements donc de lois concernant la privation de liberté de personnes, ciblées pour le caractère subersif, d’une divergence d’opinion, qui si rendue publique, pourrait causer scandale parmis factions adverses de ce délit d’opinion ainsi constitué, de défenseurs conventionnels des libertés individuelles, de la démocratie, des droits de l’Homme, de la Femme et de l’Enfance, sympathisants de partis politiques de gauche, dont l’Ecologie, non admis sur simple délation de particuliers de voisinages immédiats, dans certains milieux fanatisés d’extrême droite,ou d’extrême gauche pro-soviétique, en butte à militants si isolés du fait de n’être soutenus ni défendus par leurs proches, de milieux extrémistes ciblant ces personnes qu’en premier lieu ils torturent sinon exécutent de crimes politiques, passionnels ou dus à la maltraitance, et excluent si auront survécu, prisonniers politiques d’autant plus ciblés que représentants d’une liberté de pensée défenseur d’une gauche humaniste, libertaire et pacifiste, issue d’un mouvment post Mai 68 à déterminer, ficher médicalement, limiter, infantiliser, surveiller étroitement, rattacher à une quelconque ligne de parti admis cadrant des mêmes rouleaux compresseurs d’un asile psychiatrique utilisé en Goulag et moyen de pression physique, toute liberté de conscience laissée en électron libre, libre de ses actes et mouvements, donc, à éradiquer, sinon foidement éliminer,au cas par cas, sous la loi du silence imposée de ce détournemnt premier de loi qu’est l’infliction à tort du diagnostic de démence pour délit d’opinion, traité des méthodes psychiatriques à vie, destinée à limiter, asphyxier, éliminer des tortures de guerre mentales sexuelles et physiques communes au pouvoir psychiatrique, il en existe dans ces cas des non conventionnelles, tout action de ce mouvement,

Je voue une profonde admiration à l’égard du collectif de psychiatres iconoclastes qui ont “osé” enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la politique sécuritaire actuelle prenant en otage la poplationds malades mentaux, attaque de front qui n’est nouvelle, ainsi que les meurtres et menaces de mort homophobes à nouveau présent sur “le sol français” datant de la phase préparatoire aux exterminations raciales en hôpitaux psychiatriques nazis antécédant les camps de déportation SS dont les “camps roses” d’extermination raciale des homosexuels, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever,fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d’une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant appel à ces mesures, d’un fichage méthodique médical et sécuritaire amenant à une surveillance et prise en charge dite thérapeutique (hors normes, parfois destinée à trafics interieurs aux hopitaux, de traites muliples de l’être humain,sinon pour certains prostitués sosus cette appellation de mesures de protection de la personne, “déments” nouveaux déportés soumis à cobayages contraints sous expérimentations scientifiques de camps de déportation ariens) de membres jugés “gênants” de partis politique,journalistes (si l’on peut dans ce cas “médicaliser” de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d’Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes “cadrantes” (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d’organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d’une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité (chifres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de “déments”, dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d’aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l’imposition en soumarin de la peine de mort sur certains “cas difficiles” (l’histoire ne dira s’il s’agit de prisonniers politiques et d’opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire “d’euthanasie”,les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du “soin” créateurs de la démence, pousés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l’heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et portée depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l’assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c’est peut-être déjà le “cas”,sous dénomination choisie de la langue de bois courante, de “placement anticipé sécuritaire”, non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée. S’il s’agissait donc tant de cela, la destruction du service public administratif fonctionnaire et hospitalier placé sous l’hégémonie de ce dogme depuis 1930 résiduel de l’administration de Vichy,et du pacte de non aggression d’Hithler avec Staline, générant un partage administratif dans une coalition sépararéeencore en viguer et en résurgence, des pouvoirs bureaucratiques soviétiques et pétainistes, guerre commune de deux fronts adverses, l’un imposant déjà au nom d’un militantisme fanatique les mesures totalitaires dans ce site décrites, l’autre militant vainnement mais farouchement tout de même face à au raz-de-marée tsunami sécuritaire d’une dictature policière dans les pressions physiques mentales et attaques personnelles que ces méthodes non toutes avouées ni officielles ni sues, sous-entendent. Politique de reptation de l’envahissement SS, de propagation obcsurantiste d’un aveuglement idéologique sur cette avancée, privilégiant l’ébriété générale soit par surexploitation, privation de vivres nécessaires à la vie, de sommeil liée à cet esclavagisme, dont celui des trois-huits, l’acculturation des masses sociales, le devoir d’ébriété des consommations rituelles obligatoires des opiums du peuples privilégiés enaddictionssouvent fatales, dont les drogues et l’éthylisme, assurant cette cécité mentale déjà créée des méthodes dictatotriales de tortures sociales et étatiques, ayant amené la dernière guerre mondiale dans l’inadvertance totale des sociétés face à cette reptation évidente d’une prochaine guerre mondiale de type identique, sinon destructrice définitivement de la planète, malgré les avertissements multiples des consciences lucides dont plusieurs exterminées en camps d’internement nazis dont les asiles d’aliénés, méthodes d’aveuglement totalitaire menées jusqu’à la non “compréhension” générale, méthodes de tortures d’occupation de terrain dont la politique imposée d’une monoculture viticole du midi et de régions assignées depuis des époques royalistes reculées, jusqu’à autonomisation revendicatrice de cette production viticole, monoculture ravinant le sols, les appauvrissant en substrats nutriciels essentiels à la vie d’une végétation réductrice des pollutions industrielles et atomiques, déforestation causes des incendies catastrophes multiples fréquentes en périodes de réchauffement climatique du à cette pollution capitaliste planétaire, dans le reniement d’une écologie humaine et sociale.
Désolée pour vos insuccès fonction des disparités financières au sein de la société, induisant un certain manque de répondant (fonction du manque de confiance des décédés que vous aurez laissés exécuter (sans avoir le temps de vous léguer leurs dernier legs quoique réquisitionnés d'un faux-semblant d'anti-sémitisme pour leur dilapidation de survivre d'une pension d'infirmité dont personne n'avouera, ni moi-meme encore moins sous la torture, la nature véritable ni la cause, bie que sous la torture je l'ai déjà craché, "mais cela ne devait se savoir" (depuis l'aveu d'un membre de ma famille, que je sois probablement en partie de sang juif, s'ilen faut preuve ADN) au gré de lettres à Monsieur de particuliers sous égide de la jurisprudence, vous faites bien de signaler que les lois des nations protègent les tortures nationales, un certain chauvinisme faisant craindre que la France ne soit des nations, qui torturent du moins parce que pays étrangers, sauf peut-être la France depuis l'invasion nazie, là au moins, cela a été réglé, le problème des tortures en france, du moins depuis que le siècle des Lumières qui n'a inventé que la médecine, lui a permis le titre de pays des Libertés) sous les lynchages de violences policières qu evous aurez dénoncées dans vos brochures que je subventionne de mon adhésion) et violences médicales que vous saurez privilégiées jusques dans vos locaux locaux, manque donc je disais en actions adapté aux situations des plus dures vécues en France, dont celles dues à un révisionisme jene sais s'il faut oser le dire ou fuir en Egypte, pro-communiste si le terme dans ces cas de subversivité hérétique, de prosoviétisme est puni d'électocutions létales, quoique le commun des mortel ignore (à juste raison pour ce que je lui dois d'en connaître la définition, il s'agirait peut-être là d'un délit d'opinion refoulé) la portée de ce terme ce qui pourait engager de puissants opposants à vos campagnes dont je n'ai physiquemt pu être du fait de leur activité mentale adverse, si la langue de bois nationale doit rester respectée, à se demander si parfois le dire ou l'écrire en allemand ne serait plus compréhensible, ou bien en Hébreu, plus respecté que discours de handicapé du fait de l'emprise d'associations humanitaires anti-racisme, je rectifirais, anti-racistes aucas où l'on m'en aurait déterminée raciste pour les avoir eu contactées, constat, j'ai servi entre-temps de cible figurine paillasse épouvantail de toute cause ennemie à la mienne et même des miennes, cible de leurs balles de quoique je l'avoue aussi après séance dmis een cionfiance, électriques, avec code barre collé au front des propos racistes, mais je l'a dit, avoué y compris à genoux devant l'infirmier, l'aveu n'y suffisant, piètre bouclier humain de votre organisme aussi, la suffisance raciale des murs de la Honte et de celui des lamentations bien plus criminels que ceux de Berlin, séparant les honnêtes gens qui travailent des infirmes qu'ils auront tabassés, cognés dans le devoir de les rétablir afin qu'ils "travaillent honnêtement", autrepolitque de Médef d'un "Lève toi et marche" que ne certifierai pas néo-nazi pour une fois, mais asociation hélas également, la touche de sensasionnalisme aïgu et personnalisme conseillé, se réduisant au fait que néo-cancéreuse pour mes idéaux libertaires, s'il doit encore actuel de décéder pour ses idées, quand elles ne seront jamais appliquées, sinon en rechutte cancéreuse pour m'être heurtée, je crois, s'il s'agit d'une approche pratique au discours non-hallucinatoire de votre action sur le terrain, récupéré de franc-tireurs de tous bords en période électorale, il en est sur la région, d'une Ligue du Midi et de la pègre locale, que vous ignorez en tant qu'infirmité de qui s'y oppose si un manque de loi règne sinon contre les violences familiales, parentales, liées aux consençus régionaux,Paris, la métrople, m'aurait peut être définitivement de cela, leurs méthodes radicales et définitives, et le tmes que vous ayez tenté de faire adopter une loi qui puisse un jour être définitivement appliquée quand l'on sait sciement que celes dela rpéublique démocratique de ce pays, si elle n'es celle du Congo, mais les souffrances ne sont à comparer écrivez-vous,ne sont en rien appliquées, sinon injstemnt détournées de leur but initial et premier si ce n'est trop s'exprimer en primitif, (j'aurai été traitée y compris d'acromégalie pour avoir eu osé emprunter ce terme au dictionnaire accadémique, et osé, attitude morbide mégalomane en ceritutude irréversible mais curable, le mouvement anti-psychiatrique encore de nos jours, je vais peut-être trahir une résistance quelconque d'un libre club de shizophrènes, allez dites le cela soulage, du Collectif 39 et celui plus méconnu, de psychiatres méconnus heureusement pour eux, de l'hôpital de Neker, où j'aurais naître, de refuser leur adhésion à une politique sécuritaire pro-bush des hôpitaux et fichages politiques méthodiques des enfants en bas-âge, traqués dès le berceau, et les crèches, pour une suspiscion eugéniste de l'hérédité fichable de la délinquance, à détecter très tôt, si cela se trouve in-utero) de protection des citoyens, dont certainement je ne suis classifiée, du fait que rendue infirme de combats de symphatisant que j'ai toujours, me refusant à toute adhésion cadrante à une politique laminante de ses dissidences, ma professiondeof n'étant qu'u eligne d eocnduit éthiqu delutte po rune apalicaiton de règlementations déontologiques de la médecine et de celle de la Santé mentale, dans le strict respect des drot sdel'Homme qu'elle entend et le respect des chartes des malades, pour avoir eu osé approcher intellectuellement le concept d'anti-psychiatrie de notion libertaire, de nos jours néo-libertaire, jaurai vécu les méthodes d'un Goulag psychiatrique que vous semblez admettre et en que Raison valide d'Etat, en application d'autant plus dure et librement en reptation violente de procédés inquisiteurs, jusquà ouvertement gestapistes, dans l'enferment thérapeutique prévu de cette idée chez les juifs et libertaires préconçue, et gain de terrain que les politiques se totalitarisent, la France, je vou sl'aviq suignlé, n'est exempte d'en être, le petit nuage rose des libertés de pensées a décédé avec les années mitterand et son décès, si vous permettez vous également, que les revendications de ce mouvement post-68 qui avait opté pour la reconstruction du pays après -guerre des résidences de droite, d'un révisonisme innocent de ne point reconnaitre ce fait, que "la patrie" sombre dans le débordement de tâches et corvées occultaritrices de cette totalitarisation que plus aucune résistance valide ne peut réffrener,les vigiles de cette conscience intenresses premiers, dans les asiles d'aliénés des années 1900 à 1939, où ils auront été euthanasiés, plan d'extermination nazi toujours en soubassement prévu; chambres létales d'exécutions capitales sinon sommaires de prisonniers politiques, sinon d'opinion (en constitution non officielle, là est la difficulté, du non aveu de la république, de ces constitutions de prisonniers au nom d'institutions médicales, les dictatures étrangères assez stupides aux yeux de la France, pour faire en étalage), exécutions de violences mortelles morts lentes ou brutales prévues dans cadre d'internements à vie en déambulatoire d'équipes et matériels de tortures militares dites psychiatriques poussées à leur puissance létale, la torture médicale inavouée dans ce pays, dont inexistante officiellement, dans le confinement d'appartements urbains, parfois chambres de tortures sado-masochistes et bouges bordels médicaux de clubs d'initiés, équipes, fonctionnaires médicaux,
Tortures létales n'attendant le temps qu'un jour,passe une loi...
Comptant sur votre compétence

vendredi 26 février 2010

Récupération de fichiers, notes subites
Je suis désolée de ces e-mails répétés, mais je vous prie de trouver ci-joint complément d'information, je vous prie d'excuser en outre la présence de doublons, s'il en existe encore, dans les textes que je viens d'envoyer par courriel, doublons causés par un intervenant se maintenant invisible à mes yeux du fait de m'éclairer d'une torche électrique m'éblouissant, jouant du fait d'un photo-sensibilité liée aux prises forcées des pychotropes sans suivi légal ni médecin avoué sinon restant anonyme et invisible, parfois audible, photosensibilité occulaire si éblouie de forte lumière plonge automatiquemnt en état second hypnotique, à mon domicile, dont le role est de censurer, saboter mes textes et écrits, couriels et manuscrits, de me reprocher éternellement, la faute professionelle qui m'a été infligée, puis mise sur mon compte, de doublons dans un travail de saisie informatique lors d'un CES que j'effectuais au sein dela Pharmacie de melle Rousseau, pharmacie de Saint-Eloi, dans les années 90, doublons prémédités par un de ces saboteurs, mon travail mis sous électrode quasi constantes d'équipes intervenantes fantisées sur mes lieux de travail, y compris la DDASS où j'avais entammé ce CES, puis mutée pour les raisons suivantes, de titularisation de mon poste, qui exigeait un diplome que je n'avais, j'avais été mutée ensuite à Saint-Eloi, où l'équipe, je suppose de Robert Bres, dont je n'étais plus officiellement suivie, avait décidé de mon licenciement, ainsi que de tout emploi que j'oserai tenter, qui pourrait m'assurer une indpendance vitale envers ce département, où ce secteur m'a voulue, sous prétexte ,et afin de prétendre à la maladie, au devoir d'"éteindre" "les plus atteints", ma lutte contre ces crimes contre l'humanité sanctionnée de tentatives multiples d'infliction de l'euthanasie telle qu'ils revendiquent pour certains pavillons,qu'elle s'inflige dans ces secteurs, par mort violente et lente, sinon douce et contre le gré des victimes, qui pourraient s'avérer un danger potentiel de dénonciation envers ces crimes, abus, tortures déjà subies, si ces patients n'ont "appris la leçon" imposée de la loi du silence sur ces faits, maladies mentales, préfabriquées sur les modes identiques, à un travail à la chaine, que ces personnels médicaux, revendiquent, au nom d'un stakanovisme inavoué du travail, dont ils me veulent atteinte, toute résistence à leur politique, décrétée nazisme, atteinte grave de la maladie; paroxysme actuel de l'affaire, suite à mes plaintes, en concussion véreuse, avec le secteur 1, qui se charge de couvrir l'affaire, en séquestrant, sinon d'interventions identiques, sinon en légalisant le fait des virées, expéditions punitives à domicile, dans trams, cars, taxis, restaurants, commerces, par le placement officiel;

Veuillez excuser les multiples fautes de frappe que j'ai pu commettre contre mon gré lors des ratonnades de ces équipes du front hospitalier des secteurs 1 e 2 de santé mentale en représailles à leurs inculpations et comparutions au cours de l'examen en jusrisprudence de mes plaintes déposées à leur encontre. Dépouillant de mes plaintes archivées le contenu potentiellement dangereux à leur entreprise, effaçant courriels entiers que je rédige, dont le dernier que je vou adressais, qui pouvait refleter un degré de cognition universitaire qui ne devrait paraitre, comportant autre symptomatique que l'analphabétisme requis de troubes pouvant être apparentés à l'arriération recherchée, degré de culture et de lucidité compromettant leur entreprise d'infantilisation du style linguistique et des facultés mentales pouvant faire accroire à la maladie prétendue en vue de ces perquisitions au nom d'une prise en charge médicale d'intellectuels, hommes et femmes présentant dès l'enfance les signes premiers de ces dons facultés et aptitudes propres à une population traquée persécutée pour les privilèges jalousés propres à son élite, dans une lutte des classes morbide usant du libre droit d'appel sur appel délateur de patients déjà traités acquis à l'ignorance requise, appels à l'intervention psychiatrique (sur cette délation parfois due à cette jalousie intolérante et non refoulée, de classes), en tant que méthode de lutte armée, forme de terrorisme anarchiste indiqué.
Services protégés par ceux de la police, en cette lutte armée des méthodes lourdes jusqu'à présent légitimées sans aucune légalité du fait, des secteurs psychiatriques en usant à titre répressif puis commercial, dans un mercenariat envers besoins de tierces personnes dont certaines proches des domiciles des victimes pour leur voisinage immédiat ou lointain, abusant pour leur intérêts privés intolérances induites de leurs convictions religieuses et politiques, services dont protégés sinon appelés par la police en cas de violences envers les personnes visées, le corps des pompiers pratiquant (à titre de réanimation de ces personnes dont moi-même, trouvée en états quotidiens de mort apparente), également par affinités idéologiques avec les forces de l'ordre et la répression médicalisée, le tir à vue sans sommation à bout portant dans le crâne, de raffales de chocs électriques causant l'épilepsie, mortelle en soi si non ,(ce qui nécessite sanglage serré du corps, réfrénant les convulsions épileptiques, déculottage avec violences de victimes, l'épilepsie causant la défécation forcée, la miction urinaire, le vomissement et l'orgasme contraint par intubation forcée anticipée à cette opération neurologique, d'oeufs ou autres aphrodiasiaques sans lesquels le système nerveux musculaire et ligamanteux de l'appareil sexuel serait froissé et détruit) lésions cérébrales pouvant l'entrainer, chocs électriques pouvant en soi être d'heure en heure mortels, des brulures graves et lésions qu'ils entrainent. Jusques ici infligés après viols m'ayant causé une dernière grossesse, durant ces grosesses dont ils ne tienent comptent sinon pour tabasser d'avantage,crime contre l'humanité pratiqué dans les asiles psychiariques de la Turquie,et dénoncé par les défenseurs des drois de l'Homme , chocs violents crevant le sac ammnotique dont le liquide recueilli m'est systématiquement,plusieurs fois par jours après ce type de narcoses, fait ingérer de force.
Veuillez pardonner présence de doublons causés par forçage de ma porte par indididu psychopthe fixant sur les doublons dont j'ai été victime dans un CES effectué à la pharmacie (de Mlle Rouseau) de l'hôpital Saint Eloi, doublons imposés de sabotages de mon travail, en vue d'un licenciement abusif par concurence illégale, présence d'une handicapée sourde muette diplomée en infomatique, privilégiée pour une nouvelle titularisation de postes dont régulièrement j'ai été déboutée sous emprise d'équipes psychiatriques en relais constants, et sous narcose y compris à mon domicile, dans traques à l'homme en ville dans y compris mes déplacements personnels, prohibition envers tout emploi de ce type pouvant attester de ma raison, traques médicales sur ces lieux d'emploi, ces titularisations prévues de postes de saisie informatique et secrétariats, au sein des administrations, exigeant certains diplomes répertoriés dont j'avais le niveau, soit d'aide documentaliste, soit en informatique; d'où le fait des fautes de frappe innombrables causées par les chocs électriques des interventions, erreurs typographiques que je passe mon temps à corriger, perte de temps d'une censure politique psychiatrique voulue afin de me faire perdre le fil du raisonnement de mes manuscrits courriels et courriers, déboutée de façon identique d'un poste d' animateur d'atelier écriture et de débats phylosophiques, auquel j'avais été encouragée, que je pratiquais en co-animation sur l'initiative de l'écrivain Hervé Piekarski, au sein d 'une association, les Murs d'Aurelle, qui me le souhaitait, me l'avait proposé et m'envisagait reponsable d'atelier; déboutée récemment encore, d'un poste d'aide-puéricutrice à Lapeyronnie, ayant été repérée assez sciente en notions déontologiques médicales recherchées pour leur droiture et apte à cet emploi. Incapacitée durement des décharges électriques imposées y compris à titre de concurence illite, réduite au quasi grabatérisme, équestée sous peine de violences ultérieures s'y je m'en évadais, dans ce cas, recherchée y compris par la police sous délations mensongères de réseaux de la pègre, dont celles d'une bande dite "d'Azaïs jeddi" qui me poursuit dans tout nouveau logement dont elle s'emploie à me déloger, envahissant contre mon gré mes logements et usant de mon père en tant qu'arme blanche, moyen de raquet, et pression physique, certifiant que je seras évadée d'un placement d'office ou de "chez quelqu'un"; je suis désolée de ne pouvoir vérifier si les textes suivants auront été tronqués et entièrement corrigés de leurs erreurs de typographie, pour certains d'une partie de leur contenu jugé trop compromettant, d'autant plus que ma boite e-mail ne permet l'effaçage des textes en double.

En sus du complément de plainte envoyé à cette heure par courriel, veuillez recevoir l'accusation initiale dont j'ai été déboutée par amputation de cette accusation écrite figurant dans mes dossiers de plaintes, entre autres traductions de mes dossiers informatique, passages de mes sites, transposés en réductions idiomatiques pouvant faire accroire à la débilité de ces documents, paraissant sur internet, mon pèr, ansiqu'n de c s intervenant cambiolant mes archives, en ayant détruit, déchiré autant que page de cahier de fillette pas sage qu'il bat de cures d'électrochocs de tous ordres et natures, pour son refus de cédéer à ses tourmentes, viols collectifs correctifs envers l'émanciption intellectuelle que depuis des années je lui oppose, tourmentes protégées instituées et générée par institutions psychiatriques dont certaines orientées politiquement et religieusement, ouvertment pro-nazies et forçant de l'éducation religieuse intégriste futigeant les libertés de pensée, et libertés individuelles des femmes émancipées traitées en trainées , prostituées de ces claques entrepises médicales, centres et maisons de santé, ou de retraite de façade, dont certains de véritables camps de déportés de Dachau, de corruption oficielle au delà de celle de l'affaire du Patriarche et de l'Arc, où s'y pratiquent à domicle des tortures exactions et sévices allant bien au delà de ceux, irréels ou fabulés, de l'affaire Outrou, le contenu par entrve à loi et destuction de preuves écrites, appropriation de biens intellectuels preuves d'une cognition culturelle et d'un raisonnement qui l'accablerait en justice, mon père me défiant de toute inculpation et agissant dans le sens de ces destuctions de preuves, se sachant coupable de corruption de fonctionnaires et de crimes quotidiens qui si je parvenais à enter en procédure, lui vaudraint un emprisonnement à vie, d'où son intéret à pratiquer sous l'atribution abusive dnas le détournement des loi de son attribution et de l'établissement de diagnostics, sur faux en écritures faisant accroire à et attestant à tort, à but de profit des démences vérifiées sous mises en scènes obscènes et violences citées dans ce document, me maintenant dans le cadre répertorié de critères de ces diagnostics, violences agravées constantes faisant accroire à, simulant les symptomatiques de ces démences, de l'étiquette de démence, permettant amputations cérébrales et grillages systématiques de systèmes cérébraux, nerveux pouvant retracer les faits, privations d'eau et de nourriture protectice, reconstructrice des forces vitales et du cerveau, des lésions nerveuses et fonctions cérébrales amputées, dont ces médecins voudraient qu'elles ne repoussent, du fait dec esprivaitons ajoutées à la destruction voulue des zones du rêve du coma des phases de sommeil récupérateur, le sommeil nocturne reconstructeur, réparateur du cerveau et de la reproduction des cellules nerveuses, la privation de sommeil infligée dans les années 50 sous prétexte desoi de la dépresion, ayant conduit à des démences voulues par profit et abus, les décès que ces privations entrianent qui me sont voulus, accompagnés de cures d'électrodes visant à préméditer ces amputations rémunératrices, répressives de mes libertés de pensée et d'action, dans un but punitif de fichage méthodique de mes opinions littéraires, poétiques, artistiques et politiques encore une fois, de désolidariser toute relation en affinité avec ces opinions pouvant former mouvement public jugé aujourd'hui illicite et criminel, devant entrer en résistance jusqu'à présent vouée au terrorisme, ce jour même, j'aurai été tant que je n'aurai rompu le mutisme dans lequel j'aurai éte confinée les trois quarts de ma vie durant, mutisme respecté attribué non seulement à une démence autistique que je ferais, mais aussi à un silence de prisonnier de droit commun devant être tabassé s'il faut mortellement ainsi que cela s'est reproduit ce jour même, jusqu'à"à 23:39 h, d'implants électroniques vertébraux manipulés à distance d'un engin de télécommande, après injections de Penthotal, Tranxène dot les effets secondaires paroxysmiques peuvent amener à des crises dites d'agitation par cet artifice, d'une par de l'action de ces produits, d'autre part par torture électrique sous implants électroniques certains fichés le long de la colonne vertébrale, cuisant jusqu'à l'organe médullaire de la moelle épinière, le canal médullaire, le liquide céphalo-rachidien qu'il contient entourant la moelle épinière et la préservant de traumatismes mortels, sachant que ces tortures infliges d'irresponsables contrefaisant l'idiotie, pouvaient être portée à leur comble mortel pour ma vie, l'extraction de moelle épinière causant le décès immédiats, torture létale promise si ces implants me brulaient plus profondément, ajoutés aux colères hurlantes qui résultent des injections de Tranxène et Penthotal utilisés dans ces interrogatoires sous torture électrique, hurlements de mes réquisitoires et plaidoyers extirpés par ces tentatives d'homicide en continu, maintenues assez d'heures ce soir même pour prétendre à interventions en continu de tentatives supplémentaires d'homicide par engins non répertoriés de soin sinon engins militaire de torture électrique utilisés en tant qu'instruments dits de soins, poussés jusqu'à 'épilepsie et l'exécution sommaire si maintenus assez longtemps, de torture électrique employées pour opérations neurologiques, du volume d'un réfrigérateur de caravane, pratiquées avec désinfection au merphène, grillant zones cérébrales, systèmes nerveux, veineux et médullaire, ou engins de torture de guerre à détenteur d'une explosion d'arme à feu de fort calibre, équivalent à tirs en rafales de balles de gros calibre, puissance des déchargés électriques brulant jusqu'à retrait de zones de matière blanche cérébrale, réduites en moelle osseuse cuite ou racornies desséchées en papier mâché, résections lobotomiques préméditées de ces cures infligée par pur plaisir de torturer jusqu'à lui aurai le cerveau reptilien à interchanger encore récemment les amygdales cérébrales, ingérées de façon forcée accommodées en civet, certaines greffées dans le corps et le cuisses, en prévision d'un rechange prochain avec remplacement d 'os frits autant que biscuits, une personne jugée saine et valide, un travail d'emploi médical en puériculture m'étant dernièrement encore proposé, relatif à des notions en médecines, une dignité de savoir déontologique recherchée qui m'avait été décelée, trépanations multiples ayant suivi afin de me débouter de tout emploi que j'aurai ou qui me serait proposé, y compris intellectuel qui pourrait ne point rapporter biens et finances avouées, travail garanti à vie sur ma personne de cures de narcoses poussées chaque demi-heure jusqu'à l 'épilepsie si cette règle est bien la norme, pour le simple fait que je représenter la norme, tortures par aimants implantés dans les zones génitales des sourcils, arcades sourcilières, zones nasales, abdomen, préparatoires par tabassages, à une apparente agitation prévue, causée du fait des névralgies constantes, douleurs insurmontables pouvant atteindre des degrés de folie chez certains prisonniers de ce type prévus pur un internement officiel, cris, répondants, présences d'esprit, plaidoyers de procédures illicites de Nurember.

Suite à mon implication,en tant que victime, dans un trafic de traite d'êtres humains, dont le proxénétisme, (cteurs en états second employés dans films, raptés à tout moment de leur vie intime pour scènes de violences réelles dans films historiques rémunérée aux services hospitaleirs et à ma famille, sans aute rartie pou rmoi que trépanations après cures d'électrochocs "afin d'effacer ce qui ne s'est vu" aux quatre coins du monde, à Paris, rapatriée par on ne sait combien d'assossiations humanitaires, engrossée, en état d'agonie)de secteurs hospitaliers, en interventions constantes à mon domicil, devenu leur boui-boui, lieu de prostitution forcée en appartement, chambre de sado-masochisme pour leurs étudiants, maison d'entrainement répressive,où mon père fait ofice de mari protecteur, ou "ferme d'abattage", où je devrai rentrer dans le droit chemin,à lamoindre rébellon, de cette prostituion, dont trzfics multiples, de cobayage humain forcé, devoir de Service du travail obligatoire, exploitation de type Camp mao, plusieurs pavillons appelés à me faire respecter cet ordre,avec interrogatoires par électro-analyses, narco-nanalyses, électrodes dans les zones génitales, maints supplices et tortures dans le pièces jointes, décrites. Secteur médicaux, dont les pavillons de force, usant de l'impunité" de la blouse blanche, autre robe de noblesse de robe,pour agir en complicité étroite avec le Force dela plice, le corps des pompiers, la médecine généraliste, par esprit corporatiste des corps médicaux appelés à vérifier mon état de santé, et à me venir en aide, eux reproduisant les faits dénoncés, ar tiers, témoins scandlisés, en volonté de me porter secours, voyant que je vivais "la chambre fermée" à mon domicile depuis des mois, sans aucune autre raison. tout appel de tiers qui sera fait à ces services ne serait-ce que par vérification des faits, ou en vue de négocier, suivi de représailles pouvant être mortelle,

Protégeant les sévices, tortures de l'icneste, que je subis depuis que je suis née, des viols à violences thérapeutiques en collège et réunion, au sein de ma famille, protégeant ces pratiques, et de ses collègues, sur ordre d'un parent, mon propre père, mon protecteur initial, soutenu de pavillons, chefs de services etleurs équipes, père initiateur de ce genre de "Folies" sur Montpellier
Suite à mon appel à vos services, et sur votre recommandation, je vous addresse le contenu des plaintes ci-jointes, dont la dernière pièce jointe remontant aux premières plaintes depuis novembre 2008, suivies de représailles tant que les afaires portées en justice n'auront été classées, ces médecins influants en matière de jurisprudence, et protégeant de ce fait, leurs abus, trafics, et débordements de haine raciale, parties de otrture dites parties de snurf, audomicile des victimes chosies, crimes pouvant être meurtriers. le département 2 du CHR de Montpellier, ayant subi plusieurs fois, des fermetures administratives, suite à des plaintes des familles de leurs "protégés", ayant eu un parent décédé des maltraitances, crimes exactions et manque d'hygiène avérés, s'il s'agit d'ne mesure de protection que d'en être des souteneurs pour rites barbares, actes de cruauté, violences caractérisées pouvnt entraner la mort. Certains délaissés dns un état de dépérissement, jusqu'à leur décès parfois causé, dénommé euthanasie, exécutions sommaires établies en droit de fait dans ce secteur qui le pratique et revendique. pratiques instaurées sur ma personne par mon père, au sortir de ses dernière visites dans des pubs anglais et fanatique du degré d'alocoolémie qui pourrait le pousser à la partie de meurtre, déclarant à la suite de ces avalanches de débordements, "jamais je ne me suis autant amusé". m'envoyant à domicile tout gériatre à qui il aurait été confié, gériatres appattés par son argent, présentant des troubles de séniors identiques, et me faisant vivre les abus des maisons de retraite de la région, véritables camps d'extermination que j'ai expérimentés séquestrée à mon domicle de leurs crimes, abus non encore resencés, dont des équipes meurtrières.

Enfermement, séquestration à mon domicile destinée à me supprimer, si j'ose maintenir ma partie cicvile, sous peine d'hospitalisation bien plus réelle en pavillon fermé, où mon décès sera prévu et organisé rapidement. Les pavillons de force appelés après inversion des faits, typique de l'aryannisme, suite à des agressions d'un ou deux de leurs patients lachés dans mon domicile, d'une locataire logeant à l'étage au dessus du rez-de-chaussée où j'habite,viols et violecnes qui m'auront été punis, forme de violence subie et rituelle envers les femmes battues, de pavillons destinés à me faire payer les violences déjà subies de ce couple d'inactifs et de ces arriérés, en accord avec un de mes parents, mon père, qui sitôt accusé ne serait-ce que par tiers, me le reproche de violences et opérations cérébrales, forme de tabassage d'une femme battue que je dois lui rester, il tente également ce type de supression, sous électrochocs constants et lobotomies importantes trop souvent répétées, par intolérence envers ces texte et peur d'inculpation, autan tuqe chez tout parent bourreau , cause de violences envers femme battue, dont a été longtemps ma mère. Lui, ayant institué ce genre de partie de sauteries à électrochocs d'une junte de médecins hospitaliers et privés (depuis ma naissance, à titre de déviance psychotique sexuelle pédophile à mon égard, sont transfert de personnalité un temps soigné pour maniaco-depression hystérique à mélancolie, sans résultat) aboutissant à des résections neurochirurgicales, le dessus, l'arrière du crâne, cette locataire en dépendance psychiatrique, ayant décidé de me prostituer à son compte ces parties de snurf, de torture psychiatrique, accompagnées de violences et voies de fait depuis ce matin, constemment maintenues, d'un matériel électronique et de nouvelle convention, testé encore à l'heure actuelle, trafic également de proxénétisme de ces secteurs médicaux, qui en ont usé des décennies, sous d'autres formes, afin de prétexter l'agitation, l'amputation, la stomisation, les actes formels de neurologie, deneurochirurgie tant ces matériels, d'usage y compris pédiatriques en éducation spécialisée, dont j'ai été vicitime ma vie durant d'enfance martyr, faisceaux électro-magnétiques et irradiants d'armes militaires de pointe, peuvent causer des coups violents de fortes brulures, créer sinon des handicaps traitables ensuites en tous secteurs médicaux et spécialistes des handicaps causés, peuvent aboutir à des placements officels en maisons de santé, dans un seul but de profit, sinon piur faire taire, parfois définitivement, les victimes trop argumentées et aptes à les inculper. Les passages à tabac constant sous matériel de torture électrique, également pouvant etre cause de torture génitale, également par implants électriques, jusqu'à des brulures graves du sexe, voire, amputation pour sa cancérisation, les viols qui accompagnent, précèdent ces pratiques illicites, font partie d'un proxénétisme hospitalier qui non seulement prostitue des hommes, des femmes, des enfants, mais use d'un droit de propriété sur leur corps instituée, pour prétendre à l'opération neurologique constante, suivie de neurochirurgie dès que les zones cérébrales déjà réséquées tout au long de la vie des victimes, auront repoussé, de gavages illicites de l'alimentation forcée, contraire à la santé, et donc créatrice de dégats corporels, que la médecine générale réparera, en concevant un profit illimité, forme de traite de l'être humain supplémentaire... En ce qui me concerne, les secteurs de force s'ont intervenus aussi, (cf résumé précédent, me faisant vivre et alimenter des glaires, liquide sémiaux, crachats ramassés, et humeurs de leurs victimes décédées de pareils crimes en sus de leur degré d'alcoolémie pour certains au pastis,décès qu'ils auront causés et qu'ils me reprochent, (voilà ce que tu nous as fait faire, forme de violence faite à femme battue) me faisant sentir des odeurs de cadavres en décomposition,ou de leurs aliments une fois décédés, en ajoutant de leurs baves dans mes aliments, jusqu'à chez moi l'inanition prolongée, s'il s'agit tant chez moi de mélancolie, en fait pratique régulière de ces établissements, taboue, d'où les accusations de mélancolie))afin de me séparer d'amours supposées avec un de mes médecins, généraliste, ou autrui qui m'aura été supposé, cette personne que j'ai un temps connue trépanée assez pour m'infliger cures d'électrodes si je la joints,(je vous le redis, vous fait de caste médicale enfreinte de cette "fréquentation" jugée assez librement consentie par ce généraliste au départ, vous, qui leur était inncacceptable, considéré crime que j'aurais commis, qui m'aura été ainsi reproché, personne que j'avais osé rencontrer dont il fallait me séparer jusqu'au meurtre s'il le fallait, ainsi que de toute autre personne, qui m'aurait rendu service , réséquée elle aussi grièvement, retournée à mon encontre ainsi qu'envers vous je suppose afin de détruire toute confiance qui pourrait me sauver de ce drame, afin de m'isoler d'avantage, prétendre ensuite à la maladie, que j'estime toujours fictive et prétextée pour les raisons suivantes, qu'il faille m'interdire toute relation qui ppurrait m'être une aide, toute écriture, tout appel téléphonique, qui puisse dénoncer ces fraudes, exactions et crimes contre l'humanité commis au nom de ces établissemnts et en dehors de tout placement légal ainsi que sur simple demande parentale ou de tiers, s'il est permis que ces crimes soient légaux en établissement, mon ordinaire étant de devoir être séquestrée ou quasi à domicile pour une plus grande adéquation avec le type de maladie invoquée, qui me sera ensuite traitée, inévitablement, jusqu'à ce que mort s'en suive, des mêmes méthodes, en placement, sinon dans mon logement... Ces actes et agissements en complicité avec certains membres de la police, ou dits inspecteurs qui s'occupent personnellement de mon cas, m'interdisant toute nourriture pour prétexter soit l'anorexie, soit l'incapacité connue à la sckizophrénie de s'alimenter, ainsi que la perte des activités quotidienes, douche, sorties, alimentation, courses, nettoyage, corvées et tâches, autonomie strictement prohibées chez moi, de ces violences continuelles..;
Sole frite posée sur l'arrière du crane, promenée jusques en cabinet médical entre les jambes, servant de compresse dans séances d'électrochocs infligées par jeu sexuel et "pour se faire du bien" sur les deux cervelets, zone qui si ablavées quand trop brulées, causent le décès imédiat, mutilations et brulures causées pour mon cas, induisant à l'incontinence urinaire perpétuele, causée dès que réparée.

Ayant fait le tour des associations de protection envers les femmes, injoignables ou qui s'avèrent incompétentes en matière de violence sexistes envers les femmes, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d'abêtissement et d'ifnantilisaiton de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, ainsi qu'il en est pour mon cas, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu'elles semblent reproduire, simler, imposer, ainsuii que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte dela fidélité, aussi condamnée, l'obligation ainsi contrainte, au "droit de prostitution" érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel "initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d'un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodiqse, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu'à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale cosntante , mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d'idées (de gauche, la gauche vécue mal vécue et vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, juqu'au devoir de neurochirugie, "geste médical" systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d'acception de ces pratiques, des dégats causés par la torture électrique, zones cérébrales réduites en purées cuite de cerveau parfois ayant giclé d'incisions déjà pratiquées, pour résumer, de la torture physique et sexuelle, du viol correctif collectif dit thérapeutique, incessant dans certains cas dont le mien, à table, au lit, au travail, dans l'étude universitaire, scolaire, surveillance totale et absolue de la femme émancipée dans son devoir de manque d'autonomie, d'infantilisation de son statut réduit à celui de petite fille facile, si elle ne renonce à ses revendications, nées de ces méthodes de dictature fasciste, régnant dans les complexes hospitaliers, dans le cerveau de tout employé médical, en vogue dans le monde médical, sortes departies de torture, dites de snurf, à plusieurs, d'équipes venues inquisitionner au sein des foyers, couples, s'attaquant aux femmes seules, célibataires hommes et femmes, mères célibataires, dans une attitude de cette médecine, pédophile aryenne, dans une régréssion des droits de la femme, sous une loi de substitution du devoir du Christ et de Marie-madeleine crucifiée à sa place, de payer les fautes d'autrui, notamment en mon cas les viols d'un de mes ex-concubins, d'autres violeurs psychoates en intrusions constantes, dans le monde du macquage hospitalier en commun accord avec le totalitarisme déviant de la police, de la torture médicale qui s'instaure, qui fait peur, plus que honte, un terrorisme psychiatrique, psychiatrisé pour ses crimes et crimes contre l'humanité sous l'étiquette de démence, bien pire que Terreur Blanche qui tient des principes mêmes de l'Inquisition, sur de modes d'intrusion dns la vie intimee tprivée, de la Gestapo, selon le modèle du film 1900.

Victimes de lois patriarchales encore en vigueur dans les familles y compris athées françaises, fondées sur le modèle néo-nazi subconscient des années 50, la psychiatrisation des idées de gauche, et de mai 68, faisant partie de mon éducation, a sein d 'une famille basée sur le principe du père patriarche et dictateur, pourtant issu de la laïcité, ce modèle se progage, halte; constamment retrépanée pour la pratique en continu de décharges d'appareils à détenteur, de la puissance d'une décharge d'arme à feu, quasi séquestrée à mon domicile sur ordre parental, à peine atteinte ma cinquantaine, afin de me punir des dernières plaintes que j'aurai émises auprès d'un tribunal, concernant ces pratiques illicites de la médecine, dévoyée dans la dépravation de la torture psychiatrique en famille, sans placement réel, les placements aboutissant en général  au décès organisé, prémédité, des victimes, entre "bons voisins" initiés à cette forme de "pédagogie" anti-universitaire, formule nouvelle du SAC, du FIS iranien, revenu en force dans les moeurs, faisant appel au tchador du traitement pédiatiruque, neuroleptique, forme en sus de ceinture de chasteté castratrice des libertés sexuelles, baillon chimique de la liberté de pensée envers toute femme consciente de de cette enfreinte à ses droits..

Attaques physiques personnelles de sectuers médicaux psychiatriques du CHR, de médecins plombiers électriciens, en mal de vendetta, et résolution des plaintes que j'ai déposées à l'encontre auprès du tribunal de Grande instance de Montpellier, représailles sur inquisition permante des équipes inulpée, sur les lieux de mon domicile et de mes déplaceements en public, bus, trams, par tabassages aux électrodes constants du matériel électrique officiel encore en cours et actes de proxénétisme divers dont ceux induits par les "viols thérapeutiques" que sont les narcoses, dénudages, à gifles à toutes volées, permettant la défécation publique autant qu'elle se pratique en Chine sur prisonniers d'opnion, défécation contrainte due aux lynchages, tabassages (chaque quart d'heure depuis le 2 novembre 2009, date évènement du congrès de l'extrême droite et de la Ligue du Midi en réaction à la venue en France de Poutine, aux électrochocs, sur bassin ou couche pour incontinent, acompagnés de viols divers, à peu près continuls ces derniers temps, nocturnes et quotidiens, sencés m'initier au service civique et sexuel obligatoire, en restitution de mes sens lésés à la frigidité jusqu'à ces temps derniers, et initiations aux voluptés de la prostitution gratuite forcée sous étiquette imposée de démence, instituant le droit aux viols correctifs publics et collectifs des narcoses au service du totalitarisme, ni elles eu un autre but, sinon cleui de créer la démence. La femme émancipée selon leur politique et pour son bénéfice, devant rester celle du goulag, du bordel rouge sinon nazi. si la démence, consiste au devoir de soumission à la préfabrication des symptomatiques "courantes" des aliénations répertoriées, dans un but de traites innombrables de l'être humain, dans les tortures décadentes servies aux yeux de la démocratie, en guise de soins, si la folie ne réside, en sa confection méthodique par l'artifice des méthodes utilisées sencées sous loi rétroactive, ls soigner, d'un dictat autoproliférant en populations dréssées, conditionnée,à s'entre-torturées dans ceseul but, créer la folie humaine dans son inhumanité des pires et dangereuses pour l'être humain, résolue à titre de norme normative de la société.  Rites de la torture totalitaire administrative bureaucrate et judicaire psychiatrique en France, tentative de redressement d'une médecine déontologique de la santé mentale non initialement destinée à assurer les répressions d'un pouvoir de dictature sur le pays, le « flicquage » constant et quotidien d'une société policière et d'un état marxiste dont le goulag, récupéré par les pratiques médicales d'une psychiatrie de l'extrême droite, de la gauche marxiste pro-soviétique,  résurgence du passé sans scrupule et sans façon, l'extrême droite assurant le pouvoir CRS ou KGB à camps mao à domicile de la psychiatrie, autrement dit, l'existence de secteurs de santé mentale goulags véritables ou prisons psychiatriques étatiques de même type que les prisons privées de l'Amérique Bhushienne, où s'y pratiquent des chaises de contention à tortures mortelles, dérapages de violences policières meurtrières, à but de déstabilisation de la gauche, de certains de ses penseurs dans un but politique et privé d'instituer la torture sexuelle, physique et mentale non officielles encore mais présentes en tout lieu de détention, sinon au sein de tout couple et de toute famille, dans un but de régner sans contrepartie, ni contre offensive, ni contreculture que ce soit .
.Assoiffement, consommation forcée des déchets par alimentation forcée,domicile devenu leur site de sauteries récréatives de ce style, à coups de beignes et mornifles, débourrages de prostituées enchambrées chez soi, soumises à la loi du silence sous l'électrode temporale pouvant être fatale, commise jusqu'à l'odeur horrible de nerfs brulés jusqu'à leur réduction en corne grillée, cuisson des zones cérébrales touchées, la demi-cuisson du cerveau et de l'organisme donc, jusqu'à l'odeur de viande frite, et du sang demi-frit, formes de décapitations partielles ensuite puis par tranchet, autrement-dit lobotomies si résilience encore même faible, et si résistance de témoins scandalisés de telles pratiques, condamnation à des overdoses d'injections retard non officielles et autres traitements médicamenteux servant dans ces cas, à assermenter la fille, et affaiblie ses défenses mentales, puis en viennent encore et systématiquement à la mutilation cérébrale de grandes zones du cerveau, le dessus du crâne après décapitaiton du dessus de la boite craniènne, tranchement réputé sur singes en Asie, dans des fins de consommation de leur cerveau cru, l'arrière de la tête, puis un lobe entier temporal dès leur repousse ainsi que déjà indiqué,cerveau confectionné en cerveau lait, à l'œuf pâtes en gratins et au cochon, rebords brûlés de pain grillé récupérés durant mon enfance et ma majorité, avec pouvoir absolu de me forcer à terminer tout relief de repas que j'aurai laissé, soigneusement conservé depuis afin de me les faire ingurgiter dans les cas d' attente au tournant, (sous prétexte de me rétablir avec en sus de nombre et multiples injections de produits allergènes cuisants), avec tout insecte que j'aurai tué, ainsi que blattes trouvées chez autrui ou dans mes anciens logements, très cancérigènes une fois écrasées, dans un but de me cancériser, toute autre nourriture proscrite jusqu'à la cancérisation, qu'ils souhaitent cérébrale afin de mieux officier et m'éliminer définitivement, se faisant toute une fête d'organiser et préparer cette trépanation hebdomadaire jusqu'à masturber assez efficacement pour me causer orgasmes et coït, piétinant ma viande rouge lors de sa cuisson, pour la mettre sous l'eau et laver des impuretés de leurs semelles, chargés de me la laisser ingurgiter ensuite, n'ayant plus de moyen autre de survie, quitte parfois à me faire des électrodes pour me sauver des empoisonnements causés et ainsi purger mon organisme, il fallait en accepter l'efficacité, des ingestions forcées ou de ma libre initiative car ignorante des additifs obscènes et vomissures que contenaient ces aliments, soumise aux anesthésiques à longueur de temps, nourritures d'aspect sain qui m'auraient pu être fatales, dont avec arsenic, ou ingérées simplement en état d'affamement mortel.
Dernier courrier à Amnesty International :
Désolée pour vos insuccès fonction des disparités financières au sein de la société, induisant un certain manque de répondant (fonction du manque de confiance des décédés que vous aurez laissés exécuter (sans avoir le temps de vous léguer leurs dernier legs quoique réquisitionnés d'un faux-semblant d'anti-sémitisme pour leur dilapidation de survivre d'une pension d'infirmité dont personne n'avouera, ni moi-meme encore moins sous la torture, la nature véritable ni la cause, bien que sous la torture je l'ai déjà craché, "mais cela ne devait se savoir" (depuis l'aveu d'un membre de ma famille, que je sois probablement en partie de sang juif, s'ilen faut preuve ADN) au gré de lettres à Monsieur de particuliers sous égide de la jurisprudence, vous faites bien de signaler que les lois des nations protègent les tortures nationales, un certain chauvinisme faisant craindre que la France ne soit des nations, qui torturent du moins parce que pays étrangers, sauf peut-être la France depuis l'invasion nazie, là au moins, cela a été réglé, le problème des tortures en france, du moins depuis que le siècle des Lumières qui n'a inventé que la médecine, lui a permis le titre de pays des Libertés) sous les lynchages de violences policières qu evous aurez dénoncées dans vos brochures que je subventionne de mon adhésion) et violences médicales que vous saurez privilégiées jusques dans vos locaux locaux, manque donc je disais en actions adapté aux situations des plus dures vécues en France, dont celles dues à un révisionisme je ne sais s'il faut oser le dire ou fuir en Egypte, pro-communsite si le temre dans ces cas de subversivité hérétique, de prosoviétisme est puni d'électocutions létales, quoique lec ommu des mortel ignore (à juste raison pou rce que je lui dois d'en connaître la définition, il s'agirait peut-être là d'un délit d'opinion refoulé) la portée de ce terme ce qui pourait engager de puissants opposants à vos campagnes dont je n'ai physiquemt pu être du fait de leur activité mentale adverse, si la langue de bois nationale doit rester respectée, à se demander si parfois le dire ou l'crire en allemand ne serait plus compréhensible, ou bien en Hébreu, plus respecté que discours de handicapé du fait de l'emprise d'associations humanitaires anti-racisme, je rectifirais, anti-racistes aucas où l'on m'en aurait détemernée raciste pour les avoir eu contactées, constat, j'ai servi entre-temps de cible figurine paillasse épouvantail de toute cause ennemie à la mienne et même des miennes, cible de leurs balles dequoique je l'avoue aussi après séance de mise en confiance, électriques, avec code barre collé au front des propos racistes, mais je l'a dit, avoué y compris à genoux devant l'infirmier, l'aveu n'y suffisant, piètre bouclier humain de votre organisme aussi, la suffisance raciale des murs de la Honte et de celui des lamentations bien plus criminels que ceux de Berlin, séparant les honnêtes gens qui trvailen des infirmes qu'ils auront tabassés, cognés dans le devoir de les rétablir afin qu'ils "travilent honnêtement", autrepolitque de Médef d'un "Lève toi et marche" que ne certifierai pas néo-nazi pour une fois, mais asociatid hélas également, la touche de sensasionnalisme aïgu, de personnalisme conseillé, se réduisant au fait que néo-cancéreuse pour mes idéaux libertaires, s'il' doit encore actuel de décéder pour ses idées, quand elles ne seront jamais appliquées, sinon en rechutte cancéreuse pour m'être heurtée, je crois, s'il s'agit d'une approche pratique au discours non-hallucinatoire de votre action sur le terrain, récupéré de franc-tireurs de tous bords en période électorale, il en est sur la région, d'un Ligue du Midi et de la pègre locale, que vous ignorez en tant qu'infirmité de qui s'y oppose si un manque de loi règne sinon contre les violences familiales, parentales, liées aux consençus régionaux,Paris, la métrople, m'aurait peut être définitivement de cela, leurs méthodes radicales et définitives, et le termes que vous ayez tenté de faire adopter une loi qui puisse un jour être définitivement appliquée quand l'on sait sciement que celes dela rpéublique démocratique de ce pays, si elle n'es celle du Congo, mais les souffrances ne sont à comparer écrivez-vous,nesont en rie apaliquées, sinon injstemnt détournées de leur but initial et premier si ce n'est trop s'exprimer en primitif, (j'aurai été traitée y compris d'acromégalie pour avoir eu osé emprunter ce terme au dictionnaire accadémique, et osé, attitude morbide mégalomane en ceritutude irréversible mais curable, le mouvement anti-psychiatrique encore de nos jours, je vais peut-être trahir une résistance quelconque d'un libre club de shizophrènes, allez dites le cela soulage, du Collectif 39 et celui plus méconnu, de psychiatres méconnus heureusement pour eux, de l'hopital de Neker, où j'aurais naître, de refuser leur adhésion à une politique sécuritaire pro-bush des hôpitaux et fichages politiques méthodiques des enfants en bas-âge, traqués dès le berceau, et les crèches, pour une suspiscion eugéniste de l'hérédité fichable de la délinquance, à détecter très tôt, si cela se trouve in-utero) de protection des citoyens, dont certainement je ne suis classifiée, du fait que rendue infirme de combats de symphatisant que j'ai toujours, me refusant à toute adhésion cadrante à une politique laminante de ses dissidences, ma profession de foi n'étant qu'une ligne de conduit éthique delutte pour une application de règlemntations déontologiques de la médecine et de celle de la Santé mentale, dans le stric respect des droits de l'Homme qu'elle entend et le respect des chartes des malades, pour avoir eu osé approcher intellectuellement le concept d'anti-psychiatrie de notion libertaire, de nos jours néo-libertaire, jaurai vécu les méthodes d'un Goulag psychiatrique que vous semblez admettre et en que Raison valide d'Etat, en application d'autant plus dure et librement en reptation violente de procédés inquisiteurs, jusquà ouvertement gestapistes, dans l'enfermement thérapeutique prévu de cette idée chez les juifs et libertaires préconçue, et gain de terrain que les politiques se totalitarisent, la France, je vous l'aviis signalé, n'est exempte d'en être, le petit nuage rose des libertés de pensées a décédé avec les années mitterand et son décès, si vous permettez vous également, que les revendications de ce mouvement post-68 qui avait opté pour la reconstruction du pays près -guerre des résidences de droite, d'un révisonisme innocent de ne point reconnaitre ce fait, que "la patrie" sombre dans le débordmet de tâches et ocrvées occultaritrice de cette totalitarisation que plus aucune résistance valide ne peut réfrener,les vigiles de cette ocnscience intenréses premiirs, dans les asiles d'aliénés des années 1900 à 1939, où ils auront été euthanasiés, plan d'extermination nazi toujours en soubassement prévu; chambres létales d'exécutions capitales sinon sommaires de prisonniers politiques, sinon d'opinion (en constitution non oficielle, là ést la difficulté, du non aveu de l république, de ces constitution de prisonniers au nom d'institutions médicales, les dictatures étrangères assez stupides aux yeux de la France, pour faire en étalage), exécutions de violences mortelles morts lentes ou brutales prévues dans cadre d'internements à vie en déambulatoire d'équipes et matériels de tortures militares dite psychiatriques poussées à leur puissance létale, la torture médicale inavouée dans ce pays, dont inexistante officiellement, dans le confinement d'appartements urbains, parfois chambres de tortures sado-masochistes et bouges bordels médicaux de clubs d'initiés, équipes, fonctionnaires médicaux,
tortures létales n'attendant le temps qu'un jour,passe un loi...
comptant sur votre compétence.
En effet, l’affaire est vilaine, violente, malsaine,le non-fictif de l’affaire pour l’exemplarité des cas de récidives envers les libertés de pensée,la censure ne se limitant au CSA, ni à la crise de température anale de la pensée libertaire, hors cadre fantaisiste de la touche epersonnelle des piloris et gibets nationaux ou secrets de la police politique étatique, appelant à grand renforts de bondieuseries bien pensantes sanitaires, à l’épuration cathodique des facteurs insaisisssables électrons libres non cadrables de propagation anti-dictatoriale de la démocratie, et de Camp Gantanamo fantômes à domicile, bref, une résistance en formation, qui réside en l’appel aux citoyens, de réaliser, ne serait-ce que cette conscience, se mobiliser, en toute humilité et conscience, contre un état dit seulement, policier, dictat réel de ficiton politique où l’on ne s’y croit pas autant que sous Hithler lorsqu’il amené sa campagne jusqu’à sa prise de pouvoir, les camps de concentration au fait, dénigrés des révisionnistes jusqu’en 45 autant qu’au début des hostilités (considérées depuis les années 30, fiction, discours délirant hallucinatoire, les médias cinématographiques, littéraires et artistiques chroniques, quand ils relancent le fait, strictement décrétés fictions, du moment que fait raports sur support médiatiques, la gauche humaniste et libertaire ramenée aux subjectivités irrationnelles d’un goulag soviétique francisé lui est oposé à chaque réaction aux provocations incessantes de guvernements défiant les règles et les lois de la démocratie) appelant les flics et le toubib boucher des boschs, au moindre tif rebelle qui oser broncher, dans la France sortie de OK Coral. Le seul génie mondial et mondialisé, Einstein, à franchir les barrages opposés au génie, a été celui, (seul et unique à passer outre le filtre du presse purée), qui a inventé la bombe nucléaire. tout autre, méconnu.


Bravo pour votre courage, votre e-mail, nina, et votre amitié, je suis très heureuse d’avoir reçu votre réaction à mon dernier article du blog que vous avez visité, c’est preuve que la France de l’appel à la résistance de De Gaulle, quoique je ne sois gaulliste, peut-être, existe réellement, autrement que dans des documents administratifs depuis les hauts temps de sa dénomination “République démocratique”, république imaginaire de malades imaginaires, démocratie française, pays des Libertés et du Siècle des Lumières (le 17° siècle, créateur de la Médecine) si un jour seulement, ses lois l’attestant, auront été justement appliquées, pour la faire respecter.

Je serais intéressée de l’URL de votre site si vous entretenez quelque blog, et quel est votre grief qui nous rassemble, bref, que elle est votre histoire, et que c’est-il passé envers vous, vous semblez avoir été volée de documents, lynchée vous aussi, je serais ravie et intéressée, sans qu’il soit question de comparaison des situations et des faits, d’en avoir plus de détails.

jeudi 25 février 2010

Suite à mon dernier courrier, datant de la semaine passée, je signale une récidive des services que je vous avais désignés, du médecin Dr Tribout, médecin généraliste traitant de mon propre père, et qui entrant dans les délires éthyliques et psychotiques de celui-ci, profite des perquisitions constante qu'il m'impose dans mon logement, pour le suivre dans ses "fantaisies", autrement-dit, "parties (à narcoses et viols ) sur femme de joie", en l'occurrence sur moi-moi-même, qu'il constitue ainsi dans mon logement, sur tout lieu de déplacement, commerces, abris bus, cabinets médicaux, laboratoires d'analyses médicales, salles d'examens médicaux, salles d'attente de tous lieux, et tous lieux publics ou privés, mon père profitant du racquet qu'il institue sur ma personne, de lui servir de prostituée à titre privé, contre rançonnage, par mesures d'internement non déclaré et illicite hors normes, hors mesures thérapeutiques ad normem, (à se demander si en placements officiels,elles existent véritablement) accompagnées de restriction financière d'abord qu'il a occasionnée de ses propos fabulatoires, après faux témoignages et faux en écritures soutenus par l'un d e ses avocats, les médecins qu'il a favorisés dans cette fraude, au cours de procédures dans lesquelles il m'a trainée dans la boue, jurisprudence qui a tranché en sa faveur, après entrave à la justice et à la loi qui m'aura té faite,, moi-même déjà hospitalisée pour les raisons des faux qu'il invoque, les médecins cités ayant profité de ses accusations et faux en justice pour tirer profit de ses paiements remboursés intégralement par l'intermédiaire de sa mutuelle la MGEN, procès en vue de me placer sous protection juridique d'un organisme de tutelle gestionnaire de mes biens financiers et des allocations que j'en percevrai contre mon gré, à l'instar d'un seul certificat médical ayant servi de mes 26 ans jusqu'à aujourd'hui afin d'obtenir cette réquisition de mes revenus financiers, ,l'UDAF désigné sur la foi de ce certificat médical au départ honnêtement rédigé sur mes aveux à contumax, entre cures d'électrodes destinées à forcer mon témoignage et me sortir du silence requis chez les coupables que je leur représentais, sans aucune présomption d'innocence respectée, certificat établi au nom du fait que voulant travailler, trouver emploi stable, je pouvais un jour avoir besoin de ces allocations (AAH et Allocation logement) qui entre-temps, seraient reversées à une tutrice aux prestations sociales nommée par la jurisprudence), ce certificat, toujours le mime, ayant corrompu toute négociation causée à contumax par toute procédure qui m'aura été intentée, dans les cas de renouvellement de ces allocations, mes témoignages, malgré les procédés enquis pour me les extorquer, implacables, mais transcrits en langage idiomatique typique de la symptomatique invoquée, obtenus pa la contrainte de tortures électriques très douloureuses, mais j'ai du maintes fois témoigner, raptée, tenue sous psychotropes puissants, ajoutés à des séances de narcose sur place, au sortir de résections lobotomiques destinées à entraver tout témoignage qui les inculperait; Tout récit de leurs abus crimes et fraudes.
Réquisition de mes revenus destinée à limiter mes dépenses quand j'ai été également inculpée de dilapidation de mes revenus mensuels, fait impossible (si les comptes en banque de mes parents n'ont été à ce moment là confondus pour leurs fortes dépenses avec le mien) car je me contentais des sommes qui m'étaient allouées, jusqu'à ce que pour un découvert de environ 500 f dans es année 80, occasionné et reconduit de mois en mois pour le simple du fait que j'ai un besoin urgent de dépannage en serrurerie, serrurerie toujours autant onéreuse, pour une porte malencontreusement bloquée par un animal de compagnie ayant poussé une porte à soufflets de penderie, qui dernière la porte d'entrée, avait poussé l'entrebâilleur de cette porte, que j'ai trouvée ce jour là fermée, bloquée. Pour y revenir, le découvert, au grand jamais comblé pour le fait que d'une part, mon père a refusé systématiquement, dans des troubles irrationnels qui le mettent dans des ires irrépressibles et sans discussion (que l'on me veut toujours par divers procédés, injections de tranxène, tortures mortelles si je n'entre en ire, pour l'en excuser) autres que son besoin de raccrocher à toute tentative de négociation téléphonique, d'autre part, le découvert du fait de la mesure de tutelle aux prestations sociales, impossible car strictement prohibé par cette mesure sur mot d'ordre indicateur auprès de mes banques, qui chargées de gérer un compte bancaire limité en fonds, susceptibles de multiples petites opérations de retraits et de peu d 'entrées de fonds, sachant les risques encourus et la surveillance dont l'UDAF les charges, ont fait appel à des mesures disciplinaires de répressions par appareils de narcose et de contention simulant les narcoses, afin de m'expulser des files d'attentes de leurs locaux, et finalement, me débouter de rester leur cliente.

D'autre part, réquisition budgétaire imposée ceci-dit sans aveu officiel, afin d'établir un contrôle sur mes courriers, fréquentations, relations amoureuses, déplacements, règlements des factures des charges,de tout paiement, prise de contact avec quiconque, ainsi qu'un contrôle effectué afin de m'interdire tout autonomie financière, quitte à me plonger de procédés draconiens de restrictions, interdiction totale et absolue (misère causée de l'UDAF et des mesures de gaspillage de vivres, aliments prétendument volés mais dument payés, souvent cuits dans lobotomies et glaires rejetées issues des narcoses constantes aboutissant à des trépanations réparatrices obtenues par la ruse des narcoses, pratiquées sur mon père, famille, intrus trouvés dans mes logements, méthodes des narcoses constantes diurnes et nocturnes imposées au cours des perquisitions sur les modalités des plombiers, prétextes à l'accusation, infondée, d'hallucinations sensorielles paranoïdes, misère mettant e danger ma vie, celle de patients soumis à ces mesures illicites de l'UDAF et de la médecine,non prévues par la loi et l'imposition juridique des mesures de tutelles, curatelles, mesures illicites, pratiquées souterrainement, au vu et au su de chacun, se gaussant des dindons de la farce, les patients, dont moi-même, rendus longtemps de lavages (intempestifs et fréquents sinon durant des décennies) de cerveau, maintes trépanations en vue d'obtenir la débilité ou la symptomatique rêvée de la démence prévue, toute démence suggérée à causer et pré-fabriquer sinon simuler, dont la Thèse de Lampérière ( thèse charlatane usitée en neurochirurgie contre la névrose de propreté, consistant à séparer le cerveau en deux, obturer, amputer son pourtour pour "réguler" les trouble du comportement que cette vivisection cause, obtenant ainsi un dysfonctionnement gestuel, et de la manutention manuelle, et parfois vue différenciée, après section des nerfs optiques se rejoignant à l'arrière du cerveau,les avocats jouant sur les mots, thèse de vivisection pratiquée on se sait combien de fois sur an personne dans un but d'"économie" de lessives pour le peu de budget qui m'était alloué, donc opération m'ayant conduite à un abandon systématique de mes corvées, car encadrée aussitôt des narcoses continuelles, me privant en sus de cette opération, de la forme physique pouvant me permettre une hygiène nécessaire à une absence de surinfections e conséquence de viols subis m'ayant laissé des MST graves dont un herpes génital, buccal, condylomes à papillomavirus, une infection cousine de la syphilis, un tréponème, et menacée d'internet pour le fait que cette maladie si on ne la soigne réclame de soins antibiotiques intensifs pour les ravages qu' elle peut causer cérébralement, la blennorragie également, que j'ai eue également, sinon traque par gendarmes et police afin de l'éradiquer, mesures à MST et des virus de taudis surinfectés qu'étaient devenus mes logements (exigeant remplacement des literies, linges et vêtements souillés d'urines pathogènes, mes parents ne pouvant y subvenir, ce qui crée scandales et phobies raciales quasi meurtrières autour de mon appartement), qui m'ont valu la première hospitalisation du fait que je ne prenais pas mon traitement, en fait antibiotique, privée dans les années 82, de vivres et revenus,de statut légal, tel que RMI s'il existait à cette époque là, et d'autre part en âge trop jeune pour mériter quelque aide financière, ni handicapée, mais terrassée de fatigue post-opératoire, sur-infectieuse et suite aux narcoses) envers les personnes, hommes et femmes, propres, jugées trop propres (donc dites de névrose de propreté) en fait pour être déterminés dans l'absence d'hygiène requise pour être suivis médicalement, traités à leur domicile autant qu'en internement, et donc trop propres pour mériter les opérations neurologiques, neurochirurgicales préméditées dans un simple but de profit et traite d'êtres humains, éblouissements avec lampes de poches aveugles des agissements des équipes médicales chargées d'interventions illicites à domicile et en ville dans le maintien de cette fraude,, mesures frauduleuses compensée par intubations forcées jusqu'à mon obésité voulue, jusqu'à cet été dernier, intubation forcée aujourd'hui dont je suis victime, compensatrice à la prohibition de toute alimentation légitime, autonome, et fonction de mes affections, physiques graves consécutives à ce pratiques illicites de la médecine,dont l'ingestion forcée de glaires, mucosités nasales et séminales dont de décédés, dans l prohibition de cette autonomie alimentaire, dans la constitution de preuves (faux obtenus sur ce gent de mises en scène, réputées symptomatiques de la démence recherchée) , pour le fait d'un maintien à jeun constant en vue des opérations neurochirurgicales et neurologiques en continu, et afin de me punir d'avoir été tant intubée à l 'obésité) faisant accroire à la symptomatique prévue) de gérer mes documents, dossiers, démarchages, paiement des charges locatives, des factures dépendantes d'un logement, prohibition totale et absolue de tout activité intellectuelle, (vol de textes dossiers relevant d'ébauches de plaintes, contrôle de mes écritures dans un but de reproduction de l'accusation de folie pour leur orientation éthique, philosophique, cognitives, religieuses et politiques, dans fichage médical de ces "orientations", consolées à partir de mes dossiers textes culturels, peintures et croquis que je collectionnais depuis mes études aux Beaux-Arts, de rapports que j'établissais sur les abus commis de cette fraude , surveillés, volés et lus) culturelle, artistique qui pourrait m'élever au rang de femme cultivée, lettrée, donc indépendante intellectuellement, aveu sur évaluation de mes compétences qui pourraient me procurer un emploi dans les "castes"pour ces personnels médicaux, médecins et proches de mon père, emploi digne de l'élite donc qui pourrait, permettre que je fasse carrière, me permettre d'échapper à ce pouvoir médical dictatorial lié à une inculpation malhonnête, infondée, de démence (sur plainte de vieilles personnes d'extrême-droites de basse classe, jalouse de mes "possibilités" de réussite" sociale, et quelques voisinages jaloux par lutte des classes meurtrière, des talents de peintre que je possédais à l'époque, en 1982, m'étant établie à mon compte suite à une "rupture" de vivres sur la demande ces personnes auprès de mon père, afin que je poursuive mes études aux Beaux-Arts, pis ayant tenté de monter un atelier de peinture, en ébauche dans logement que j'occupais, ma famille, mon père, a refusé "d'investir" dans cette entreprise, qui ne nécessitait que quelques vivres et achats de peintures,matériels de base et subsides en vue d'un habillement propre et décent) , sur les propos jaloux de voisinages abusifs, longuement injurieux (me traitant pour ma virginité de "morue" à dépuceler, de débile mentale méritant l'asile d'aliénés si elle restait bête, vierge, de ne point connaitre le viol qui la musellera et l'adoubera aux plaisir de couple, m'ayant trouvée assez pure jeune belle et vierge à un point de caractéristiques de l'élite qui ne saurait se faire voir d'avantage) noceurs, bruyants la nuit, au point de m'empêcher de dormir, et de rater l'appel de l'école des Beaux-Art le matin à 8 heures, menteurs et névrosés, voire alcooliques et drogués, maroufles, dépravés, ivres, jaloux de ma pudeur honnête, peu fréquentables, qui m'auront causé l'existence d'esclave que j'ai vécu jusqu'à présent, pour y revenir carrière possible qui pourrait contraindre pousser à faire reconnaitre les faux témoignages indiquant la démence prétexte à cette fraude, jusqu'à des perquisitions constantes à domicile des équipes médicales appelées, les cures e continu d'électrodes sans anesthésies le plus souvent, et la résection lobotomique des zones arrières du cerveau,contenant mes projets et visions picturales, sources de ma pratique artistique, (que je n'ai jamais pu retrouver, sinon, recyclée lors des repousses de ces zones cérébrales, maintes fois amputées parce que considérées zones subconscientes du raisonnement "délirant" des réquisitoires et plaidoyers véridiques et implacables, si trop entendus sous la torture électrique, maintenue en continu des décennies afin de faire accroire au délire hallucinatoire logorrhéique), en maintes autres facultés )sur l'accusation cette démence illégalement prétextée, contrecarrer la fraude établie, à , perquisitions punitives avec narcoses,en vue d'établir ce pouvoir absolu, le maintien de ma vie entière dans une misère noire sur laquelle mon père comptait afin de s'attacher mes dépenses et donc une dépendance financière ,soumise réellement à lui, ses exigences et manques de raison, ce qui le favorisait à titre de "soutien de famille" et bienfaiteur, pour les "sauvetages" financiers qu'il m'accordait, d'une liberté permissive si accord avec la tutrice désignée, en cas de tentative de paiement d'un avocat en vue de porter plainte à l'encontre de ces abus infligés depuis en ce qui concerne ma majorité, 1979.

La curatrice désignée pour gérer le patrimoine dont j'ai hérité, sarcastique, sinon dominatrice, fabulatrice et impliquée elle-même dans ce trafic., jusqu'à m'interdire, ce n'est qu'un exemple, toute formulation au cours d'une vente d'un F1 dont j'avais hérité, préférant, avant toute comparution au cours de la vente récente devant notaire, à son cabinet notarié, ne cesser de m'infliger séance d'électrodes sur séance d'électrodes, exigeant pour la bonne cause qui suit, l'humiliation du déculottement public pour la défécation publique causée par l'épilepsie dues aux électrodes, face au notaire narquois vaguement gêné de participer sans l'interdire pour autant, à une orgie répressive médicalisée pareille (signe d'indignité et d'injustice symptomatique courante schizophrène)qui devait censurer toute évidence de lucidité, culture conscience, et degré d'intelligence qui pourrait se manifester si j'intervenais, et qui serait contraire à cette accusation non fondée de démence affectant une certaine régression des facultés mentales, qui sera typique de la maladie, facultés intellectuelles voulues chez moi de ces cures d'électrodes et psychotropes sonnants, (défigurants pour l'occasion, soufflant le visage et le corps, pour une meilleure adéquation avec le physique d'arriérée et son faible niveau) , que cette curatrice préventivement à toute entrevue avec elle, (voulant "que cela ne se voit pas et que je ne m'en aperçoive", ce que je constate, n'osant m'indigner face à cette femme très imbue et suffisante, froidement calculatrice sinon exaltée, colérique, et oublieuse de ses devoirs , en passe de devenir dictateur), faisant semblant de rien, me fait injecter, croyant son geste inaperçu, opérations du cerveau neurologiques extrêmement violentes jusqu'aux signes apparents de débilité, mes facultés mentales sinon momentanément réduites au mutisme contraint des forts commotions de ces opérations neurologiques du cerveau et du système nerveux dans son intégralité, certaines avec anesthésiques puissants, les autres sans anesthésies, ou avec myorelaxants, très douloureuses à devenir sur le coup fou, et rester longtemps le corps en loques, disloqué, désarticulé, donc parfois alité, ou "catatonnie schizophrénique en phase d crise dépressive" dont j'ai longtemps également été accusée des témoins irresponsables et inconscients de cet état relatif aux opérations du cerveau multiples, décrits d l'autre formule magique "elle ne va pas bien, l'on ne sait pas ce qu'elle a", ce qui m'a valu des traitements identiques de médecins et leurs équipes de matons jouant les hommes invisibles et les "plombiers-électriciens" (ils s 'occupent généralement du courant EDF, des canalisations naturelles, intubent, parfois violent et fécondent, certains encore à a recherche, se disant mes anciens petits amis)à mes domiciles successifs, sur les appels parfois affolés,de ces témoins aux services de leur choix, commotions déclarées "inconscience" ceci afin que chacun dans son rôle d'assistanat saprophyte de prothesis auprès de cette invocation de démence profitable, puisse en tirer gain,profit, contre-façon de travail digne, aussi longtemps qu'il sera possible de le pratiquer..

Depuis,la machinerie de guerre médicale lancée sur l'accusation frauduleuse de démences multiples au gré des multiples médecins appelés ou qui 'mon t été imposés, si l'un exigeant un suivi de 10 ans, il aura eu la raison sur 10 ans de prétendre la folie qu'il aura choisie de prétendre, sinon, poursuivant le dit "travail" du précédent médecin, parfois communiste, parfois servant son idéologie de droite, se basera sur le diagnostic précédant, ou celui choisi, pour avoir été traitée le plus longtemps par le même psychiatre. avec parfois reprise du même traitement, y compris dans le cas où une démence qui semblerait plus appropriée serait choisie à nouveau, ces fraudes dans le jargon du déterminisme médical, signalées erreurs thérapeutiques, ou "psychose évolutive", autre formule magique masquant la fraude . Puis reprise des "maintiens à domicile", puis "suivis" en vue d'un maintien pérenne des symptomatiques de chaque démence invoquée, symptômes calculés plus ou moins dans leur totalité requise, maintien (y compris avec implants électriques ou électromagnétiques, électrodes intracrâniennes implantées souvent dans zones sensibles et érogènes, du visage et du corps, , manipulables à distance par engin et télécommande, actionné et confié à voisinages douteux choisis à cette fin, souvent drogués alcooliques d'extrême droite fanatisés pour une société sécuritaire, chargés sur leur libre arbitre d'un apartheid racial néo-négationniste de type français à l'égard de toute personne fichée démente, ou ayant eu recours à des soins psychiatriques, (mise en placement illicite non officiel prétendu officiel et prétexte à des exactions médicales graves en vue de causer par mutilations constates, mainmise sous torture physique et sexuelle et mentale, (la jouissance contrainte, sinon le plaisir physique et amoureux condamné de la frigidité les trois quart de mon existence, pr infliction de brome, produit chimique castrateur de la libido, causant la frigidité reprochée en tant que symptôme schizophrène, prétexte ensuite autant que ces temps-ci, à orgies sexuelles répressives défloratoires ( prétexte leit-motiv des traques et interventions : "il fallait de sa sexualité ne l'en priver)puis proxénètes à domicile, le mien devenu leur clandé et maison d'abattage, et sur tout lieu public et privé dans traques, fréquentes, les privations d'eau, de nourriture, de sommeil, les maltraitances quotidiennes, l'indignité dégradante et inhumaine des exactions, des violations des droits de l'Homme à longueur de vie , de nuit, de jour, la maladie ou son apparence, conduites en vue d'un placement légal officiel dans un département qui est celui des intervenants médicaux) apartheid froid donc des complices et intervenants, se fondant sur les exterminations nazies des malades mentaux et résistants en camps d'internement psychiatriques anté la seconde guerre mondiale, et à titre de loisir de tabasser sans fin les dits patients, les torturer parfois sur prétendue confusion entre cas de patients, prétendus évadés ou instables nécessitant contrôle et répressions, qui inévitablement, tombent sur le,la plus tranquille et capable, apte la vie sociale, dénoncé sur simple appel délateur parce qu'on ne l'entend plus (s'il lit, dort la nuit, travaille, vaque à ses occupations ordinaires, corvées ménagères, sieste parfois obligatoire ou suit eaux forts traitements, ou s'est absenté, s 'il est dit sur simple prétention encore aujourd'hui du Dr Brès, en placement d'office quand il n'y a lieu de le prétendre, ) et que l'on ne sait ce qu'elle, il fait, ramené(e) au plancher des vaches où il devrait être et rester de la folie dont il doit être, torturé(e) jusqu'à des nuits blanches, traite sen "difficultés à l'endormissement", "du mal à dormir", de douleurs et brulures insurmontables, rongeantes, dans l'inversion parfaite cherchée des horaires diurnes et nocturnes du sommeil typiques de la symptomatique schizophrène par exemple, des crises paroxysmiques de douleur physiques, de terreur, d'horreur et de colère légitime parfois crée par injections de Tranxène, face au chantage à la mort de parties de tortures livrées au libre arbitre de chacun et de ces mercenaires à la solde des secteurs médicaux incriminés, crises de douleurs algies et névralgies hyperalgiques que causent ces implants , suivies et prétextes à interventions dite d'urgence sur place ou au domicile des personnes ainsi placées de façon illicite, ainsi que cela se pratique encore de nos jours sur ma personne également, interventions où s'infligent des narcoses à appareils à détenteurs et électrodes en tous genres des multiples secteurs psychiatriques appelés à intervenir à tour de rôle en relai constant, narcoses supplémentaires aux implants prescrites tant que l'auteur des violences ne sera déterminé à cesser ces violences, (systématiquement imputées à la victime sous la loi de substitution, loi de fait de psychiatres donnant droit à l'inversion des faits responsabilités et culpabilités au nom parfois légitime d'une personne démente cause par se troubles psychotiques réels, de troubles de l'ordre public, ici, les psychopathes choisis chargés de la détention des armements militaires illégaux employés dans les mesures non officielles de "maintenance psychiatrique" d'individus ciblés pour devoir être "déstabilisés" et rémunérer un futur placement en pavillon fermé, légitimant le placement préventif sécuritaire illégitime en assignation à résidence surveillée, placement arbitraire non fondé et non officiel accompagné de procédures fantaisistes illicites de tribunaux d'exception d'intervenants médicaux , de factions politiques pour certaines d'extrême droite, d 'autres pro-soviétiques, et d'une droite d'exploitation capitaliste, siégeant dans étages souvent supérieurs de résidences privée et HLM, publics, dont ces victimes étaient contrôlées sous torture psychiatrique, paramilitaire", , )calmées non par antalgique,mais par narcoses avec anesthésiques suivis d'actes de neurochirurgie souvent lourde, réparatrice des dégâts causés de ces pratiques, des implants et électrodes surpuissantes dans cas cas dits d'agitation, selon la prescription de la "courbe de gauss", créer le mal sinon le simuler, le porter à son paroxysme (sinon d'apparence créée) voulu pour le mater, l'ébriété invoquée dan ces cas créée des narcoses, coups violents portés au crane par appareils violemment percuteurs, jusqu'aux fractures, micro fractures et enfoncement des os de la boîte crânienne, et du visage, la réduction des zones cérébrales en état de bouillie cuite projetées en giclées de fractures du crâne causées sous les chocs électriques, ou de césures déjà pratiquées des os du crane,, ou loques déchiquetées, net ou à a longue, et produits injectés , sus des traitement officiels et cachets supplémentaires de psychotropes narcotiques et barbituriques occasionnels, décrit dans les dossiers sous la formule "ils auront eu de tout", mais précisément pas ce qu'il leur fallait et la paix sans tortures encore moins, génitales,électriques, mentales et lobotomiques rémunératrices des milieux médicaux, médecines palliatives aux chirurgie réparatrices, et lésions invalidantes parfois ayant nécessité la chirurgie, ,sphères para-médicales , et pharmaceutiques fonctionnant d'autant plus sur contrats avec les établissements publics et privés psychiatrique, qu'ils exigent des prises automatiques et systématises des médicaments achetés sur ces contrats assurant un marché profitable du médicament sensé souvent à tort car dans ses variétés officielles sinon en tests sur sujets, pharmacopées basées sur des composant chimiques plus inventés par chercheurs patentés pour rester pathogènes tortionnaires et répressifs, que véritablement curatifs des maladies créées, prétextées préfabriquée,et simulées, pseudo maladies dites "syndromatiques", médication de psychotropes et narcotiques parfois puissants, dangereux, créateurs de psychoses et psychopathies diverses, tics, tocs, complexes névrotiques, etc, certains de ces traitements chimiques aux composés complexes dits "ciblants" commotionnant jusqu'aux états seconds et somnambulismes, et barbituriques, tous traitements pour la démence de quelque nature quelle qu'elle doit être et ensuite soit, tous causes d'ébriété, de gêne et insuffisance respiratoire, asthme, tels le Meilleril, le Théralène, hydropisie,obésité, colopathies aiguës, constipations chroniques opiniâtres sévères voire obstructions fécales, et leur pharmacie palliative, certains à base de métaux lourds très cancérigènes tels certains antidépresseurs et le Lithium, médications abrutissantes tant soporifiques, causes d'analphabétisme, d'incompréhension, d'inaptitudes autistiques au travail, la lecture et à la perception de la vie sociale, d'inculture, inaptitudes à la vie scolaire, universitaire, et courante, déstabilisant et névrosants voire poussant au crime et au suicide, tels le Prozac, encore en vente, en surconsommation courante et en auto-médication libre le plus souvent sur simple prescription à la demande, sinon rendue obligatoire su demande de simple tiers personne, dans la plupart des couches de la population, les chiffres actuels de cette auto-médication libre incertains, flous, sinon tus) maintien donc dans sa constance de ces apparences de démences et pathologies diverses de médecines spécialisées de la médecine générale, multiplexes et variées, créées des méthodes répressives citée, dans certains cas plus profitable en fonction des possibilités, capacités de paiement ou accord des familles, dans ce cas selon le niveau de règlement des patients, sinon ponctionné par l'organisme de tutelle (prévu le plus souvent à ce strict besoin médical budgétaire des secteurs médicaux et psychiatriques, d'opérer pour opérer, pour le profit qui en est tiré) des patients réquisitionnés pour ces méthodes appliquées alors jusqu'à l'automatisation la démence et les pathologies annexes voulue, leur ancrage jusqu'à l'aliénation et les infirmités plurielle par patient, véritables., sinon ainsi qu'il en est pour mon cas, ensuite de ces fraudes citées et que je subis encore, imposition du diagnostic de démence, dans les fin de masquer un réel trafic de proxénétisme médical,hospitalier, dont j'ai rédigé les agissements et soubassements dans le courrier précédant, trafic soutenu, encouragé, maintenu par officiers de police, membres du corps de pompiers, fonctionnaires d'établissements publics, personnels médicaux, médecins du corps médical hospitalier et médecins du domaine privé précédemment cités et en récidive. Ainsi que le Dr Dialo,et médecins intervenants sur appels, courriers, de tiers, relations et proches, médecins restés anonymes par peur de sanctions.





Je vous prie de trouver ci dessous plainte réclamant afin que soient préservés mes revenus librement gaspillés du fait des régurgitations forcées de tout aliment que j'aurai acheté et consommé, et assurée ma sécurité à laquelle ils portent en continu atteinte, le placement en maison de santé les intervenants et ingérents à ma vie privée selon leur degré de pathologie en fonction des crimes et crimes contre l'humanité, dégradations corporelles qu'ils auront commis sur ma personne, et des pénalités judiciaires sinon leur emprisonnement pour une longue durée des intrus à mon domicile, ingérents et personnels médicaux également criminels des crimes et actes de barbarie infligés sur ma personne, actes criminels dont ils sont auteurs et responsables ; un problème en provenance d'une possibilité de s'introduire dans ce rez-de-chaussée où je loge, en soulevant une partie de baie vitrée, certainement rabotée à son niveau supérieur, afin de pouvoir la soulever; ayant de des dépenses couteuses destinées par pose de bloqueurs d'abord à vis puis à serrures de portes et fenêtres, les premiers bloqueurs tout aussi inefficaces que les seconds, à sécuriser cette baie vitrée, une des fenêtres, coulissante, ainsi que ma porte d'entrée, je vous prierai de faire le nécessaire pour remplacer la porte coulissante ou assurer sa réelle fermeture, afin de me permettre d'habiter ce logement sainement sans difficultés et son nettoiement, strictement prohibé jusqu'à présent;



Plainte qui suit, auprès de du syndic de ma résidence, concernant l’activité mentale à mon encontre,de locataires et leurs hôtes, hommes et femmes jeunes pour certaines, de l'appartement au dessus de mon logement actuel, visiteurs d'une jeune locataire et de jeunes femmes aussi acharnées et malades mentales, éthyliques et droguées, que les personnels médicaux invités à leur logement.. Leur état mental m’a révélé certaines fraudes que les jeunes femmes de ce logement dont je ne discerne l'étage, m’ont occasionnées, provenant de secteurs médicaux que dans leur délire qu'elles disent du à leurs soirées d'ivresses où elles s'avouent saoules, la self défense des proches et de leur famille, prêts à la protéger contre toute demande de les placer, et ne sachant comment se débarrasser de toute personne qu’elles attaqueraient de ces crises de torture et de meurtre dues à des accès de mégalomanie paranoïaque, lâchées sciemment en tant que frelon brulot de mes idées, notions et conceptions, à mon encontre, dans mon appartement, les atteintes pathologiques très convaincantes qu'elles présentent et pourtant pouvant s’avérer très dangereuses, ce à quoi les prises en charge des centres pour adultes handicapés et secteurs psychiatriques l’ont délibérément poussée. Je constate simplement, que les centres appelés afin de l’évaluer, se sont penchés sur mon cas dès qu’elle a commencé, ainsi que chaque début de journée, à m’attaquer de ses armes de poing favorites, entre autres, lasers de courte et moyenne portée encore en test clinique, couteaux-lasers de chirurgiens, et autres instruments de laboratoire en test ou de nouvelle technologie de centres et de services médicaux que parait-il elle chipe et/ou que l’on lui confie, afin soi-disant qu’elle prépare ses études de neurochirurgienne et de médecine sur mon cobayage physique et forcé, se servant de ma personne autant que chair à canon de ses études, et esclave sexuel de ses parties « orgies »au cours desquelles elle a le droit de me tabasser, opérer au cours de ces fêtes alcoolisées diurnes et nocturnes, autant que l’on se servirait d’un objet de plaisir, ou d’une met à partager entre amis, la leçon de dialecte incohérent de délire de maladie mentale, pratique de secte, apprise par cœur, destinée à faire accroire à la démence, sous peine de grave représailles si non acquise. Elles commettant accusations mensongères à faire vérifier sur moi, si tant la réalité correspond aux accusations diffamatoires avancées., vérifications destinées à désorganiser ma pensée, précédées d’ injections de neuroleptiques pratiquées en douce et à mon insu sur le coup, ainsi que d’interrogatoires et surveillance sous matériel de guerre similaire au groupe électrogène. Sachant que les milieux qu’elle a appelés à l’aide sont très corrompus et frauduleux, promettant leurs victimes à des maltraitances, opérations cérébrales amputant des quantités assez effrayantes de cerveau, pour plus de un kilo de cerveau en plusieurs opérations sur quelques semaines ou mois, militent dans les milieux sinon Nazis considérant cette idéologie naturelle, du moins soviétiques, parfois faisant l’apologie des deux politiques à la fois, certains plus convaincus que d’autres, sinon d’établir des répressions très violentes d’armes de combat récupérées a tire d’appareils de contention, qui parfois servent à opérer à travers murs et planchers, étant de cette technologie encore à l’étude sur les fous ou dits fous. En fait, je constate, que ces personnes qui leur sont confiées, surtout sur internement abusif précédent la remise en leur centre, sont parfois légèrement inadaptées, mais parfois saines, et ravagées de violences très dures, pouvant créer des lésions irréversibles de leur système nerveux et cérébral, voire, causer l’arriération légère à profonde par ablation systématique des zones cérébrales de la raison, de la conscience, et de la connaissance, bref, du savoir et du niveau intellectuel d ‘ordinaire requis, celui des doués et surdoués ou du génie. Ou simplement, du réquisitoires des plaintes occasionnées par des tortures des plus ineffables à des plus insupportables des zones sensibles accompagnées de tortures mentales très aliénantes .Le summum de souffrance atteint, la personne était plongée dans un supplice du watter-bording de tortures électriques, mentales et sous armement non conventionnel, supplémentaires, gavages intempestifs et systématiques de repas intubés pour gros mangeurs, constitués de nourritures contraires à la santé et d’eaux gazeuses salées, ou d’eaux plates polluées de traitements en grandes quantités, dont certains radioactifs, tels sels de lithium et électrolytes, destinés à les cogner à leur ôter toute intimité jusqu’à la perte de l’identité et de la chronologie, ainsi que toute notion de raison, afin de conférer l’aspect revendiqué de la trisomie et de l’arriération, (dont le crâne "raboté" d'actes quasi quotidiens de neurochirurgie en brachycéphalie, la laideur et l’obésité requises) lobotomiser les zones cérébrales sensées contenir plaintes et réquisitoires en question, susceptibles de les inculper. Je me suis heurtée à de telles pratiques, depuis quelques années, sur également les accusations de démentes du troisième âge, qui me confiaient depuis des années à ces secteurs identiques, à mon insu d’abord, eux possédantes clefs de mon appartement, dont des trousseaux m’ont été volées et reproduits, enfin, ils pratiquent surveillance, contrôle, depuis les appartements voisins à leur victime, établissent une mise en observation constante ou quotidienne, si ce n’est en embauchant, entrainant des locataires voisins à ce métier de gardiennage, du moins, en inventant des faits qu’aurait commis la victime, afin de la visiter, toujours à son insu, sur des tours de magie de secte, jusqu’à réduire leur victime en l’état de légume ou zombie de leurs fraudes. Le summum des souffrances continuelles, contraintes au rapport et sévices sexuels également (dont certains par implants électriques ou électromagnétiques sexuels)se situant dans l’euthanasie par mort violente ou brutale de ces personnes tant sacrifiées au pouvoir de l’argent, autant que dans prisons privées américaines, la mort lente ou douce rarement permise, sinon le suicide causé de ces tortures insurmontables, sinon par la mort, en parlant de décès prématuré des débiles et anormaux..Autonomie reniée, empêchée, strictement interdite d’accès. Cette affaire me concernant personnellement puisque j’en suis moi-même victimes et en quelque sorte unique témoin encore lucide de ces agissements, Moi-même victime de lobotomies mensuelles, ablation du pourtour du crane,, c’est à supposer, assez évidentes, sensées ne se remarquer sous la chevelure, et destinées à causer la baisse requise de niveau et le cerveau brachycéphale. Je suis initialement dolichocéphale et présente des aplatissements latéraux à l’arrière de mon crâne, qui ne sont trompeurs, à croire que la valeur de deux magrets de canard m’auront été prélevés, sur l’arrière de ma tête et son dessus, un coin en triangle prélevé sur le coté de mon front gauche, plus étriqué ensuite que le droit, tête en poire du coté gauche de ma face. Les deux os en dessous du cervelet, retaillés à la façon du dessous du clitoris, en forme résolument, d'attache des deux petites lèvres, dénommée "mitre" de la vulve. Mes cervelets systématiquement brulés, séparés en deux, objet de violences et de séismos en leur milieux, contrefaisant le tir par balles dans la nuque, tirs en rafales reproduisant le mitraillage de la nuque d'un de leurs prisonnier d'opinion, que je leur représente, tirs à bout portant dangereux mais tant présentés inoffensifs qu'utilisés sur demandes d'irresponsables au cours de multiples parties à titre de viols à "légère" matraquage dont ils ont dual reconnaitre la force, à sénestres, arrachages de pantalon et déculottages de slips, maintien sous sangles de mon corps inanimé harnachement pour eux régulier des prostituées qu'ils font, ligotage commun au proxénétisme, suivi de tirs à bout portant d'armements réputés de instruments soin, d'infirmiers, étudiants en infirmerie, infirmières, en ratonnades de commandos quotidiennes, suite à mes plaintes, certaines affirmant qu'elles commettraient ces pratiques de l 'exécution sommaire à répétition, dans le but de parvenir à tuer, à m'"abattre", pour le plaisir, pour d'autres, d'une partie de trip, depuis la date anniversaire du dernier congrès de l'extrême droite, du 26 novembre, date à laquelle ont débuté les évènements derniers; dont le commencement a débuté environ vers le 5 avril 2009 dans un logement antécédent d'où il a provoqué ma fuite pour harcellements hospitaliers, dès que mon père ivre de jalousie a été averti de délateurs, de mes amours, de mes relations avec un amant, après des enquêtes spéciales et interrogatoires infligés avec implants électroniques, parfois sous penthotal, pratique du pavillon 9 du secteur de santé mentale 2, destinés à ficher toute vie sexuelle, amoureuse, antécédente, du moment, extirpation du nom des relations, rencontres, amis, amoureux, prétendants, politique, degré de cognition, appartenances religieuses, opinion, qu'ils pourraient obtenir; d'autant que tout soin, tout traitement, tout placement dans hôpital de force, ou placement d'office qui sera promis à ces "voisins", m'aura été infligé, à tort, pour une certaine manie de se tromper systématiquement d'étage et de logement.



Ces personnes partisanes de fanatismes extrémistes d'extrême droite impliquées dans le fait d'une libre expression de leur "liberté d'expression", d'un droit à la partie d'amusement à torture de guerre de ce type,faisant appel à des chefs de services et médecins inconnus, d'autres connus pour leur envie de m'éliminer pour leurs fraudes,abus criminels au nom de la science et de la médecine, surtout de leurs revenus, crimes de tous ordres et opinons dont ils règnent pour lesquelles on se "refile" le nom envers une "pauvre fille", déjà durement éprouvée par cette farce politique ayant servi d'amusement à sa famille, complice, auteur et demandeuse de ce sacrifice humain, en faisant scandale public de façon éhontée, des agissements, procédés de bordeaux, viols pratiqués en public, sur ma personne, dans des traques à l'homme sur tout lieu où je circulerai, et me situerai.



J'ai fait le tour des associations contre les violences faites aux femmes, en congé de fin d'année encore, les violences que je subis depuis la Toussaint mettant ma vie quotidienne en danger, sur la région de Hérault, aucune permanence s'avérant possible, les associations contactées, se disant incompétentes, dès que l'on porte atteinte à l'image de la médecine, ici en cause, ou de l'autorité parentale, l'image pure et l'impunité, l'immunité de blouse blanche, forme aujourd'hui de robe de noblesse de robe, si inattaquable que ainsi que nombre de relations amicales que j'aurai eu, je risque de n'en survivre des blessures infligées causes d'ordinaire de décès rapides . L'affaire ayant débuté par une lutte de classes sur laquelle se crispe un secteur médical psychiatrique de la région, pro-soviétique, le secteur de santé mentale 2,(puis le 1 et enfin d'autres) pour m'avoir trouvée trop rupine, pure, fine etc, toutes formes de jalousies récurrentes distillées d'infirmières crapuleuses à mon égard, dont les points d'achoppement de trop bonnes notions culturelles, d'un logos universitaire redouté d'eux, et pour ma qualification de Madame de Maintenon, (mes amants reprochés) Récamier, pute de salon, (je suis artiste, au départ artiste peintre, trépanée pour mon art pictural jugé subversif dans les années 80, puis reconvertie dans l'écriture, auteur de deux livres publiés) et Madame de la Trémouille, insultes gratuites des médecins inquisitionneurs de ce département médical, qui plutôt que me venir en aide, et enfermer de sex-concubins en intrus dans mon domicile, et en état de viols quotidiens, de violences aggravées, m'auront violée eux aussi, tabassée quotidiennement jusqu'à la mort apparente, au cours de parties d'amusement, s'amusant de moi pour le profit dans une "sauterie récréative" qui dure, se disant saouls, ayant bu et fumé, partie de torture de "nantis" ainsi qu'ils se sont déterminés, sur femme pauvre et démunie autant que dans partie de "chauffe" du Moyen Age sur femme serve, partie aussi de meurtre et de snurf, dans mon logement devenu chambre de torture sado-masochiste, depuis mon anniversaire, le 26-11-2009, où ma vie a basculé dans l'horreur. la justice, les forces de l'ordre, les pompiers, leur prêtant aide et appui, intimidations et violences supplémentaires,complices. Mon père incité à soutenir ces pratiques illicites, les encourageant, les ayant causées depuis ma naissance, et même les rémunérant, les violences à domicile empirant, la phase paroxysmique atteinte ces derniers jours, les fêtes et leur degré d'alcoolémie augmentant la dangerosité des rites médicalisés des tortures médicales endurées



N'étant ni sous aucune mesure réelle sinon affabulée de placement, ni ne mesure de suivi à domicile, ni de maintien en appartement thérapeutique, mesure disciplinaire, et pourtant traitée à domicile tout autant que dans séjour disciplinaire dans départements de santé mentale, selon les modalités d'interventions qui se pratiquent de nos jours,calquées sur les tortures pratiquées dans les internements à l'étranger ( asiles de Turquie, Asie, Amérique et "vol au dessus d'un nid de coucou,leur film favori, Roumanie) je vous ai confié des écrits concernant une affaire d'usage illicite de la médecine psychiatrique dans des pratiques du proxénétisme communes à des secteurs hospitaliers, sur simple demande de pères et mères de familles à structure familiale basée sur la mère maquerelle et le père sinon führer, du moins père patriarche de type taliban, iranien, ou pakistanais, se calquant sur ce pouvoir hyperrépressif, parents protecteurs et leurs complices, obsédés par ce pouvoir du CHR d'intervenir dans le domaine privé à des fins de parties de stupre vénal et donc à des fins de constitution par leurs services, de prostituées sur exigences de leur famille, pédophile de ce système de corruption, en aficionados adeptes de cette dépravation hospitalière, contraintes par ce genre de macquage à des médecins véreux, crapuleux assez pour instituer ce droit de fait d'interventions constantes au domicile, dont ici, le mien,issue de milieux pédophiles de l'enseignement, adeptes de ce type de pédophilie psychiatrisée sur enfant martyr, pour infliger de séances d'électrochocs, électrodes en tous genres, jusqu'à la cuisson de système nerveux et cérébral, destinées à en continuum le tabasser, afin de prétendre à l'opération neurochirurgicale réductrice des zones cérébrales cuites réduites en charpies, nerfs concassés rompus sur leur longueur, tués à la longue des décharges, parfois réparatrice, digéré de plus par imbibitions forcées de salives d'autrui destinées à le digérer, dans un but d'obliger et de m'obliger, à ne point leur résister, quitte pour eux à soumettre à des exécutions sommaires si refus de céder aux rites obligatoires de la prostitution dite ensuite libre,et pratiquées depuis les dernières lois de Sarkozy, en appartement, sans préservatifs, prostitution à déviances sexuelles contre-nature dangereuses pour la vie et la santé, parties de torture à thèmes et trips des plus fascistes dites de snurf, médicalisées, avec actes maints de défiguration, vitriolage de produits nocifs du corps et de la beauté de ces femmes, condamnées pour ces agissements au célibat, sous prétextes de placements d'office, le plus souvent, mesure de protection administrative de la personne en milieu dit protégé, à l'usage illicite de la torture psychiatrique des plus fascistes poussée à des degrés de violence et de crémation du système nerveux (ensuite dépecés le sujet encore en vie, systèmes cérébraux dont certains déclarés ainsi que le mien au départ de l'affaire, de très fort potentiel, donc anormal, décrété anomalie), tels qu'ils peuvent devenir meurtriers, placement le plus souvent affabulé et prétexté pour plus de liberté dans ces agissements dont soumission à la consommation forcée de porc, très enlaidissant, de la chevelure, brulure du sexe à titre répressif, affamement, privations de nourritures essentielles à la vie, auto-alimentation notamment en viande et surtout viande rouge, très prohibée, alimentation des victimes tolérée si seulement expressément, exclusivement sous régime sans protéines d'une l'alimentation forcée à base de viennoiseries grasses sucrées et salées, (croques-monsieur, et autres ) de pâtes et de pâtées pour chat par intubation, parfois jusqu'à a sur-nutrition des années maintenue, méthode issue de celles de Mussolini, malbouffe destinée à bruler, cuire,dessécher,autre procédé de crémation, digérer les protéines des chairs par l'abus de graisses et de sucre, carençant, obligation en continu au régime sans résidus destiné d'ordinaire aux examens coloscopies, régime en ce cas employé dans un but de cancériser, seule nourriture par ces bourreaux tolérée, car sans fibres, ni légumes, ni fruits, privation de sommeil, de biens vitaux et nécessaires au confort,qui leur est reproché trop bourgeois pour elles, restrictions en complicité avec des psychopathes s'introduisant contre mon gré dans mon domicile, quotidiennement, réclamant après mains viol sur m personne, déjà trouvée inanimée des parties à l'électrochoc par les précédents revendiquées, d'autres inflictions arbitraires supplémentaires de ces électrochocs, appliqués sur ma personne à tire de viol supplémentaire sous un prétexte de devoir de substitution envers des victimes de violences, de punitions médicalisées pédophiles telles injections d'anesthésiques à cul nu en public, destinés à des séances de torture électrique, employées par les services médicaux en opérations du cerveau, imposition de nourritures contraires à la santé, forme de brutalités supplémentaires, tortures, sévices institués à tire de punitions corporelles, châtiments corporels arbitraires des rituels orgiaques pédophile encore en vigueur, envers femmes, filles émancipées, donc décrétées "pas sages" si non filles faciles, sinon en devoir d'être et rester filles tenues, de ces pratiques de la torture et méthodes policières pouvant aboutir au suicide contraint sinon le meurtre dans d'atroces souffrances mentales et physiques de la victime, ou à la pousser à l'homicide par légitime défense de leur mac, ainsi qu'il en est pour ma personne, en état de bourreaux depuis la petite enfance de leur victime, affaiblie physiquement de surcroit, d'inflictions en continu de narcotiques puissants, cuisant les chairs disloquées en plus de la cuisson de l'organisme due aux décharges violentes de courants électriques donc, des massacres, officiellement et rituellement déclarés inexpliqués et subits, incompréhensibles, les instances juridiques, les forces de la police, protégeant sciemment les faits, contraignant au règlement de compte meurtrier. Tentatives d'homicide auxquelles je ne sais par quelle résistance physique commune à ma famille, j'ai survécu, certaines décédées à cette heure de ces violences, ou rendues à la vie très diminuées. Mon appartement devenu leur "ferme", certains pavillons psychiatriques usant de telles méthodes envers certaines de leurs protégées dites "rétives"au métier, autrement-dit, leur maison d'abattage, d'entrainement, ou dite de correction destinée à contraindre sous le viol continuel, l'usage en continu de la torture électrique et psychiatrique, à se soumettre aux lois du macquage flicquant ,proxénète, lois de droit de fait destinées à établir depuis 1900 sur la France ce type de dictature régnant dans l'immobilisme social et la peur du psychiatre générée par ces secteurs médicaux institués en organes répressifs des pouvoirs établis, assez cyniques, machiavéliques et mafiosi pour "s'amuser à faire du fric, dans ces formes de placements d'office non déclarés, ni au préfectures, ni à la sécurité sociale, argent au black dont ils sont rémunérés, faute de budget plus conséquent, en cause, les suppressions des financements et subventions en provenance de l'état, sic, pour leurs abus et crimes contre l'humanité rituellement traditionnels en tous milieux, déjà connus en prolifération,dans les domaines de la psychiatrie, milieux pro-soviétiques très éthyliques, d'une supériorité raciale insupportable.

Mon organisme si en grossesse privé de nourriture, eau potable et sommeil quotidien, tant intoxiqué d'overdoses de médicaments, anesthésiques, neuroleptiques quotidiens et retard, en cachets et injections, sans placement légal, enflé de ces overdoses, causes d'oedeme généralisé, jusqu'à la difficulté respiratoire fréquemment imputée au tabac, overdoses également jusqu'à la rétention hydrique, poussée au surpoid, la dévitalisation des chairs et tissus, par privation continue sciemment prolongée, inanition destinée à m'affaiblir, m'interdire toute riposte verbale, écrite, digérer es tissus cérébraux et réseaux nerveux en vue de leur résection partielle et en grand part, digestion des tissus de l'organisme augmentée de glaires et excès salivaires de condamnés à ces mêmes pratiques, dégurgitées au cours de malaises et jeunes pour les mêmes opérations neurologiques poussées jusqu'au devoir de neurochirurgie, dit "geste médical", mon corps si ce jeune se prolonge, constitué entièrement, de cytoplasme,d'eau, de quelques tissus interstitiels constituant l'enveloppe de cellules, fragilisées du manque de protéines et de nourriture saine;

Ou du moins appropriée, souffrant d'un cancer du sein acquis de souffrances et douleurs insurmontables, de méthodes similaires, destinées à rendre folle ou fou des blessures occasionnées, plaies multiples et répétées, tabassées jusqu'à la réanimation fréquente, brulures pouvant dans certains cas être mortelles, jusqu'à certain degré de cuisson du cerveau, en particulier ds zones à amputer, très cuites, sinon frits dans le beurre et le "jus" de cerveau voulu. Torture anthropophage de type nazi. les zones réséquées, souvent présentées ensuite sur plateau de légumes régurgités pour l'occasion, fadaises que ces médecins et équipes médicales se sont permises, réputées farces Jung.

Mon père, pris dans une défonce de revanche envers toute défense que j'aurai, récit qui m'est extirpé de tortures aux implants électriques, électromagnétiques, électrodes, envers les violences familiales qu'il aura pu commettre, viols de tout ordre qu'il aura eu commis, sans compter ceux que représentent pour lui , les viols thérapeutiques des électrodes, injections retard et cachets imposés depuis pour lui déflorantes, bâillon chimique destiné à masquer son inceste, sinon arsenic, et causes de coït,auquel il me contraint depuis des années, bien qu'aujourd'hui je ne sois plus sous la coupe de quelque chef de service assez vicieux pour écouter ses discours mensongers, accableries diffamatoires envers tout silence que j'opposerai, il me provoque de coups de téléphone, suivis immédiatement de représailles, invasions en séries de cures d'électrodes, accompagnées de viols des intervenants, représailles pour le fait que des témoins, ma famille, moi-même et médecins capables, l'aient voulu en gériatrie ou psychiatrie, volonté qu'il me rend en m'envoyant maisons de retraite à mon domicile, me séquestrer, tuer de décharges électriques, lui dans ces ces en état de meurtre, me faisant passer pour fille indigne enfant bourreau auprès de qui veut l'entendre,(déjà traité pour sa maniaco-dépressivité éthylique et hystérique en déni, par la famille, ainsi que par neuroleptiques Solian et Stablon, ce qu'il me rend, car lobotomisé plusieurs fois,il ne le supporte, se venge sur moi en réclamant des ablations très importantes de mon cerveau, allant jusqu'à "me faire bouffer ses lobotomies, et celles qu'il aura demandées pour moi, sur mes agresseurs) raffolant de ce jeu de substitution, depuis ma prime jeunesse, chacun le renseignant sur les rituels traditionnels de chacun de m'en infliger autant, sévices et viols préparatoires au bloc opératoire, qu'il me punit, inévitablement, d'actes de neurologie, neurochirurgie plus graves encore, ayant recours à l'alimentation forcée, m'interdisant toute alimentation autonome, en sus de ses moqueries pornos, insupportables,de celles des fauteurs de trouble, fomentant depuis ma naissance, dans un but libidineux de m'éliminer définitivement de sa vie, me traitant de poids inutile, et maquereau allié assez sûr pour mes ennemis, souteneurs instituant le bordel à mon domicile, se servant de lui et d'un de mes anciens concubins, de jeunes marlous se déclarant mes amants, joints par cette locataire du premier étage, qui m'entreprennent dès le lever, pour des séismos, électrodes en tous genres, électrode parties, à viols en séries rituels suivies, une fois la moitié du cerveau brulé, de trépanations, suivies elles de tentatives d'homicide, parce que de telles amputations ne sauraient se supporter, sans m'achever; ce rituel cyclique dure depuis environ la Toussaint, et empire avec l'alcoolémie des fêtes, cet ex compagnon des années 90, Luc Lopez, ou son homologue, dément violent de Robert Brès, auquel l'on me remet systématiquement, et qui se fait une joie intime de dépravé, halluciné de l'extrême droite, de tenter l'euthanasie sur moi, sinon ses représailles envers tout réquisitoire que j'aurai envers ses pratiques dévoyées de la médecine, il envahit mon logement, m'impose ses lubies, obsessions sexuelles, a entrepris de me forcer à une vie de couple avec l'un de ses déments, et bien d 'autres, basée sur la revanche, me faire vivre le pavillon de force à domicile, où il aurait les droits de parent bourreau, dans les rites conventionnels de la violence conjugale,voyou de surcroit, se faisant passer auprès de ses psys, qu'il séduit d'affabulation rituelles envers ses abus sexuels et virulences, affabulation me causant maints torts de le part des départements où des médecins appelé afin de l'évacuer de mon domicile, ayant constaté on état de démence, auront tenté de le faire soigner, pour un amant que je recevrai de mon plein gré, sur ma libre initiative, alors qu'il force ma porte fenêtre systématiquement en continu, son truc, me faire avaler les glaires vomies de ma mère surinfectées, les miennes, celles d'autrui, crachats et "bouts" de personnes décédées, ou vieilles lobotomies, dans son esprit me punissant pour certains des manuscrits inédits qu'il a fouillés (ainsi que mon père qui en a fait aveux et qui m'impose ce psychopathe), dans les dossiers de mes bibliothèques, et dont 'il me reproche la portée littéraire, certains fichiers de mon ordinateur supprimés, tronqués, cet individu connu pour être ce Luc, se faisant passer aussi pour mon hôte, quand je vis seule, que je recevrais avec mon consentement, quand il force ma porte continuellement. pour s'installer dans ce logement, (profitant de la démence de mon père et des visites incessantes des équipes médicales que je luis dois, qui plutôt que de les évacuer, prétendent à de soins, illicites), et s'y livrer en compagnie de ces médecins, infirmiers, infirmières, restés pour ces orgies anonymes envers moi, se cachant de toute dénomination qui pourrait les faire inculper, trouvant le moyen de m'éblouir d'une lampe de poche afin de m'anesthésier et profitant du coma épileptique des décharges électriques pour commettre leur crimes,) mais connus des voisins et voisines des étages supérieurs qui les appellent, à de véritables parties de stupre; orgies insultantes, à tortures et vices dangereux pour la vie, où l'on me viole de tout geste médical, violences et viols recensés depuis ma majorité, que je n'aurais supportés de ma vie ou de celle d'autrui, Luc me frappant avec chaussure au visage, m'ayant démoli une épaule, et plus insultant dans les termes du vice que jamais, équipes passant leur temps à me griller la cervelle, en guise d'amusement qui leur rapporterait, cet de représailles à mes dépôts de plaintes, chacun s'amusant de ces parties fines à violences caractérisées de ces appareils à électrochocs et à électroaimants,qui auraient pu me couter la vie ces derniers mois, parce que maintenus des heures durant, pour les aimants, les séances d'électrode plusieurs par heures, nuit et jour, non règlementaires, hors norme, à me crever maints mois, encore aujourd'hui enceinte une fois de plus, le sac amniotique de mes grossesses forcées après ces viols, et me contraindre à avaler le liquide amniotique recueilli à cet effet, autres actes de barbarie trouvée pauvre fille, encore belle", vieillie prématurément en cinq minutes de sévices et décharges électrique, afin de m'y faire mériter les soins qu'il mérite pour le physique vieilli qui sera victime des préjugés dus à l'âge. mon père pris de crises de viols si me trouvant violé déjà par ce dément, m'impose ses accouplements et tortures rituelles déjà citées, me punissant pour ma situation, que je n'ai voulu ni désirée, mais imposée sur les rites obsédés envers les femmes battues inversant les faits et les responsabilités, n'hésitant à tuer la fille violée plutôt que le violeur,dans ces cas précis, mon père s'étant institué mon protecteur du fait qu'il s'est institué le droit à vie de s'amuser de moi et d'en faire ce qu'il voudra encore, sur des affabulations incitant de médecins de services médicaux à enfreindre la loi, afin de lui "rendre service , plus violemment encore suite à mes dernières plaintes contre leurs fraudes.

J'ai tenté de faire placer mon père, retraité et regrettant sa jeunesse, parfois en état second du à un éthylisme non modéré de longue date et un état de psychose à dédoublements brutaux de personnalité le plongeant dans des états morbides et inconscients qui peuvent le rendre dangereux, dans ses envies d'homicide quand il ne supporte la réalité des crimes, orgies et parties de dépravations à thèmes , inceste, meurtre, euthanasie, masturbation ect , viols et sévices qu'il m'a faits endurer encore aujourd'hui, quand il croit les avoir eu rêvés dans ses masturbations, et actes de mutilations sous prétexte d'éducation sévère, qu'il n'a eue pour le reste, , dans un maison de santé, mais aura eu le moyen, le porte monnaie dans ces servant de raison, de l'envoyer à mon domicile me rendre la pareille, lui ayant juré que je le placerai en maison de retraie ni médicalisée..

Pratique appuyée en général sur demande de tiers, (locataires de ma résidence, dont je suis femme battue, femmes jeunes dont femmes âgées du quatrième étage a dessus de mon appartement, inactives en général déclarées par leurs médecins psychopathes ,laissées en liberté sans surveillance sinon sur leur appel auprès de leurs secteurs, employées à être de mes souteneurs dans ces parties de snurf, de torture psychiatrisée, dont plusieurs déments envoyées me prostituer de leurs viols et obsessions à mon domicile) de parents, ascendants ou familles entières, par profit, car durement rémunérés, prenant pou soin le fait de griller méthodiquement zones de mon cerveau pour le simple fait que "cela ne se fait pas de faire ce que vous avez fait"", reproché à tout violeur, agresseur que l'on m'aura surpris, par ces cures d' électrodes en tous genres des plus violents qui me seront automatiquement, systématiquement infligées pour totu alibi mensonger des intrus à mon logement, qui s'en prétendra hôte, s'étant donné le mot ;

Je réclame également que soient expulsés définitivement de mon domicile et du leur pour ceux qui logent dans cette résidence, tout intervenant y compris de ma famille, les proches, dits "mais" et ma famille elle-même, mon propre père, les impétrants en ingérence violente, conflictuelle du fait d'une maintenance armée de ma vie intime et privée, en continue et rendue très douloureuse des armes et armements employés à cette cause, s'ils sont poussés à des degrés mortels de leur puissance, provoquant nuit et jour des blessures constantes qui pourraient s'avérer de ce fait très prochainement mortelles si maintenues à tel degré de violence et de constance, la violence physique ne tue, inconscience irresponsable et opiniâtre que ces impétrants se font.