mardi 23 mars 2010

Ravie de vous connaître. j’ai fait (inévitablement) plus la guerre que l’amour, que reste-t-il, pas même le droit d’être Batifole bis puisque bisque rage cela aussi prohibé, sinon par papa, par mémé, l’Amant substitut du père et les Autres. Merci pour l’unique commentaire que vous aurez laissé sur mon blog Eclipse 2 de Batifole sauvage, cela fait plaisir de ne se sentir abandonnée, dans la tambouille où les idées se rejoignent. ce que ma vie de Tambouille m’aura occulté e interdit de transcrire, vous l’aurez fait, ce que j’aurai pu penser et commettre de ce fait, nié effacé, éradiqué, de via personna de belles à crever foutues pour les ires célestes de quelque grand, qui aura saisi l’ampleur du problème, à place, sans en vivre l’in situ réel obturateur du travail réduit au nihilisme de son devoir d’inutilité, de la Femme Parfaite, que je ne serai jamais,sauf votre respect,sans devoir partager vos idées et celles du conventionnalisme médiatique, je dirais, médiatisé ; le devoir de cigüe de la Femme aristotélicienne telle qu’elle se dévoilait jadis, capable de rédiger du Mallarmé ans l’avoir eu lu, que j’aurais pu rester, niée, envolée, submergée de la vague tellurique des mœurs fétides de morues du gratin,emportant la pensée humaine libertaire des Femmes, dans leur devoir de séduction quotidienne corrompue, focales fatales diriez-vous, oui, du mauvais roman digne des mœurs bourgeoises dans lequel mon discours éthique, universitaire et philosophique aura été noyé, parti d’un constat de vérité qui ne devait paraitre, sinon commercialisable dans les critères féminins qu’accordés à l’ »écrivainne » d’écriture éthique commerciale de nullité insipide que je devrais respecter en moi-même ans toute vacuité permise, la satire réservée à l’esprit mâle,l’étude philosophique confiée aux penseurs mâles patentés de ce monde,aspirant toute certitude inhérente à la pensée de l’homme, de l’observation (l’on ne sait comment) de la vie intime de ce bas-monde, dont je vois vous n’êtes, perché si haut du haut d’ascèses de penseur voyeur des modes de vie courante d’une plèbe dont je ne voudrais moi-m^me pour y vivre ni y éduquer ma famille, autant que vous-même, quoique, des philosophes femmes, il ‘en existe de ce jour, femelles peut-être, sous étiquette pudique de sociologues, ethnologues, diplômées hautes écoles, cadrées du discours vacuitaire officiel ramenant la lutte pour le respect des droits de l’Homme, à une tambouille ordinaire, bouillie alimentaire d’écrivassiers, plumitifs professionnels affamés de ce nouveau genre, de lavages méthodiques officiels de cerveau, réduits en purées pour bébés dont la femme ne devrait sortir, enfermée dans ce rôle de torche-couches sinon de celles de nègres des écrivains les plus célèbres. dont elle devrait perdre sa virginité mentale; Détournements de vies.en comptant sur vos œuvres pour me redresser le niveau après la chute d’Icare aux enfers; sucrage de vies et de biens intellectuels, concurrence illicite, à devoir en rester mauviette, pour non professionnalisme, commun je le crois à la population féminine, que l’on retrouve par ailleurs, sur des commentaires télévisés identiques, envers une Mazzarine à l’occasion de son dernier livre; elle n’a du pouvoir faire face aux procédés des manucures du dernier toubib appelé à son aide,les Femmes depuis leur dernier né en clinique, chargée de se soigner et condamné à la médecine clinique pour leur nerfs, ceux du zob n’y suffisant, il fallait leur en soigner d’autres, la douleur folle de l’accouchement, qui les aura rendues folles, juste un manque d’anesthésiques, elles auront dû laisser dans l’affaire, un bon bout de cervelle autant qu’Angoon et bien d’autres Femmes libérées du grand monde, sur quelque table d’opération d chirurgien esthétique méconnue. La pression… Je ne sortirai pas mon grand style des grands soirs, voix de chat des émissions missions du soir, puisque réellement prohibé, chic, enfin, un commentaire sur mon blog;
Signé : Tambouille du soir.
A Amnesty International (dont je suis adhérente) :Désolée pour vos insuccès fonction des disparités financières au sein de la société, induisant un certain manque de répondant (fonction du manque de confiance des décédés que vous aurez laissés exécuter (sans avoir le temps de vous léguer leurs dernier legs quoique réquisitionnés d’un faux-semblant d’anti-sémitisme pour leur dilapidation de survivre d’une pension d’infirmité dont personne n’avouera, ni moi-même encore moins sous la torture, la nature véritable ni la cause, bie nque sous la torture je l’ai déjà craché, “mais cela ne devait se savoir” (depuis l’aveu d’un membre de ma famille, que je sois probablement en partie de sang juif, s’il en faut preuve ADN) au gré de lettres à Monsieur de particuliers sous égide de la jurisprudence, vous faites bien de signaler que les lois des nations protègent les tortures nationales, un certain chauvinisme faisant craindre que la France ne soit des nations, qui torturent du moins parce que pays étrangers, sauf peut-être la France depuis l’invasion nazie, là au moins, cela a été réglé, le problème des tortures en France, du moins depuis que le siècle des Lumières qui n’a inventé que la médecine, lui a permis le titre de pays des Libertés) sous les lynchages de violences policières que vous aurez dénoncées dans vos brochures que je subventionne de mon adhésion) et violences médicales que vous saurez privilégiées jusques dans vos locaux locaux, manque donc je disais en actions adapté aux situations des plus dures vécues en France, dont celles dues à un révisionnisme je ne sais s’il faut oser le dire ou fuir en Egypte, pro-communiste si le terme dans ces cas de subversivité hérétique, de prosoviétisme est puni d’électrocutions létales, quoique le commun des mortel ignore (à juste raison pour ce que je lui dois d’en connaître la définition, il s’agirait peut-être là d’un délit d’opinion refoulé) la portée de ce terme ce qui pourrait engager de puissants opposants à vos campagnes dont je n’ai physiquement pu être du fait de leur activité mentale adverse, si la langue de bois nationale doit rester respectée, à se demander si parfois le dire ou l’écrire en allemand ne serait plus compréhensible, ou bien en Hébreu, plus respecté que discours de handicapé du fait de l’emprise d’associations humanitaires anti-racisme, je rectifierais, anti-racistes au cas où l’on m’en aurait déterminée raciste pour les avoir eu contactées, constat, j’ai servi entre-temps de cible figurine paillasse épouvantail de toute cause ennemie à la mienne et même des miennes, cible de leurs balles de quoique je l’avoue aussi après séance de mise en confiance, électriques, avec code barre collé au front des propos racistes, mais je l’a dit, avoué y compris à genoux devant l’infirmier, l’aveu n’y suffisant, piètre bouclier humain de votre organisme aussi, la suffisance raciale des murs de la Honte et de celui des lamentations bien plus criminels que ceux de Berlin, séparant les honnêtes gens qui travailent des infirmes qu’ils auront tabassés, cognés dans le devoir de les rétablir afin qu’ils “travaillent honnêtement”, autrepolitque de Médef d’un “Lève toi et marche” que ne certifierai pas néo-nazi pour une fois, mais asociation hélas également, la touche de sensasionnalisme aïgu et personnalisme conseillé, se réduisant au fait que néo-cancéreuse pour les idéaux libertaires, s’il doit encore actuel de décéder pour ses idées, quand elles ne seront jamais appliquées, sinon en rechutte cancéreuse pour m’être heurtée, je crois, s’il s’agit d’une approche pratique au discours non-hallucinatoire de votre action sur le terrain, récupéré de franc-tireurs de tous bords en période électorale, il en est sur la région, de brigades rouges de Médecins Assassins, d’une Ligue du Midi et de la pègre locale, que vous ignorez en tant qu’infirmité de qui s’y oppose si un manque de loi règne sinon contre les violences familiales, parentales, liées aux consençus régionaux, Paris, la métrople, m’aurait peut être définitivement de cela, leurs méthodes radicales et définitives, et le temps que vous ayez tenté de faire adopter une loi qui puisse un jour être définitivement appliquée quand l’on sait sciemment que celles de la république démocratique de ce pays, si elle n’est celle du Congo, mais les souffrances ne sont à comparer écrivez-vous, ne sont en rien appliquées, sinon injustemnt détournées de leur but initial et premier si ce n’est trop s’exprimer en primitif, (j’aurai été traitée y compris d’acromégalie pour avoir eu osé emprunter ce terme au dictionnaire accadémique, et osé, attitude morbide mégalomane en certitude irréversible mais curable, le mouvement anti-psychiatrique encore de nos jours, je vais peut-être trahir une résistance quelconque d’un libre club de shizophrènes, allez dites le cela soulage, du Collectif 39 et celui plus méconnu, de psychiatres méconnus heureusement pour eux, de l’hôpital de Neker, où j’aurais naître, de refuser leur adhésion à une politique sécuritaire pro-bush des hôpitaux et fichages politiques méthodiques des enfants en bas-âge, traqués dès le berceau, et les crèches, pour une suspission eugéniste de l’hérédité fichable de la délinquance, à détecter très tôt, si cela se trouve in-utero) de protection des citoyens, dont certainement je ne suis classifiée, du fait que rendue infirme de combats de symphatisant que j’ai toujours, me refusant à toute adhésion cadrante à une politique laminante de partis  politiques envers ses dissidences, ma profession de foi n’étant qu’une ligne de conduite éthique de lutte pour une application de règlementations déontologiques de la médecine et de celle de la Santé mentale, dans le strict respect des droits de l’Homme qu’elle entend et le respect des chartes des malades, pour avoir eu osé approcher intellectuellement le concept d’anti-psychiatrie de notion libertaire, de nos jours néo-libertaire, j'aurai vécu les méthodes d’un Goulag psychiatrique que vous semblez admettre et en que Raison valide d’Etat, en application d’autant plus dure et librement en reptation violente de procédés inquisiteurs, jusqu'à ouvertement gestapistes, dans l’enfermement thérapeutique prévu de cette idée chez les juifs et libertaires préconçue, et gain de terrain que les politiques se totalitarisent, la France, je vous l’avais signalé, n’est exempte d’en être, le petit nuage rose des libertés de pensées a décédé avec les années mitterand et son décès, si vous permettez vous également, que les revendications de ce mouvement post-68 qui avait opté pour la reconstruction du pays après-guerre des résistances d'une gauche humaniste libertaire sur les barricades d'un soubassement persistant résiduel réel de poches nazies dénommées "extrême-droite" d'une minimisation sordide de classe lumpen prolétarienne récupérée des deux populismes, pro-soviétique et fascisme arien, celui policier de droite, d’un révisionnisme tout autant innocent de ne point reconnaitre ce fait, que “la patrie” sombre dans le débordement de tâches et corvées occultatrices de cette totalitarisation que plus aucune résistance valide ne peut reffrener,les vigiles de cette conscience intéressés premiers, dans les asiles d’aliénés des années 1900 à 1939, où ils auront été euthanasiés, plan d’extermination nazi toujours en soubassement prévu; chambres létales d’exécutions capitales sinon sommaires de prisonniers politiques, sinon d’opinion (en constitution non officielle, là est la difficulté, du non aveu de la république, de ces constitutions de prisonniers traités en prostituées sous viols correctifs en séries, lynchées dans lapidations médicalisées de Zorba Le Grec, version Platoon dans la torture morale d'un proxénétisme hospitalier au nom de la protection de l'orgie publique instituée parties de cuisse, de l'inceste, de la violence à à domicile, familale et conjugale,  le devoir de fidélité, à conjoint, à parents incestueux, violeurs bourraux instaurés à titres d'amis sur prétendu consentement inopposable  de la victime, d'un détournement des lois de substitution et de l'établissement du diagnostic de démence, victime, femme battue, violée, enfant martyr, substituée aux violences endurées au nom d’institutions médicales, les dictatures étrangères assez stupides aux yeux de la France, pour faire en étalage), exécutions de violences mortelles, morts lentes ou brutales prévues dans cadre d’internements à vie en déambulatoire d’équipes et matériels de tortures militaires dites psychiatriques poussées à leur puissance létale, la torture médicale inavouée dans ce pays, dont inexistante officiellement, dans le confinement d’appartements urbains, tels le mien depuis ces derniers temps, maison close-maison d'abattage et chambre de sado-masochiste hospitalier de type ferme de torture Afrikaners, parfois chambres de tortures sado-masochistes de partis politiques coalliés en relais permanents,  bouges bordels médicaux de clubs d’initiés, équipes, fonctionnaires médicaux. Bordels politiques, sinon étatiques, les politiques de partis notoires et établis, selon les lois laïques de tolérance entre opinions et libertés d’expression, faisant partie intégrante de l’Etat.
Tortures létales n’attendant le temps qu’un jour, passe une loi…
Comptant sur votre compétence
Errata, texte du dernier e-mail recorrigé : Je vous remercie de compter sur ma participation à votre combat pour le respect des droits de l’homme et des conventions internationales les régissant, d’autant plus qu’envers ma personne elles ne soient respectées en rien, que la France si vous l’avez jugée autant que moi-même, après maintes invocations sur ces enfreintes, dont je vous avais fait part, d’une part au code civil, renié par un nombre relativement élevé, d’activistes de tous bords, enragés d’un militantisme extrême droite lepéniste imprégnant jusqu’aux classes de gauche, ainsi que je l’avais présupposé et puis vérifié dans les médias, code civil dénigré, sciemment bafoué, violations de ce code fer de lance de la campagne pré-électorale actuelle, le code civil français si justement appliqué, dans les règles d’application des lois qu’il recense, lois sensées préserver, protéger les droits fondamentaux et droits de l’Homme  légitimes de chaque citoyen, légitimité bafouée, dans une déviance dépravée encourageant au crime au vice, à la corruption, aux crimes contre l’humanité, et exactions, des jugements en jurisprudence sensés les faire respecter. reprenant les lois indécentes d’irrationalité injuste et d’irresponsabilité (basée sur l’inversion des responsabilités commune à l’extrême droite, dans les violences envers femmes battues, et commune à la religion, les victimes punies en lieu et place de leurs agresseurs, tenus pour justes d’avoir commis infractions aux lois du code civil, jugés actes de punissement légitimes anté-procédures, justice reléguée au gré du libre arbitre de chacun se faisant de soi-même justicier, infraction supplémentaire au Code Civil, pénalités laissées au gré de chacun, de loi divine et droit divin de tout citoyen croyant selon le mode pro-américain de jugement ( juré sur les lois de la Bible Code de Fer fonction de ces lois religieuses) pro-bushiste, controverse du code civil actuel, stipulant et protégeant la présomption d’innocence (des coupables), ici encore, nullement respectée, des accusés, subinnocentés aujourd’hui encore d’une discrimination positive entrainant une violation du Code Civil français et de ses lois initialement prévues,  une présomption d’innocence essentiellement bafouée envers les victimes plaignantes traitées d’exactions graves, crimes contre l’humanité constants au nom d’une culpabilité qui leur est présupposée en procédures pénales arbitraires, et d’ une innocence  légitime, systématique, de leurs accusés, jugés sur les modes de raisonnements arbitraires et usant de l’inversion des raisons et culpabilités communes aux lois de dicature fasciste populaires,liées à, découlants des incultures, ignorances de groupes dominants de leurs crimes et exactions, droits de fait que ces dictats entretiennent pour régner, lois religieuses de dictat protégées des livres religieux, reprises par les nazis lors de l’Incendie du Troisième Reich,  donc, j’en conclurai, qu’avant tout combat de défense ds droits de l’Homme, il faudra mener en premier lieu une lutte de protection des justes applications des droits du Code Civil français, qui devrait rester exemplaire dans ses applications en jurisprudence, autant qu’il  reste  exemplaire dans ses textes initiaux et remodelés dans le sens du respect des droits fondamentaux, exemplarité qui devrait, se dupliquer et être reprise, dans un remodèlement des codes civils asseyant les pouvoirs totalitaires des dictatures étrangères; le seul avantage de la France, est de posséder les textes assurant une démocratie, inappliquée jusqu’à présent, démocratie de façade, qui n’a eu été réelle que dans ses texte de lois, jamais depuis leur création, ni appliqués je le répète, dans le respect de leurs sens, ni par la population respectées, sinon das une reprise des lois du Jugement Dernier des Procès de Kafka, et des applications de jugement arbitraires du Procès de Nuremberg, qui parti d’une bonne résolution de justice, aboutit à une vengeance étatique et populaire indigne, dégradante, de l’image de la justice même, des camps de déportations ayant été créées, usant des lois de Talion du nazisme, pour y torturer, exterminer les prisonniers allemands après défilé humiliant, où après avoir été nourris d’une soupe grasse laxative aux choux, ils auront du défiler dans l’avenue principale de leur lieu d’arrestation, face à une liesse populaire, en se vidant de leurs fescès, suivis d’un véhicule de voirie, balayeuse municipale, chargée d’effacer leurs traces. De tels drames se produisent envers femmes battues, humiliées, violées, tabassées publiquement, d’équipes médicales sur ordre de médecines corrompues, en reprise des lois totalitaires, de leur tortures et répressions, dans tout traitement, devenu sinon resté exclusivement à titre pénal de la violence subie, des  femmes battues, enfant martyrs, souffre-douleurs boucs-émissaires et victimes de viols avec violences, de violences à domicile, reproduites au centuple et traitées en psychoses délirantes hallucinatoires,contre toute évidence des faits des violences, actes de barbarie endurés, parfois des vies entières, pénalisées de toute médecine par cette reprise de la torture pénale psychiatrique envers victimes. Politique régnante du punissement pénal et psychiatrique,parfois les doubles peines s’accumulant, sur boucs émissaires victimes d’un antisémitisme envers un  nouveau rôle de peuple juif à devoir assumer, sous la dénomination à visage humain, de sinon de leur démence, celle d’être traité en “il est mal”, des coups portés avec armes établies instruments de soins, causes de blessures mutilatoires par amusement paramilitaire et jeu sexuel de soudards,  doublement subis, pour n’avoir pas eu supporté, ou avoir eu trahi,  les violences à domicile endurées.
Les victimes crucifiées sur la croix de Marie-Madeleine, prostituée de Jésus Christ (jésus-l’auteur des enfreintes aux lois, droits de l’Homme, assi dans la position inversée arienne et reprise par mai  68 , en position sexuelle  dite 69, auto- délabrement des moeurs, se fondant sur l’envahissement des mauvaises moeurs de maisons closes, de réseaux la prostitution instaurée par le proxénétisme affectant jusqu’aux règlements déontologiques de la médecine psychiatrique, des conditions de détention pénale, et des déments, plus victimes des injustices et dépravations sociales que déments, sinon victimes supplémentaires de filières de créateurs de besoins capitaliste des métiers de la médecine de ses sphères parmaceutico-paramédicales agissant sur contrats marchands, exigeant des consommations systématiques forcées de pseudo-traitements médicamenteux tels  le Prozac, heureusement remis en question et à peu-près la totalité ds traitements chimiques de la prétendue démence, prébabriquée à la chaîne à but commercial de ces sphères politico-jurido-financières policières, dans des buts financiers assurés par ces contrats dont ceux de Sanofi signés avec les secteurs psychiatriques et de médecine généraliste, corrompant de propagandes commerciales répressives et armées, jusqu’aux milieux intellectuels, fanatiques des orgies répressives psychiatrisées pédophyles et médicalisées  proposées (sur propre membre de leur famille, de leurs relations, utilisé en objet analogon de sacrifice humain, prostituée en prisonnier d’opinion des tortures et violations des droits resensées par vos campagnes), les basses classes affiliées depuis des décennies à ces méthodes basées sur le proxénétisme hospitalier l’accompagnant, appât très affriolant des foules, médications et faux soins, en fait arsenaux de méthodes totalitaires tortionnaires mais  dites de pointe, en fait, issues d’entreprises commerciales à but financier dirigées de maitres du charlatannisme scientifique et médical,  position inversée phallocrate de l’homme amoureux (le plus souvent le violeur maintenu dans un état multirécidiviste, parfois à longueur de vie, et bourreau), ou de la mère, soeur,  familles entières, quelconque agresseur, vécu en martyre des injustices perverses et crimes pervers d’un(e) dément(e), soignée par la torture de coups causés d’armes dites de contention, cognant, électrocutant grièvement, sur des temps prolongés, parfois maintenus jusqu’au suicide des victimes dans les conditions sans simulacre de torture mortelle de choix, des résistants pris par la gestapo, parfois pour le simple plaisir d’un Père, simulant le bras fatal sur son fils Abraham,  le transformant ensuite en sa chèvre de légionnaire.
Victime personnellement de ces trafics, et n’ayant besoin, étant donnés les fichages du Plan Edvige accédant aux fichages médicaux établis sur toute victime (jugée trop subversive et dénonciatrice ) de ces infractions désolidarisantes dans un but de diviser pour mieux régner, je ne peux sans compromettre ma sécurité, donner les renseignements personnels que réclament vos pétitions lors de leur signature, les traques sur Plan Epervier non officiels aux défenseurs des droits de l’homme, désolidarisés de leurs milieux, entamée depuis les débuts de ces  plans de fichages français, organisées, accompagnées de placements extrêmement discriminatoires à domicile, à but sécuritaire, nouvelle dénomination de couverture et de façade des assignations à résidence surveillée pratiquées depuis les années 80, dont je suis victime personnellement encore à ce jour pour attitude récidiviste de critique journaliste, jurée état critique de démence, jugées des procédures arbitraires illicites à vices de forme de tribunaux exceptionnels très répressifs de tortures paramilitaires formés autour des ces lieux de résidence surveillée, aptes à reproduire les procès de la Pucelle d’Orléans pour les mauvaises moeurs des milieux qui m’entourent, d’orientation politique pro-nazie, ou résolument pro-poutinistes, le plus souvent en co-alliance. Les dictatures n’affichant au grand jamais le terme de dictature, leur dissidence razziée au cas par cas pour moins de transparence des éliminations physiques et suppressions profitables, à l’heure actuelle, l’Etat Français ne pouvant être dénoncé en tant que société de surveillance policière, sécuritaire, tant la puissance de son dictat censure la critique médiatique autant que intime et tenant du domaine privée,méthodes policières de torture de goulag  soviétique (dont les implants électroniques électriques ou électromagnétiques nouvelle vague, manipulable par télécommande à distance, testés sur dissidents cibles de ces agissements de main de délinquants,  psychopathes employés pour leur irresponsabilité les amenant à torturer mortellement si personne n’intervient, et ne les arrête, à même titre que chiens russes ou allemands durant la dernière guerre, à cet usage, implants surpuissants, de visu indétectables, causes de quiproquos inquiétants car provoquant des douleurs insoutenables autant que ceinture électrique Américaine, et donc de faux semblants d’agitation, révoltes semblant injustifiées encourageant les masses à indiquer et protéger le “soin”, formule nouvelle de torture électrique donc tenant lieu de formules de pointe du bracelet électronique imposé aux violeurs récidivistes, les implants de préférence implantés dans les zones génitales des upercuts, joues, nez, arcades sourcilières, encourageant, à la collaboration avec la propagande établie des pouvoirs publics. Si les violences policières dans ces cas de déviances des cadres de la loi, sont fréquentes, elles ne sont toutes connues. Tests scientifiques dans ces traites de l'être humain, également de matériels militaires nucléaires de gros et moyen calibre, faisceaux nucléaires, armements nucléaires, et lasers non encore répertoriés, sur bouclier humain sous cobayage contraint de ces visites restées aveugles. Sous technique militaire des plombiers-électriciens des renseignements généraux ; d'où l'apparition de cancers dans mon cas, du sein, voire prochainement, des ovaires, et zones génitales;certaines victimes, leurs foetus et embryons,destinés à la recherche scientifique (recherches y compris de confection d'hybrides humains contre-façons d'extraterrestres, pratiquées déjà en camps d'extermination nazis sous les SS et reprises en Amérique jusqu'à présent sur programme international et nationaux, dont russes et soviétiques, de recherche) d'espèces hybrides, dont un chapitre de vidéos sur  ces espèces de monstres lâchées de ces laboratoires, dans la nature, affolant les populations, m'a été effacée la nuit passée, après plusieurs heures de travail à leur compilation.
Veuillez pardonner les quelques coquilles typographiques, résultantes et preuves, des répressions physiques invalidantes de cette censure, entourant les rédactions de mes billets.Sur mes deux sites
http://cassandre2010.blog.lemonde.fr/,
Iran, révolution intérieure :
Je vous soutiens entièrement en cette tâche, enfin une conscience lucide capable de ce discernement, de l'établissement d'un mode d'emploi théorique plan d'attaque du renversement à pertes modérées des dictatures, effectivement, seul sinon aidé de l'appel solidaire aux cellules et cellules armées de la résistance, à la stratégie de l'emploi de chacun dans ses tâches de guerre à mener, vous courrez sinon au succès de cet enjeu, sinon au danger, manquent en effet des organismes occidentaux de prise en charge, d'organisation du renversement des dictatures du monde, l'occident connaissant une vague déferlante néo-fasciste sinon néo-nazie (dite pudiquement néo-négationniste, publicité du colonialisme dans les livres d'école de l'éducation publique,la République française du Siècle des Lumières et des Droits de l'Homme anéantie sous état de surveillance policier) à l'heure actuelle, la procédure serait lourde en effectifs, en gestion administrative des moyens, personnels et en temps, aboutirait à une instauration d'un colonialisme fédéral de type dictat policier pro-Bushien sous pouvoir simili-CIA,tel qu'il envahit et investit l'Europe, la résistance est en soi et reste individuelle si elle doit s'organiser, si les lois, les codes des lois occidentaux, qui auraient à se calquer sur le code civil français, modèle sur le papier d'une législation de démocratie inappliquée jusqu'à présent, dont il faudrait reprendre les principes, pour fonder les démocraties à venir après éradication des dictatures du moyen Orient et du monde. Courage donc,les idées,les mots, vaincront un jour le poids des armes.

jeudi 4 mars 2010

A intime, changement de logos : Au fait, durant sans vouloir vous harceler d’une crise d’”érotomanie “supplémentaire, mes instants de béatitude,


j’ai révisé sans vraiement l’avoir recherché, le mode d’emploi au masculin de l’Homme, version rencontre céleste.

Je reconnais ma seule démence de rester folie incurable d’aimer d ‘Amour quoique aucun traitement n’y fasse si le degré de débilité requis chez la femme (débilité dans mon cas réelle en sciences-po “sexualité de couple, Arts et techniques”, ayant eu le défaut de ne point vous avoir eu pour professeur d’Amour en quartier libre, sauf quelques visions hallucinatoires très initiatiques déniaisantes (de ma débilité) à haut degré hypnotique de prise de courant par manque (sexuel, et non de neuroleptiques, castrateurs de libido jusqu’à prises à sec de vos copines que vous souhaitez , si vous me faisiez de l’électricité après éléctrodes, les accus vidés) quoique ma débilité profonde prolongée typique de l’arriération onanique prise à sec, figure libre imposée mongoloïde de physique, doive se situer dans la stablité requise, l’intelligence de la Femme normale située dans le diplôme es-séduction, dans lequel je suis primée toujours autant en dessous de la bare, double-zéro pointé,ayant droit au conseil disciplinaire) niveau de réthorique, discours logique, logos si vous le permettez, resté, dans mon cas juré trop érudit, cognitif, si la cognition universitaire, le degré de culture scientifique déontologique réservé aux rangs de votre caste, toujours répondant sur le mode adversif dans le monde féminin d’un répondant trop sérieux, devant rester léger autant que le traitement, logos qui peut et doit être jugée folie mégalomane, et je reconnais également être tombée dans à peu près tous les pièges de cet art, le mode d’emploi de l’homme au quotiden, et l’emplacement chez certains du bouton stop ; donc la séduction primant depuis le dégel et le déluge, sur le degré de conscience et de raison, les sexes épanouis répondant de la fiabilité de la lucidité des femmes (je crois que je suis en train de trop en faire, conseil du guide) , je me permets de sortir du système de la dragée haute insaisissable, tehnique thermique “susucre attrappe nigaud, fait le beau”, qui me consignait, chiencheinne ravie lève-la-patte-mirza de chacun, à la niche, avec molosses coucouche-panier de votre politique de fabio du héron et de la grue, fable de Lafontaine.

Je me permet donc, de vous revonyer les derniers conseils pratiques de la drague recommandées chez toute femme, afin de s’éviter quelque déception telle les violences maritales psychiatriques de mari jaloux d’une morveuse batarde, attardée sinon patate empotée sur le plan sexuel ou devant le rester au centuple dans l’art-thérapie de faire éternellement tapisserie au bal des voleurs de vie (d’après les discours de débile que vous ne m’avez prêtés) de certains potentiels concubins, tels voyous psychopathes dangereux, violeurs de principe, voleurs de viscères et de tripes, collègues bouche-trou à électodes acharnés en rêve d’isoler, découpler pour opérer, ,en mal de dévotion hystérique cathéchumène, et papa faisant calin à fifille à la papaouté, quoique si je le vis en rêve, ce soit plutot un cauchemar, au fait, je tiens à vous signifier le fait de ma dernière rupture, si de savoir la place que vous teniez chaude occuppée, je crois bien s’il ne s’agit d’une vision divine à traiter, déception d’une occupation de terrain,et de la prise d’un amant maladroit (à défaut, depuis 3 annés d’attente de groupie du paniste, de votre présence intime), que je vous aurai avoué, dernier piège qui m’attendais, me rendant indisponible qui vous aura, dernier piège dans lequel je n’ai pu éviter de tomber, de cet aveu-lapsus, fait enrager, jusqu’à ma rupture. Aussi, ayant appris la rude leçon (du père que vous représentez) que je n’aurai plus d’amant, (faut-il quand il la grimpe lui demander la permission d’emprunter sa fille, chanson française des années 50, mon coeur depuis que je suis née n’étant réservé à daddy) sans tomber dans le piège du sentiment hautain, et autres leçon de principe, je réalise, il était tant, restons positive, que, si je cours quelque danger, (écrasement de testicules, décapitation sauvage partielle, torture à la gégène) il s’agirait bien de quelque épreuve complémentaire règlementaire à la constitution de couple, ou de rencontre, épreuves, pouvant, (l’on peut en trouver d’autres, dixit l’infirmière à domicile imprévue) être poussée au jour d’après (le film) si cela se doit, épreuve qui ne saurait se surmonter, qu’en séduisant l’Homme qui assurera, sans condition préalable, sinon son divertissement, amusement réparateur, établissant complicité de ce fait, la sécurité de l’heureuse élue; bref, j’ai également appris, qu’en cas de drague, “obsessionnelle à érotomane” chez moi, sinon totalement absente, symptôme schizophrénique, il ne fait sortir le cours de philo casuistique, ni enter en procédure avant de terminer au lit, si je dois y perdre mes complexes. S’il faut pour connaître enfin le plaisir, sans que cela fasse de l’électricité, des parasites dans les antennes , des discours embrouillés de nerfs embrouilés avant la totale hystériotectomie,  à désembrouiller si restent collés à la main après le rasoir à main et le nettoyage intégral à la Bétadine contre les goûts morbides, à gangrènes  (cela doit être un tic que depuis Albert Camus, dure), de se faire dévirginiser sur la table d’opération, se passer l’épée par le corps d’y céder par la force quitte selon la mode chiite parfois à tuer ou devoir en finir, amenez svp dans ces cas le porte-jaretelle avec string de dentelle, si les infirmières ne savent plus avec quoi s’amuser et prennent ensuite avec la savonnette jusqu’au bout de bois ; mince, c’est déjà fait. depuis les débuts de la pêche au gros à la sardine au lamparo, puis la pêche au thon cuit sans eau et la chasse à la génisse à qui il ne manquait plus que le veau en blanquette, après maintes chasses aux canards à mantes religieuses, et traques à l’émeu. Bref en cas de difficulté, compter sur les GI, les Marin’s ou appeler un flic, qui tiendra aussi chaud la nuit, tout honte pour moi, d’avoir osé tendre à vous connaître sur le chapitre, quoique une crème vanillée puisse mieux faire et faire meilleur effet; ne nous précipitons pas sur la nourriture, restons conscients, si vous avez quelque incompréhension de vos multiples diplômes, évitez de m’appeler la police ou Sécurité, cela me rendra sinon d’autant plus si indisponible joyeuse et gaie, qu’il sera nécessaire de relobotomiser légèrement les dégats pour y être allé encore un peu trop fort, si la fonction neurologique (à titre de beigne électrique et de fonction médicale de “foutre-dessus” sur un ”fous-y-ça ) à devoir en faire appel à la fonction neurochirurgicale en cette ville, est vision hallucinatoire, je dirais plutôt chauchemardesque; mourrir Belle de couples maudits dans charivaris du 19° siècle bourgeois de Malthus non encore prohibés en préfectures, sous les coups, fritures de cervelle à giclée de crème de cerveau et de cervelets pour se marrer en orgies de communauté rituelles, et menus de personnalités à la carte à titre d’idées fixes à déconnecter, pour rester à vie dans le bide, (nouvelle coupe de cheveux, hop pardon, de cerveau en biais de l’avant à l’arrière du crâne, est-ce que cela me va bien ? ma nouvelle chemise de neurochrirurgie à filet d’hygiène à défaut de string, la trouvez-vous, assez fendue dans le dos autant que le crâne ?) revenant pour vous également, à un jeu de suicide, rencontrer un pylone électrique aussi, en cas de prise de contact électrique sans faux contact, et un CRS plus intéressant; et que j’essaie ensuite de vous retrouver et de me marier ; quoique cela me soit rarement venu à l’esprit, signe donc de santé. S’il me faut encore un électro-encéphallogramme pour prouver que je suis littéraire, et ne dois présenter aucun signe d’appartenance culturelle, ni politique autre que religieuse du bucher, le fouet de boui-boui à la capitaine du Bounty version hot ou hard, et de découple, ni de cognition cérébrale médicale, ou scientifique qui ne doive rester futile, cela est déjà fait; que l’on me retrouve encore avec vous, si j’ose; un nouveau délire de persécution que je devrais traiter ; prochainement, je passe au niveau supérieur, du diplôme “comment faire l’amour sans se faire lyncher”, après suicide mode d’emploi, mon hallucination récente, que je n’ai eu besoin de lire; ma méfiance paroïaque ne m’a servie. je crois qu’en rempant sous les chocs nerveux et électriques jusqu’au carcinome malin, en tenue de combat s’il le faut, je vais parvenir, peut-être, à ouvrir la porte du frigo, avant de devoir être intubée par alimentation forcée. Où je crois bien, il ne reste plus de crème vanillée, depuis sa prohibition, quand les oeufs brouillés chez les phylosofs suffisent, pour ne point exploser, disons la carothide, durant les électrodes, si sans les oeufs, elles vous explosent les parties et le fut, quitte à devoir en faire un pryapisme aïgu, suivi de purge de burettes dès que l’on mastique des lèvres, à se demander sur le mode d’emploi de l’oeuf des Pichrocoles de Rabelais, par quel bout le gros oeuf le prendre sil faut en statuer, et que l’on nettoie sans passer par cette astique, où ensuite je vous passe l’encaustique, sous peine d’éternel recommencement jusqu’aux jugement dernier des pertes sèches, la prohibition des crèmes brulées, et suite en vénérologie. A traiter de l’indisponibilité, sexuelle, quand les sentiments ne s’avouent, se cachent (heureusement) les Amours honteuses sont impudiques, et en philologie ne se traitent. Privée de dessert. foire aux Paillasses durant la chasse au Dahu anti-parisianniste.

Après l’on passe à la colchique. Et,que l’on ne m’y reprenne pas à faire l’amour avec un arabe, qu’il soit blanc, balck, beur,
ou je finirai musulmane dont j’aurai la vie à la cashba avec burka médicale et celle du schoot si j’aime le barbu et pas jésus-marie, et je ne sentirai rien quand on m’en fera sauter la cervelle, en commençant par l’endroit de la propreté chez ces femmes de ce pays; et de ma chasba je n’en sortirai.
Je ne vous demande pas d’en juger, ni de juger ni même le jugement dernier,
La neutralité, ne m’ayant servie, ni la bonne éducation lettrée, seule liberté permise à laqelle je me suis mariée, j’ose, s’il s’agit d’oser, quelque position intime à vous rendre, vous apporter quelque lumière, à votre cécité; et halla, ali allo, il vaut mieux sortir le tiquet de métro que la feuille de philo, si ensuite les maitresses de maison tiennent les hommes par la queue du poêllon. Heu, celle là, je la tiens de…
A ma prochaine vision sensorielle hallucinatoire, délirante.

Objet : Ce qu’un homme veut vraiment dire lorsqu’il dit…Hum au fait, je ne vous ai pas encore présenté mes nouvelles prothèses gonflables arrières, hum, intra-craniennes, destinées à donner du volume et du gonflant, aux zones cérébrales arasées en bonbon confit, foie de génisse ou loques de dentelles grises boh, qu’importe. A s’y méprendre.
Plus vrai que vrai, un travail parfait; d’autant que, invisibles à l’oeil nu; et, bravo pour le régime amaigrissant par éviscération des 6 m d’intestins grêles trop inutiles une fois cuits, l’émusclation des zones lésées lui a fait perdre plus 3 Kg, 16 kg de perdus en un mois et quinze jours, chez elle un record. Dixit ou en substance le médecin intervenant;
Bon café.
Je vous remercie de compter sur ma participation à votre combat pour le respect des droits de l'homme et des conventions internationnales les régissant, d'autant plu qu'envers ma personne elles ne soient respectées en rien, que la France si vous l'avez jugée autant que moi-même, après maintes invocations sur ces enfreintes, dont je vous avais fait part, d'une part au code civil, renié par un nombre relativement élevé, d'activistes de tous bords, enragés d'un militantisme extrême droite lepéniste imprégnant jusqu'aux classes de gauche, ainsi que je l'avais présupposé et puis vérifié dans les médias, code civil dénigré, sciemment bafoué, violations de ce code fer de lance de la campagne pré-électorale actuelle, le code civil français si justement appliqué, dans les règles d'application des lois qu'il recense, lois sencées préserver, protéger les droits fondamentaux et droits de l'Homme légitimes de chaque citoyen, légitimité bafouée, dans une déviance dépravée encouragant au crime au vice, à la corruption, aux crimes contre l'humanité, et exactions, des jugements en jurisprudence sencés les faire respecter. reprenant les lois indécentes d'irrationalité injuste et d'irresponsabilité (basée sur l'inversion des responsabilités commune à l'extrême droite, dans les violences envers femmes battues, et commune à la religion, les victimes punies en lieu et place de leurs agresseurs, tenus pour justes d'avoir commis infractions aux lois du code civil , jugés actes de punissement légitimes anté-procédures, justice reléguée au gré du libre arbitre de chacun se faisant de soi-même justiicer, infraction supplémentaire au code civil, pénalités laissées au gré de chacun, de loi divine et droit divin de tout citoyen croyant selon lemode pro-américain de jugement ( juré sur les lois de la Bible et fonction de ces lois religieuses) pro-bushiste, controvere du code civil actuel, stipulant et protégeant la présomption d'innocence (des coupables), ici encore , nullement respectée, des accusés, subinnocentés aujourd'hui encore d'une discrimination positive entrainant une violation du code civil français et de ses lois initilament prévues, une présomption d'innocente essentiellement bafouée envers les victimes plaignantes traitées d'exactions graves, crimes contre l'humanité constants au nom d'une culpabilité qui leur est présupposée en procédures pénales arbitraires, et d' une innocence légitime, systématique, de leurs accusés, jugés sur les modes de raisonnements arbitraires et usant de l'inversion des raisons et culpabilités communes aux lois de dicature fasciste populaires,liées à, découlants des incultures, ignorances de goupes dominants de leurs crimes et exactions, droits de fait que ces dictats entretiennent pour régner, lois religieuses de dictat protégées des livres religieux , repises par les nazis lors de l'Incendie du Troisième Reich, donc, j'en conclurai, qu'avant tout combat de défénse ds droits de l'Homme, il faudra mener en premier lieu une lutte de protection des justes applications des droits du Code Civil français, qui devrait rester exemplaire dans ses applicaitons en jurisprudence, autant qu'il reste exemplaire dans ses textes initiaux et remodelés dans le sens du respect des droits fondamentaux, exemplarité qui devrait, se dupliquer et être reprise, dans un remodèlement des codes civils asseyant les pouvoirs totalitaires des dictatures étrangères; le seul avantage de la France, est de posséder les textes assurant une démocratie,inappliquée jusqu'à présent, démocratie de façade, qui n'a eu été réelel ue dns ses texte de lois, jamais depuis leur création, ni appliqués je le répète, dans le respect de leurs sens, ni par la population respectées, siono das une reprise des lois du Jugement Dernier des Procès de Kafka, et des applications de jugment arbitraires du Procès de Nuremberg, qui parti d'ue bone résolution de justice, aboutit à une vengeance étatique et populaire indigne, dégradante, de l'image de la justice même, des camps de déportations ayant été créées, usant des lois de Talion du nazisme, pour y torturer, exterminer les prisonniers allemands après défilé humilant, où après avoir ét nourris d'ue soupe grasse laxative aux choux,ils auront du défiler dans l'avenue principale de leur lieu d'arrestation, face à une liesse popualire, en se vidant de leurs fescès, suivis d'un véhicule de voirie, balayeuse municipale, chargée d'effacer leurs traces. De tels drames se produisent envers femmes battues, humilées, violées, tabassées publiquement, d'équipes médicales sur ordre demédecines corrompus, en reprise des lois totalitaires, de leur tortures et répressions, dans tout traitement, devenu sinon resté exclusivement à titre pénal de la violence subie, des femmes battues, enfant martyrs, souffre-douleurs boucs-émissaires et victimes de viols avec violences, de violences à domicile, reproduites au centuple et traitées en psychoses délirantes hallucinatoires,contre toute évidence des faits des violences, actes de barbarie endurés, parfois des vies entières, pénalisés de toute médecine par cette reprise debla totrure pénale psychiatrique envers victimes. Politique régante du punissement pénal et psychaitrique,parfois les doubles peines s'accumulant, sur boucs émissaires victimes d'un antisémitisme envers un nouveau rôle de peuple juif à devoir assumer, sous la dénomination à visage humain, de sinon de leur démence, celle d'être traité en "il est mal", des coups portés avec armes établies instruments de soins, causes de blessures mutilatoires par amusement paramilitaire et jeu sexuel de soudards, doublement subis, pour n'avoir pas eu supporté, ou avoir eu trahi, les violences à domicile endurées.


Les victimes crucifiées sur la croix de Marie-Madeleine, prostituée de Jésus Christ (jésus-l'auteur des enfreintes aux lois, droits de l'Homme, assi dans la position inversée arienne et reprise par mai 68 , en position sexuelle dite 69, auno dlbration demsoeurs, se fondant sur l'envahissement des mauvaises moeurs de maisons closes, de réseaux la prostitution instaurée par le proxénétisme affectant jusqu'aux règlements déontologiques de la médecine psychiatrique, des conditions de détention pénale, et des déments, plus victimes des injsutices et dépravations sociales que déments, sinon victimes supplémentaires de filières de créateurs de besoins capitaliste des métiers dela médecine de ses sphères parmaceutico-paramédicales agissant sur contrats marchands, exigeant des consommations sytmatique forcée de pseudo-traitements médicamenteux tels le Prozac, heureusement remis en question et à peu-près la totalité ds traitments chimiques de la prétendue démence,prébabriquée à la chaine à but commercial de ces sphères politico-jurido-financières policières, dans des buts financiers assurés par ces contratsdont ceux de sanofi signés avec les secteurs psychiatriques et de médecine généraliste, corrompant de propagandes commerciales répressives et armées, jusqu'aux milieux intellectuels, fanatiques des orgies répressives psychiatrisées pédophyles et médicalisées proposées (sur propre membre de leur famille, de leurs relations, utilisé en objet analogon de sacrifice humain, prostituée en prisonnier d'opinion des tortures et violations des droits resencées par vos campagnes,) , les basses classes affiliées depeuis des décennies à ces méthodes basées sur le proxénétisme hospitalier l'accompagnant, appat très affriolant des foules, médications et faux soins, en fait arsenaux de méthodes totalitaires tortionnaires mais dites de pointe, en fait, issues d'entreprises commerciales à but financier dirigées de maitres du charlatannisme scientifique et médical, position inversée phallocrate de l'homme amoureux (le plus souvent le violeur maintenu dans un état multirécidiviste, parfois à longueur de vie, et bourreau) ,ou de la mère, soeur, familles entières, quelconque agresseur, vécu en martyre des injustices perverses et crimes pervers d'un(e) dément(e), soignée par la torture de coups causés d'armes dites de ocntention, congant, électrocutant grièvement, sur des temps prolongés, parfois mantenus jusqu'au suicide des victimes dans les conditions sans simulacre de torture mortelle de choix, des résistants pris par la gestapo,parfois pour le simple plaisir d'un Père, simulant le bras fatal su rson fils Abrahma, le transformantensuite en sa chèvre de légionnaire.

Victime personnellement de ces trafics, et n'ayant besoin, étant donnés les fichages du Plan Edvige accédant aux fichagesmdicau xétalbis sur toute victime (jugée trop subversive et dénonciatrice ) de ces infractions désolidarisantes dans un but de diviser pour mieux régner, je ne peux sans comprometre ma sécurité, donner les renseignements personel que réclament vos pétitions lors de leur signature, les traques sur Plan Epervier non officiels aux défenseurs des droits de l'homme, désolidarisés de leurs milieux, entamée depuis les dbuts de cespalns de fichages français, organisées, acompagnées de placements extrêmement discrimiantoires à domicile, à but sécuritaire, nouvelle dénomination de couverture et de façade des assignations à résidence surveillée pratiquées depuis les années 80, dont je suis victime personnellement encore à ce jour pour attitude récidiviste de critique journaliste, jurée état critique de démence, jugées des procédures arbitraires illicites à vices de forme de tribunaux exceptionnels très répressifs de tortures paramilitaires formés autour des ces lieux de résidence surveillée, aptes à reproduire les procès de la Pucelle d'Orléans pour les mauvaises moeurs des milieux qui m'entourent, d'orientation politique pro-nazie, ou résolument pro-poutinistes, le plus souvent en co-alliance. Les dictatures n'affichant au grand jamais le terme de dictature ,leur dissidence razziée au cas par cas pour moins de transparence des éliminations physiques et suppressions profitables, à l'heure actuelle,l'Etat Français ne pouvant être dénoncé en tant que société de surveilance policiaire, sécuritaire, tant la puissance de son dictat censure la critique médiatique autant que intime et tenant du domaine privée,méthodes policières de torture de goulag soviétique,(dont les implants électroniques électriques ou électromagnétiques nouvelle vague,manipulable par télécommande à distance, testés sur dissidents cibles de ces agissements de main de délinquants, psychopathes employés pour leur irresponsabilité les amenant à torturer mortellement si personne n'intervient, et le arrête, à même titre que chiens russes ou allemands durant la dernière guerre,à cet usage, , surpuissants,de visu indétectables, causes de quiproquos inquiétants car provoquant des douleurs insoutenables autant que ceinture électrique Américaine,et donc de faux seblant d'agitation, révolte emblant injustifiées encourageant les masses à indiquer et protéger le "soin", formule nouvelle detorture électrique donc tenant lieu de formules de pointe du bracelet électronique imposé aux ioleurs récidivistes,lesimplts de préférence implantées dns les zones génitale des upercuts, joues, nez, arcades sourcilières, encourageant, à lacollaboration avec la propagande établie des pouvoirs publics. Si les violences policières dans ces cas de déviances des cadres de la loi, sont fréquentes, elles ne sont toutes connues;

Veuilez touver ci-joint, chapitre du site que j'entretiens sur internet au : www.lemonde.fr/line_llao

veuillez pardoner les quelques coquilles typographiques, résultantes et preuves, des répressions physiques invalidantes de cette censure, entrourant les rédactions de mes billets



Politique identitaire, résurgence des fascismes

La censure du débat sur l’identité nationale promulgué par le PS et Martine Aubry, débat né de la présence tolérée au nom des idées humanistes de gauche, d’intégrismes religieux de fascismes totalitaires du Moyen Orient mulsulman, infiltrant les populations immigrées de pays dictatoriaux soumises aux tortures sur le sol français des fanatiques de leurs pays d’origine toléré sur le sol français au nom d’une politique de regroupement famillial des travailleurs immigrés, surexploités, colonisés encore de nos jours sur le sol français (le fascisme capitaliste synonyme autant que tout fascisme, le colonialisme racial, le fascisme synonyme également d’exterminations raciales pouvant aller aux génocides, exterminations de masse de peuples), imposés sans acquisition de la nationalité française pour les besoins du système capitaliste, répressés dans leur exclusion absolue, privés du droit de vote pour le danger potentiel de pécisément ces fanatismes religieux importés avec eux, cette censure nie l’évidence de la présence d’une récupération d’un amalgame de fascismes issus des multiples dictatures régnant dans le monde, privilégiée et encouragée des administrations pénitentiaires, et institutions psychiatriques sur ses ressortissants (traités en vaches à lait et à traire, prisonniers politiques constitués sous l’étiquette de la démence, répressés, trépanés, torturés des mutilations de la torture psychiatrique et électrique à vie, tabassés à longueur de temps parfois à mort de ces tortures électriques mutilatoires létales, internés pour leur délit d’opinion, excécutés, constitution de prisonniers d’opinon jugée”saine”, normale”, “pas grave”) perçue “racisme”, “xénophobie”, “exactions policières”, exactions graves au nom de propos qui partis d’une évidence saine, de la peur face au danger que représentent ces dictatures en place régnant sur le pays, en Occident, et régnant, régençant la vie quotidienne, sous le couvert d’une tolérance laïque républicaine pro-bushienne envers les religions, les politiques de partis, les cultures étrangères, instaurent une politique de Terreur, aux minimisations révisionnistes sous des couverts innocents, d’une réalité de plus pernicieuses, privilégiant cet aveuglement idéologique calculée d’une propagande néo-fasciste sournoise, réalité en France de la prise de pouvoir anticipée à son élection par les voies démocratiques, d’une dictature néo-nazie multidictatauriale régnant par l’usage de la force de la privation de liberté, de la prise de corps, de la torture armée des armes des pouvoirs établis, l’identité nationale reprise de la propagande néo-nazie de l’extrême droite et du front national, les leçons de l’histoire n’ayant servi, niées du révisionisme vichissois encore de rigueur, l’histoire du fait du révisionnisme en éternel recommencement, révisionisme de bon aloi imposé dès la prise du pouvoir d’Hithler de 1900 en Allemagne, élection par les voies démocratiques du vote d’une dictature devenue un lieu commun, faille des lois républicaines du vote ayant conduit à la deuxième guerre mondiale, à l’internement et l’extermination de la premiere résistance française, de ses Cassandres (le Mythe, révisionnisme du fascisme datant depuis les débuts de l’humanité, déterminé depuis les Grecs, reproduit par l’hithérisme), dans les camps d’internement psychiatriques français, politique de génocide entretenue par la psychiatrie née en 1905 organe de génocide nazi et de propagande du nazisme, reprise par Staline, dans la grande censure névrotique du parti communiste français, usant de cet organe d’extermination psychiatrique autant que d’un goulag français, l’on ne critique pas le communisme aussi facilement que cela, politique actuelle de cette prétendue science médicale minimisée sous la censure étatique en “politique sécuritaire d’une société de surveillance”, minimisation révisionniste exigeant sous des couverts sécuritaires et d’une tolérance naïve de gauche, la présence sur le territoire français, de cette coalliance de multiples fascismes sous la couverture sémantique du respect démocratique envers des “idées” politiques. La démocratie ne saurait tolérer le fascisme en tant qu’”idées politiques”, “partis politiques”, Staline, Hithler, les dictatures du Chili, de l’Argentine, de l’Islam,ne sauraient être réduites au simple terme d’idéologies, d’engagements politiques, ni devoir être admises, ni tolérées sur ce territoire français, européen ni occidental, et mondial, sous des prétextes de “non immiscion” dans les “politiques étrangères”. Les “arabes”, “musulmans” érudits, lettés et cultivés parfois et souvent athées sans papiers violement expulsés de façon systématique et privilégiée aux sans papiers incultes et intégristes avec ou sans nationalité française, présence intégriste sciemment négligée dans ces purges étatiques à expulsions et exactions policières, hors du “territoire français”, personnes y compris connues et célébrités d’origine étrangère, les femmes libérées, émancipées cultivées, les génies et surdoués, traqués, répressés de violences policières, exactions psychiatiques prenant le relai, pogroms ponctués de traques à l’homme au nom d’une “politique identitaire nationale sécuritaire”, d’un “hopital sécuritaire”. Nouveaux juifs devant être ramenés à la “norme” de l’aveuglement analphabète idéologique d’une dictature policière de surveillance de type birman francisée “à la française” déjà en place préparant la venue d’une dictature plurifascismes planétaire plus puissante encore, que celle déjà mondialement implantée. Retentissant déjà dans la vie quotidienne, “violences urbaines”, “violences conjugales, familiales”, violences faites envers femmes, et droits de l’enfance”, “violations du code civil, des Droits de l’Homme,” termes de formule littérale des violences du fascisme masquant de cette censure étatique,sur les prémisses d’un monde souterrain underground des fascismes en place. A interdire le droit de vote des immigrés, pourquoi n’interdire celui du fascisme, présenté sous couleur de partis politiques. Ce que peuvent occulter les débats.



Pour expliquer, compléter le texte précédent : L’identité individuelle ramenée à l’identtié culturelle, politique, religieuse et sexuelle, le surmoi de l’individu circonscrit dans les politiques de partis “surmoi” populistes populaires, de structure sectaire de sectes régissant, dirigeant les ça subconcients collectifs de collectivités communautaires, ne réagissant sur un seul mot d’ordre qu’autant bans de poissons marins, sur le senti, le ressenti viscéral promulgué par Le Pen privilégiant les viscères, point sensible stratégique de l’être humain, sa vulnérabilité première, viscéralité dressée d’éducations conditionnantes fondée sur la violence de tous ordres, viscéralité, ses tortures mentales et physiques, excluant toute réflexion, cognition, dicernement de la conscience, ni recul, délits d’opinion jugés et traités en folie. Le moi de l’individu ne se reconnnaissant, ne s’identifiant qu’au surmoi et au ça , guerre d’usure. L’individu indivisis morcelé entre l’identité collective, l’identité individuelle et mentale (tronquées des mutilations règlementaires, morcellement supplémentaire d’une identité individuelle factice artificialisée surimposée à l’identité d’origine tronquée résiduelle à ces mutilations), identité de soumission aux violences répressives de l’Etat, si non reconnaissance en elles,le ça et le surmoi collectif, de sa communauté identitaire, ce ceux des autres collectivités communautaires. la gestion de ces multiples consciences dans l’individu, perturbée des corvées et emplois quotidiens, est cause de pertes collectives d’équilibre, amenant aux difficultés des institutions scolaires, universitaires, médicales, pénitentiaires et judiciaires à gérer les débordements de psychoses sociales hystériques de ces populations, dont les dépravations, (alcoolisme des jeunes, drogues, addictions dangereuses pour la santé individuelle,collective, car conduisant à l’irresponsabilité meurtrière individuelle et de groupe, et autres opium sado-masochistes du peuple se masquant d’auto-tortures supplémentaires irrationnelles rituelles d’obsédés, compensatoires aux violences déjà subies, les tortures, vices et sévices pandémiques entre-subis telles suplémentaires aux violences tortionnaires des pouvoirs et de cette société capitaliste s’entre-torturant à s’entre-tuer par suivisme et jalousies morbide envers ses rescapés, psychoses hystériques collectives tournant en rond dans le sur-place, l’immobilisme français, occidental, vécues norme sociale dans ce cas d’impossibilité à les gérer correctement, entièrement sinon au cas par cas si cela est admis(rarement) par la loi, gestion des hystéries collectives confiée aux victimes de ces débordements, elles mêmes traités en cas de démence, selon les modalités de tortures mutilatrices médicales déjà décrites; d’où les réactions violentes des factions extrémistes, et le regain européen, occidental, des résurgences fascistes du passé, en cumul aujourd’hui et se cumulant depuis l’apparition de l’Homme sur terre.



D’où l’interêt d’une politique médicale, une surmédicalisation dont le devoir (apparent) revient à récupérer, soigner les adeptes de ces auto-inflictions conditionnées esclavagisantes jusqu’à leur auto-acception et leur revendication en tant que liberté individuelle, handicapantes voire mortelles d’auto-sévices sociaux dont l’objectif est de propager l’idéologie de l’absurdité abêtissante, oeillères mentales des foules s’auto-entre-initiant et s’entre-auto-conditionnant des tortures initiatiques devenenues mécaniques citées communes aux idéologies fascistes en regain et renouveau.



La restriction du budget,abandon des projets de la Nasa polluante et inutile,bon signe, états préférant investir dans l’exploration sidérale(prévus une pollution nucléaire, biologique, chimique, bactériologique, et dérèglement terrestre destructeurs, d’explosion cultivée immaîtrisée de politiques d’énergie et armement nucléaire malgré les avertissements des spécialistes et de l’opinion, politiques maintenues en persistance,de la Terre, recherche spaciale en vue d’une fuite de dirigeants étatiques machiavéliques, mégalomanes, et leurs privilégiés sur planète de secours) plutôt qu’investir dans la préservation de cet organisme d’accueil de la vie, et de l’humanité. Sachant la sale manie des peuples, d’élire leurs dictateurs parmis des aliénés hommes de paille de cercles fermés de dirigeants de partis politiques les manipulant (chef d’Etat postiche tel l’a été Hithler) et hissant au pouvoir dans ce but, ombres grises des décisions prises de ces dictateurs,chefs d’Etat potiches sinon de ces cercles de militaires, conseillers, chercheurs assermentés, et personnels affiliés en comités de promotion et de défense, se souvenir des prises de médicament du Furher, drogué voire même d’amphétamines, prétendant à l’époque, soigner la dépression mélancolique, et conférant de façon systématique, les rites de la psychose qu’il présentait, fureur, acariatrie, idées morbides, déclancheurs d’actes de barbarie pouvant pousser au meurtre,tyrannie, insomnie, hyperactivité, exaltation, hyperactivité, surexcitation psychique et sexuelle, à hystérie et libido morbide, augmentation de l’endurance et de la puissance physique, mégalmanie ou folie des grandeurs, dont l’ esprit supérieur, idées de meurtre, domination maladive, fragilité mentale, amphétamines, découvertes et testées en sus de drogues aujourd’hui connues, dans les asiles d’aliénés des années 1900 à 1950, pour étude expérimentale médicale de type nazie (anticipée à celles pratiquées dans les camps de déportation par médecins SS, expérimentations médicales biologiques scientifiques et scientistes pratiquées de nos jour aux sens des hopitaux généraux,et psychiatriques, où les conditions de cobayage humain relèvent de celle des juifs cobayes humains sujets autant que rats de la boratoire des recherches scientifiques des camps nazis, d’où l’insulte de “rats” envers les juifs, sur un programme d’expérimentation encore actuel sinon d’Etat, fonction de directives de cercles médicaux internationaux, congrès psychiatriques et scientifiques mondiaux dont ceux de l’ONU pouvant aller jusqu’au tests d’arments militaires nuclaires, lasers, autres, nécessitant la chirurgie et neurochirurgie à temps complet à but de vérification des lésions pratiquées et effets sur l’organisme des matériels testés, ainsi qu’à titre de chrirurgie rémunéatrice et réparatrice des sujets, afin qu’ils restent en vie pour la continuation de ces expérimentations sur leur corps, qui une fois top lésé, est exécuté sous la dénomination d’”euthanasie”) de la folie que créent ces drogues sur boucliers humains de résistants et déments cobayes forcés (drogue hallucinatoire dure aujourd’hui de substitution aux drogues dures telles l’héroïne, le LSD, totalement à tort encore employée à titre de psychotrope antidépresseur dans le soin des mélancolies et dépressions) qui surajoutées au Tranxène, en test également c’en est certain à cette époque, ayant un effet destructeur similaire sur le cerveau, drogues testée sur les soldats allemands, en sus du degré d’alcoolisme requis, d’abord durant la dernière guerre mondiale, les jeunesses nazis,leurs pépinières, pour un meilleur conditionement à l’arianisme, puis certainement dans les populations et pays fascistes en alliance avec Hitlher, ont amenémé les exterminations massives,tortures et camps nazis de la guerre de 39-45, et drogue dure généralisée dans son emploi pour une résistance physique à la surexploitation aux dernières limites de l’organisme et son évasion mentale. Rêve hithlérien de dépassement de soi de l’Homme, jusquà sa reprise des Jeux Olympiques.D’où la présence de drogues de l’endurance dans ces jeux, et les jeux du Tiercé symbolisant les mécanismes de la société française.



1.Le port de la burqa est essentiellement lié à un conditionnement islamiste intégriste coranique du lavage de cerveau, accompagné le plus souvent de violences caractérisées, tortures y compris sexuelles meurtrières des plus sues et tues, dont l’excision (tortures faisant parfois appel à des institutions médicales françaises) taboues chez les femmes adoubées au joug du mutisme sous ce totalitarisme intégriste admis sur le sol français, si contraintes à porter ce cercueil portatif sur le corps proscrit de la Femme, elles devaient se voir grevées d’une amende menaçant de mettre en faillite leur famille, retenir la somme sur leur niveau de vie retentissant la scolarité de leurs enfants, elles seraient victimes des représailles des fanatiques de ces familles, hommes et mères répercutant cette loi sur les femmes ( victimes autant que prostituées de leurs maquereaux) quitte à les tuer froidement des lois de l’honneur régnant dans ces sectes de mentalité primitive aux rites irrationnels et dangereux, les séquestrer à vie dans leur logement, tradition ancestrale régnant dans certains ghettos, l’émancipation culturelle associative ayant réussi à faire sortir les femmes voilées, à les dévoiler pour certaines et “occidentaliser”, séquestration qui risqu d’être remise à l’honneur chez les femmes soumises à l’intégrisme par crainte qu’elles ne circulent sous la menace d’une telle dime, serves taillables et corvéables à merci sinon du dictat religieux imposé à leur sort, du moins par l’incompréhension absurde des pouvoirs français, aggravant les violences déjà endurées depuis des siècles de dictat par ces femmes, raquettées pour simuler le consentement à cet enfermement de leur corps, quant à leur plaisir, qu’en est-il, sinon conditionnées à fanatisées pour revendiquer cet esclavage ou devoir fuir, enlevées par associations humanitaires, (seules à s’en préoccuper, à assurer la sécurité et la protection des femmes victimes) leur logement devenu camp de concentration. La loi votée sur la burqa, dictée sur un soucis sécuritaire, identitaire, de principes aveugles au nom d’idéologies bien pensantes, de lois républicaines en rien démocratiques, ignorantes des droits de la Femme sinon en leur nom, loi promulgant un retour en arrière de la France de un siècle, ne tenant aucun compte des risques mortels de la vie au quotidien des femmes, et de ces femmes.

2.Le problème réel n’est celui du droit, ni des lois républicaines ou mêmes laïques, car les lois dépendantes du nombre et la majorité des voix faisant loi, Hitler parvenu au pouvoir selon cette faille de la démocratie, le problème réside dans la “possession du corps” de la Femme à titre public confessionnel ou privé, si l’État, l’Homme et le Mâle en décident d’en rester propriétaires, l’esclavage tant imposé de tortures inhumaines que consenti chez la femme, devenu espoir de liberté chez elle, qui la fera survivre sous ce consensus dans une apparence de liberté promise, qu’elle ne trouvera qu’après sa mort ainsi que l’homme le lui a promis dans toute religion. La loi française calquée sur les lois musulmanes et de tous fascismes, punissant la femme victime de violences, viols et trafics d’êtres humains, de violences accrues à celles subies, précisément pour le simple fait de les avoir subies et parfois dénoncées, si elle l’a pu ou osé; le mutisme imposé sur les violences faites aux femmes, familiales, conjugales, maritales, patronales, religieuses, si puissant en sévices, tortures physiques, morales, molestages supplémentaires aux violences régulières, jugées normales par la loi qui protège, nie ces actes de barbarie quotidiens, les forces de l’ordre complices encourageant à ces méthodes, relaxant les violeurs, résignant au pire, voire le décès sous les coups parfois continus; la maltraitance physique le plus souvent déterminée démence, dans une inversion des responsabilités commune aux violences faites aux femmes, triple, quadruple peine suivie des abus, violences raciales envers le sexe, l’âge, physiques mutilatoires et mentales, surajoutées aux passés lourds de douleurs innommables, devant rester dans l’indescriptible des lois du silence pesant, en sus de celles du monde hospitalier, sur les violences faites aux femmes. Les rescapées privilégiées tant privilège rarissime d’être exempte de ce dictat de la violence, du droit au viol, à la surexploitation aliénant leurs droits, ayant droit de vie et de mort sur leur corps et leur identité physique, mentale, promises aux postes de battantes, ou devenues célèbres de cette exemption passant à la télévision, images symboliques de façade d’un pays souriant d’un bonheur,imaginé. Le problème, réside en l’existence de l’infliction de la torture, physique, mentale, sexuelle, sur une population du pays, celle des femmes, droit de fait à la torture établi sur ce sol à tel point que nul ne saurait, ni devrait y contrevenir, droit de fait si nié,occulté en consensus commun, par tous partis politiques, que la survie des femmes, parfois, ne peut compter que sur quelques associations, parfois dépourvues de discernement, de capacité d’action, se limitant à l’information, l’infirmation des droits, aucune action directement sur le terrain, pouvant restreindre le nombre de victimes, de décès par jours, tant que cela n’est par heure. le voile islamique, la burqa, si elle est le fanal évident de ce type de totalitarisme envers les droits fondamentaux et vitaux de la Femme, plus franc et évident que celui, insidieux, pervers, dépravé, et hypocrite des pays occidentaux, dont la France; d’autant qu’interdire la scolarisation des femmes voilées de la burqa ou du voile, serait promettre les plus émancipées à une inculture, une ignorance creuset des fanatismes intégristes religieux par ces fanatismes revendiquée, ces femmes racquetées jusqu’au mutisme absolu sur ce marché, ne pouvant que revendiquer le voile intégral, si elles veulent ‘accéder à la cognition et le savoir universitaire. Ne pas céder à ce chantage, serait plonger ce peuple des femmes islamiques, dans une horreur pire, celle de la cécité mentale sur leur sort, aveuglement idéologique qui leur interdirait toute lutte pour les droit de la Femme, y compris au sein de leurs pays d’origine si elles y retournent après leurs études, encourager leurs consœurs à l’émancipation des consciences envers la protection, la défense des Droits de l’Homme;



Pénaliser de l’expulsion, du refus de nationalité les hommes fanatiques fondamentalistes serait déjà bon signe, mais leur permettrait de reproduire leur violations des droits de l’Homme su d’autres femmes soit de retour dans leur pays d’origine, soit envers leurs femmes sur le sol français, sachant que le femmes voilées de l’Islam sont soumises au mariage forcé, au port du voile intégral, à la séquestration, aux rites fondamentalistes sous peine des violences familiales tortionnaires jusqu’au décès de l’omerta de l’Intifada, recluses dans le mutisme infligé de cette loi, sur ces tortures et violences, sur leur acception intime et personnelle de ces enfreintes à leurs droits, elles ne pourront qu’en signaler pour la plupart une fausse acceptation, qui leur sera retenue, pour les pénaliser, expulser, dans le refus imposé de leur nationalité, d’avantage.



Ainsi que cela a déjà été signalé dans un forum, le problème épineux de l’intégrisme religieux, quand il résiste à l’intégration des lois assurant la démocratie dans un pays, est le degré de conditionnement mental auquel il assigne, asservissement tenant du dressage, du lavage (ravage) de cerveau d’abord de la population la plus faible psychiquement, les enfants, mode identique de lavages du cerveau méthodiques à celui du nazisme lors ds pépinères de l’enfance hitlérienne, futurs SS, créant des formaions nerveuses, cérébrales, irréversibles, dans les populations féminines et des hommes issus de ces écoles religieuses coraniques, les femmes reproduisant mécaniquement, sur les phénomènes de reproduction de l’excison des femmes, les maltraitances déjà subies sur leurs filles, garçons promis aux embrigadements ultérieurs de ce culte, dans une reproduction de génération en génération, de ce système de fanatisation de secte. Exclues pour les vioaltions du code civil, des règles de la démocratie, qui ne sont des règles pour de règles, mais issues de lois étudiées pour être appliquées dans le juste droit sensé de leur application, pour que se respectent les droits fondamentaux, vitaux, dont le droit à la vie, le droit des Femmes, les droits de l’Enfance, des libertés individuelles. Quand la fanatisation peut s’emparer de tout et n’importe quoi, si cela se peut, l’on parviendra un de ces jours, à la totalitarisation de la secte des collectionneurs de capsules de cannettes de bières… L’intégration pour l’intégration, non,mais fonction du respect des libertés des concitoyens, donc des femmes issues de ces populations immigrées, quoique celles issues de populations autres qu’islamiques, posent moins “problème”, du fait pour nombre d’entre-elles de leur degré démancipation leur permettant le statut de réfugiées en France, pays d’accueil des ressortissants, réfugiés économiques et politiques des dictatures étrangères.



Ramener la privation des droits de la condition féminine sous les lois de l’Islam, au degré de pilosité des barbus intégristes de toutes religions, dont celle de gauchistes convaincus, tout aussi primitifs que premiers hommes dans leurs conceptions des droits de la Femme en occident, serait effectuer un sérieux amalgame, quoique, il faille reconnaitre, que contraindre à se raser la barbe, les barbus de ces écoles religieuses fanatiques, coraniques, juives, laïques, (la laîcité peut s’emballer dans un certain intégrisme religieux dont l’intolérance peut aboutir aux phénomènes identiques d’exclusion discriminatoire, voire, de violences et mutilations sexuelles ou d’autre nature les prolongeant, faisant appel à des fonctions administratives publiques, privées et médicales rémunérées pour l’infliction de ces tortures aliénantes et mutilatoires, dont l’excision, phénomène social repris du moyen orient où il se pratique souvent en clinique, autant que certaines mutilations punitives, dont celles de la main pour les voleurs), serait déjà un pas en avant, sinon une humilation non légale ni démocratique. Donc, il vaudrait mieux considére le problème réel, de la présence d’un islamisme intégriste sur le sol français, admis par les autorités jusqu’à une montée des idéologies d’extrême droite fondées sur le racisme, l’apparence, le préjugé et l’intolérance fanatique religieuse, présence d’intégrisme religieux donc islamique pouvant en effet recéler des foyers extrémistes fonctionant au sein des getthos, causés par le repli des immigrés en commutarisme défensif à racisme inversé, enrageant, exacerbant l’extrême droite, les violences policières à leur égard, et ne résolvant en rien, la réduction de la religion musulman à l’intégrisme extrémiste. Toutefois, si aucune action en la faveur des immigrés ayant adopté les modes de vie occidentaux, français, travaillant,impsés et souvent nourrissant des idées en afinité avec la gauche, l’humanisme,l’émancipation cuturelle, et la libération de la condition de la femme, ces familles émancipées, pour lesquelles serait légitimle droit de vote, seront soumises aux lois traditionnelles et omerta de ces fanatiques religieux, inerdisant de leur danger, l’attribution du droit de vote aux immigrés. Le problème n’étant celui de la burqa, mais celui de l’action, des agissements souterrains et secrets de ces réseaux extrémistes sous-estimés, alimentant en terroristes les pays du Moyen orient. Ne déclancher en rien une chasse aux sorcières, il faudrait simplement que les pouvoirs français s’attaquent aux causes négligées du mal et non aux effets ; la tenue vestimentaire des adeptes du Klu-klux-Klan et des fanatiques religieux de l’Inquisition, un petit bout de tissus anodin ? l’Etat français accepte la présence de l’Inquisition musulmane sur son territoire et la condition terrible de ses femmes, voila l’innacceptable; admis sous le principe de la tolérance laïque, ainsi que cela a été heureusement dit plus haut dans un commentaire, la tolérance laïque tolère l’Inquisition, la fanatisation des religions, y compris catholique, elle n’a à tolérer l’’aveuglement idéologique, la violation des droits du Code civil, des droits de l’Homme, ni les agissements d’un totalitarisme primitif religieux et politique, (la religion à a tête du pouvoir dans ces pays d’origine) de plus créant le trouble au sein de sa nation des tortures et sévices qu’il sous-entend pour s’exercer, notamment envers une population féminine et d’enfants qu’il persécute de barbaries insoupçonnées, conditionne et cloitre; déclarer la guerre à Saddam Hussein en contre-partie de sa dictature, si cela a été un bien pour ses vicitmes, prisonniers politiques et d’opinion, n’a répondu qu’à un besoin politique stratégique d’envahissement économique américain, donc, dans le cas d’une extension d’un dictat de ce type micro-Etat dans l’Etat, aux ramifications nationales, dans le pays français, quelle solution apporter, ni ne porte atteinte aux victimes, et choisisse la sanction humaine qui y mettra une fin ? Sachant que certaines de ces filières musulmanes fournissent en extrémistes les réseaux d’Alkaidha, d’où la résistance à la construction de minarets, mosquées et lieux de culte, ce qui rend plus innaccessible encore la prise de température de ces réseaux.



Problème de société récurrent :Constitution à des fins d’un réseau hospitalier de médecine psychiatrique, dont un réseau de prostitution pédophile et homophile, à mon avis, usant pour régner de conflits familiaux, et des cas de maltraitance, de violence familiale, d’inceste, de violences à domicile en tous genres, pour non les régler, mais constituer des filles tenues, réseau médical spécialiste en matière de violences sexistes envers les femmes, notamment une certaine criminalité sinon raciale envers les intellectuelles et femmes émancipées, signifiant dans ce cas leur devoir d’abêtissement et d’infantilisation de leur logos, je remarque une nette tendance à la psychiatrisation des femmes violées, battues, prostituées, au sein même de la famille, dans le particularités atroces de la torture psychiatrique,tout aussi grave et meurtrière que les violences conjugales qu’elles semblent reproduire, simuler, imposer, ainsi que le devoir conjugal envers le médecin spécialiste, mariage dans la perte de la fidélité, aussi condamnée, l’obligation ainsi contrainte, au “droit de prostitution” érigé en devoir civique du STO, sous prétexte parfois de service sexuel “initiatique à a sexualité chez les incultes et demeurés, trafics d’un proxénétisme hospitalier féodal, gériatrique, psychiatrisé, méthodique, dépuceleur de jeunes filles, depuis la défloration au vilebrequin, écarteurs de cuisses de femmes rebelles à ce système de corruption de service hospitalier et psychiatrique, qui ne consiste plus qu’à imposer la torture médicale, y compris pédiatrique, anti-féministe, sous convention de torture électrique cérébrale constante, mutilatoire des zones cérébrales incriminées pour trop d’idées (de gauche, la gauche vécue mal, démence grave) mutilations nerveuses et cérébrales simulant et à titre de mutilation sexuelle déjà imposée, jusqu’au devoir de neurochirurgie, “geste médical” systématique, systématisé destiné à récupérer les victimes dites protégées, en devoir d’acception de ces pratiques, des dégâts causés par la torture électrique, envers les femmes condamnées pour ces agissements envers le célibat, l’infidélité et la discorde dans les couples, dans l’obligation du devoir conjugal, et le respect dû à l’infliction identique de l’inceste, et la protection systématique des violences conjugales, familiales, à domicile, faites à femme et l’enfance martyr, sous la soumission obligatoire sous intervention psychiatrique d’urgence, à la domination du mâle, le discours de la femme tronqué des lobotomies commises sous appareil de torture électrique parfois infligée jusqu’à des blessures entraînant le décès, autant fréquemment que par violence à domicile.



Quitte pour certaines de ces victimes assez émancipées pour se rebeller, d’être contraintes pour survivre, de tuer ou d’essayer de supprimer par légitime défence parfois par strict réflexe d’instinct de survie, leur bourreau tyran domestique, geste de survie jusqu’à présent puni de la peine de mort, décapitation sinon psychiatrisée pour intolérence activiste envers un acte jugé d’”irresponsabilité” selon l’orientation politique et religieuse des juges,décapitations le plus souvent pratiquées dans chambres létales occasionnelles, au cours d’internements arbitraires dans conditions hors normes sans procédure licite véritable, sur décision de tribunaux d’exception improvisés dans bureaux médicaux, décisions de peines capitales fonctions du contexte politico-social et médical, ne serait-ce que pour simple tentative de supression envers un homme attentant à la vie, pratiquées sinon en incarcération pénale au bout autant qu’un internement psychiatrique d’un long parcours de souffrance d’un couloir de la mort institué de façon avouée ou non, ainsi qu’en France à l’heure actuelle, en Occident. peines demort avouées parfois “mort douce”, “apoplexie”, fatigue létale”, “mort par épuisement”, toute forme de mort naturelle, ou accidentelle prétextée, légalisée par médecins légistes assermentés, consentants, activistes eux-même sinon achetés.



Je voue une profonde admiration à l’égard du collectif de psychiatres iconoclastes qui ont “osé” enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la politique sécuritaire actuelle prenant en otage la poplationds malades mentaux, attaque de front qui n’est nouvelle, ainsi que les meurtres et menaces de mort homophobes à nouveau présent sur “le sol français” datant de la phase préparatoire aux exterminations raciales en hôpitaux psychiatriques nazis antécédant les camps de déportation SS dont les “camps roses” d’extermination raciale des homosexuels, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever,fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d’une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant appel à ces mesures, d’un fichage méthodique médical et sécuritaire amenant à une surveillance et prise en charge dite thérapeutique (hors normes, parfois destinée à trafics interieurs aux hopitaux, de traites muliples de l’être humain,sinon pour certains prostitués sosus cette appellation de mesures de protection de la personne, “déments” nouveaux déportés soumis à cobayages contraints sous expérimentations scientifiques de camps de déportation ariens) de membres jugés “gênants” de partis politique,journalistes (si l’on peut dans ce cas “médicaliser” de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d’Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes “cadrantes” (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d’organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d’une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité (chifres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de “déments”, dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d’aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l’imposition en soumarin de la peine de mort sur certains “cas difficiles” (l’histoire ne dira s’il s’agit de prisonniers politiques et d’opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire “d’euthanasie”,les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du “soin” créateurs de la démence, pousés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l’heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et portée depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l’assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c’est peut-être déjà le “cas”,sous dénomination choisie de la langue de bois courante, de “placement anticipé sécuritaire”, non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée. S’il s’agissait donc tant de cela, la destruction du service public administratif fonctionnaire et hospitalier placé sous l’hégémonie de ce dogme depuis 1930 résiduel de l’administration de Vichy,et du pacte de non aggression d’Hithler avec Staline, générant un partage administratif dans une coalition sépararéeencore en viguer et en résurgence, des pouvoirs bureaucratiques soviétiques et pétainistes, guerre commune de deux fronts adverses, l’un imposant déjà au nom d’un militantisme fanatique les mesures totalitaires dans ce site décrites, l’autre militant vainnement mais farouchement tout de même face à au raz-de-marée tsunami sécuritaire d’une dictature policière dans les pressions physiques mentales et attaques personnelles que ces méthodes non toutes avouées ni officielles ni sues, sous-entendent. Politique de reptation de l’envahissement SS, de propagation obcsurantiste d’un aveuglement idéologique sur cette avancée, privilégiant l’ébriété générale soit par surexploitation, privation de vivres nécessaires à la vie, de sommeil liée à cet esclavagisme, dont celui des trois-huits, l’acculturation des masses sociales, le devoir d’ébriété des consommations rituelles obligatoires des opiums du peuples privilégiés en addictions souvent fatales, dont les drogues et l’éthylisme, assurant cette cécité mentale déjà créée des méthodes dictatotriales de tortures sociales et étatiques, ayant amené la dernière guerre mondiale dans l’inadvertance totale des sociétés face à cette reptation évidente d’une prochaine guerre mondiale de type identique, sinon destructrice définitivement de la planète, malgré les avertissements multiples des consciences lucides dont plusieurs exterminées en camps d’internement nazis dont les asiles d’aliénés, méthodes d’aveuglement totalitaire menées jusqu’à la non “compréhension” générale, méthodes de tortures d’occupation de terrain dont la politique imposée d’une monoculture viticole du midi et de régions assignées depuis des époques royalistes reculées, jusqu’à autonomisation revendicatrice de cette production viticole, monoculture ravinant le sols, les appauvrissant en substrats nutriciels essentiels à la vie d’une végétation réductrice des pollutions industrielles et atomiques, déforestation causes des incendies catastrophes multiples fréquentes en périodes de réchauffement climatique du à cette pollution capitaliste planétaire, dans le reniement d’une écologie humaine et sociale.



En sus des méthodes totalitaires d’une politique dite sécuritaire des établissements de santé mentale, imposée à titre de traitement de la folie et de soulagment de ses maux, souffrance morale supplémentaire aux tortures médicales substituant les soins prétendus, au nom d’un militantisme subaigu pour la peine capitale envers la dissidence au cas par cas d’abord “raisonnée” des tortures mutilatoire connues, passage en douceur de peines de mort envers ces dissidents, dénommée par le corps médical ”euthanasie”,l’euthnasie dont le débat a encore été abordé, ne devant relever que d’abord et en premier lieu, de cette lutte sociale pour une peine de mort généralisée et médicalisée confiée aux hôpitaux psychiatriques envers tout contestataire à ce régime, et la pratiquant depuis les années 80, sur de surcroit toutes victimes de ces méthodes un peu trop”gênantes” de la société pour l’implacabilité de ses arguments, réquisitoires et plaidoyers contre totue attaque au nom d’ue intolérance religieuse des multiples fascismes régnant dans les masses, et ceux des pouvoirs étalbis les divisant, par cuisson progressive létale du cerveau, de son système nerveux, sinon accompagnée d’ablation progressive également du cerveau par amputation des zones cuites et brulées, explosées et desséchées selon le mode de traitement électrique, brulures augmentées de la cuisson chimique de produits pharmaceutiques employés dans ces cas de torture psychiatrique, dont la cuisson chimique constante causée de certains neuroleptiques sensés remplacer les électrodes, électrochocs anciennes et nouvelle formules dans la pratique médicale actuelle leur infliction constante. Dans chambres létales présentes en cliniques au sein des hopitaux psychiatriques, cliniques privées, pavillons d’asiles psychiatriques, parfois improvisées dans simple chambre de patient, sur lit de fortune dans résidences privées, HLM, dans des cas d’assignations à résidence surveillée, méthodes birmanes intoduites ne France dans les années 80, dissimulées de nos jours sous le prétexte d”internement préventif sécuritaire”, le plus souvent non officiel ni déclaré, dissimulant la présence de prisonniers politiques et d’opinion réels, constitués depuis les années 50 et la Guerre des Nerfs ou Guerre Froide sous l’infliction de faux en écritures, faux témoignages en jurisprudence si l’affaire portée en justice, auprès des autorités et des forces de l’ordre, faux stipulant à tort le diagnostics de démence grave, détournement de lois, dont celle de la substitution à des violences subies au cours troubles de l’ordre public causés de troubles majeurs d’impétrants, privilégiés pour avoir commis violences physiques et mentales, juqu’à scènes de tortures quotidiennes continuelles sur des militants de gauche, relaxe systmatique de ces extémistes adverses laissés sur mesure d’intimidation dans le droit de poursuivre leurs actes de violences sur leurs vitimes, relaxe due à la stricte inversion des faits dans les versions multiples de ces affaires, des responsabilités et culpabilités, les militants hommes ou femmes victimes de dégradations corporelles mutilatoires voire importantes suites aux agressions en continuum de ces casseurs, inculpées à contumax et devant témoigner à toute heure sous la torture électrique, sinon internées, détournements donc de lois concernant la privation de liberté de personnes, ciblées pour le caractère subersif, d’une divergence d’opinion, qui si rendue publique, pourrait causer scandale parmis factions adverses de ce délit d’opinion ainsi constitué, de défenseurs conventionnels des libertés individuelles, de la démocratie, des droits de l’Homme, de la Femme et de l’Enfance, sympathisants de partis politiques de gauche, dont l’Ecologie, non admis sur simple délation de particuliers de voisinages immédiats, dans certains milieux fanatisés d’extrême droite,ou d’extrême gauche pro-soviétique, en butte à militants si isolés du fait de n’être soutenus ni défendus par leurs proches, de milieux extrémistes ciblant ces personnes qu’en premier lieu ils torturent sinon exécutent de crimes politiques, passionnels ou dus à la maltraitance, et excluent si auront survécu, prisonniers politiques d’autant plus ciblés que représentants d’une liberté de pensée défenseur d’une gauche humaniste, libertaire et pacifiste, issue d’un mouvment post Mai 68 à déterminer, ficher médicalement, limiter, infantiliser, surveiller étroitement, rattacher à une quelconque ligne de parti admis cadrant des mêmes rouleaux compresseurs d’un asile psychiatrique utilisé en Goulag et moyen de pression physique, toute liberté de conscience laissée en électron libre, libre de ses actes et mouvements, donc, à éradiquer, sinon foidement éliminer,au cas par cas, sous la loi du silence imposée de ce détournemnt premier de loi qu’est l’infliction à tort du diagnostic de démence pour délit d’opinion, traité des méthodes psychiatriques à vie, destinée à limiter, asphyxier, éliminer des tortures de guerre mentales sexuelles et physiques communes au pouvoir psychiatrique, il en existe dans ces cas des non conventionnelles, tout action de ce mouvement.



Autre version de paragraphe :Je voue une profonde admiration à l’égard du collectif de psychiatres “iconoclastes” qui ont “osé” enfin opposer un discours approprié en contre-attaque à la politique sécuritaire actuelle prenant en otage la poplationds malades mentaux, attaque de front qui n’est nouvelle, ainsi que les meurtres homophobes à nouveau présent sur “le sol français” datant de la phase préparatoire aux exterminations raciales en hôpitaux psychiatriques nazis antécédant les camps de déportation SS dont les “camps roses” d’extermination raciale des homosexuels, la question dans ces cas de la réelle détermination de la légitimité du diagnostic de folie est à soulever, fausses déclarations de démence à envisager, déterminantes elles d’une demande véridique propagée par le climat social et des pouvoirs établis en libre concurence illicite faisant appel à ces mesures, d’un fichage méthodique médical et sécuritaire amenant à une surveillance et prise en charge dite thérapeutique (hors normes, parfois destinée à trafics interieurs aux hopitaux, de traites muliples de l’être humain,sinon pour certains prostitués sosus cette appellation de mesures de protection de la personne, “déments” nouveaux déportés soumis à cobayages contraints sous expérimentations scientifiques de camps de déportation ariens) de membres jugés “gênants” de partis politique,journalistes (si l’on peut dans ce cas “médicaliser” de ces mesures, les journalistes du Canard enchainé, les employés d’Emaus) défenseurs et sympathisants (adhérents ou non) de causes humanitaires non entrant dans le cadre de lignes “cadrantes” (sinon laminantes des mêmes urgences médicales) d’organismes et partis politiques agréés, donc, incontrolables, dans une politique totalitariste, de controle épervier anti-terroriste systmatique des activités intellectuelles de chaque individu en électron libre de la société, au non d’une potentialité infime selon les chiffres annoncés, de dangerosité ( chiffres infinitésimaux en comparaison de ceux de la criminalité urbaine et nationale) de “déments”, dangerosité créée, préfabriquée, causée dans un but de publicité mensongère coup de pub médiatique envers ce militantisme pour une sécurisation des asiles d’aliénés auxquels la démocratie revient, dans une double exigence de mainmise lourde sur tout patient,et de l’imposition en soumarin de la peine de mort sur certains “cas difficiles” (l’histoire ne dira s’il s’agit de prisonniers politiques et d’opinion constitués de ces mesures, par ailleurs appliquées depuis au moins les années 50),masquée sous le nom libertaire “d’euthanasie”,les psychiatres le dénoncent, par abus imposés de procédés dicatoriaux du “soin” créateurs de la démence, poussés à son paroxysme de criminalié et de légitime défense, donc prétendus soins basés sur quelles définitions de leur nature (à l’heure actuelle,la torture psychiatrique à son apogée et portée depuis 1930 à son comble), des critères de la démence dans ce cas, si tant de fraudes électorales politiques mensongères sinon à but de profit règnent, démarchage pro-Bushien, ou invasion de vague néo-nazie négationniste, en résurgence en Amérique avec celle du Klu-Klux-Klan ? A quand l’assignation officielle en résidence surveillée de type Birman de dissidents politiques, mais c’est peut-être déjà le “cas”,sous dénomination choisie de la langue de bois courante, de “placement anticipé sécuritaire”, non encore officiel, mais déjà en pratique non légalisée.

S’il s’agissait donc tant de cela, la destruction du service public administratif fonctionnaire et hospitalier placé sous l’hégémonie de ce dogme depuis 1930 résiduel de l’administration de Vichy,et du pacte de non aggression d’Hithler avec Staline, générant un partage administratif dans une coalition sépararée encore en viguer et en résurgence, des pouvoirs bureaucratiques soviétiques et pétainistes , guerre commune de deux fronts adverses, l’un imposant déjà au nom d’un militantisme fanatique les mesures totalitaires dans ce site décrites, l’autre militant vainnement mais farouchement tout de même face à au raz-de-marée tsunami sécuritaire d’une dictature policière dans les pressions physiques mentales et attaques personnelles que ces méthodes non toutes avouées ni officielles ni sues, sous-entendent.



Politique de reptation de l’envahissement SS, de propagation obcsurantiste d’un aveuglement idéologique sur cette avancée, privilégiant l’ébriété générale soit par surexploitation, privation de vivres nécessaires à la vie, de sommeil liée à cet esclavagisme, dont celui des trois-huits, l’acculturation des masses sociales, le devoir d’ébriété des consommations rituelles obligatoires des opiums du peuples privilégiés enaddictionssouvent fatales, dont les drogues et l’éthylisme, assurant cette cécité mentale déjà créée des méthodes dictatotriales de tortures sociales et étatiques, ayant amené la dernière guerre mondiale dans l’inadvertance totale des sociétés face à cette reptation évidente d’une prochaine guerre mondiale de type identique, sinon destructrice définitivement de la planète, malgré les avertissements multiples des consciences lucides dont plusieurs exterminées en camps d’internement nazis dont les asiles d’aliénés, méthodes d’aveuglement totalitaire menées jusqu’à la non “compréhension” générale, méthodes de tortures d’occupation de terrain dont la politique imposée d’une monoculture viticole du midi et de régions assignées depuis des époques royalistes reculées, jusqu’à autonomisation revendicatrice de cette production viticole, monoculture ravinant le sols, les appauvrissant en substrats nutriciels essentiels à la vie d’une végétation réductrice des pollutions industrielles et atomiques, déforestation causes des incendies catastrophes multiples fréquentes en périodes de réchauffement climatique du à cette pollution capitaliste planétaire, dans le reniement d’une écologie humaine et sociale.