mercredi 13 juillet 2011


Selon  les cahiers d'Amnesty International des années 80, les traces de torture électriques, jusqu'à présent dans les pays étranger, étaient classées par les organismes humanitaires, comme nulles, ou peu visibles, l'électricité ne causant pas de plaies évidentes, malgré les fortes douleurs causées. En France, la torture électrique a été longtemps usitée dans les affaires juridiques,pénales et les commissariats, depuis les méthodes ont évolué, la demande auprès de la psychiatrie de prendre le relai, fait qu'un glissement de la prise en charge médicale de la démence,se résume à un amalgame de pratiques totalitaristes de la torture étatique, et les soins légitimes à démences , l'infliction du diagnostic d'aliénation,précédée de graves dérives tortionnaire, dites préventives, qui peuvent couvrir la constitution en sous marin, de prisonniers d'opinion, assimilés à la folie pour leur délit d'opinion et leur liberté de pensée, la France affectée de cet état dans l'état, depuis la création de la psychiatrie et son affectation au pouvoir nazi dans sa montée au pouvoir, en tant qu'organe répressif, encore un détail de l'histoire qui blesse les révisionnistes et chauvinisme des classes moyennes. les traces d tortures médicales polymorphes, taboues et laissées invérifiées sous lois de silence juridico-médico-financières

Bonsoir jean M. voilà une réponse très ardue, calée et audacieuse, waooh, j'adore ce répondant, la vivacité d vos connaissance, et de belles notions en philo, ce qui flatte mon égo, n'ayant jamais pu me remettre de mon BAC A, ni de ma prof de philo par ailleurs, son marxisme m'ayant éveillée à la critique pure et simplement Léniniste Lysinkiste antistakanoviste, mais de ce voyage au pays de grands, m'a faite tomber de haut, du haut antique de idées lumineuses d'Icare, pourriez-vous réparer les dégâts de cette haine destructrice envers certains de mes discours trop touffus à castrer de ma pensée, ce qui n'est presque plus ma préoccupation, changement de climat, j'entame ma seconde résurrection,dans les sueurs froides et les rites de la survie de Robinson Cruosé, mêlés aux campagnes des intégrismes religieux tournant autour de l'engagement physique et mental du simple concept de plaisir .
La représentation mentale un atout chez l'homme, mais chez la femme elle se risque à rencontrer de canalisations stupides aux interdits qu'opposent les critères et phénomènes sociaux, culturels, religieux, plébéiens. La représentation même de l'acte prohibé d'amour, fige les individus dans la non acceptation de l'autre sous un chaperonnage malthusien séculaire et pérenne, tant qu'il déborde du cadre d'adaptation de l'Homme, et surtout de la Femme,qui première ou dernière à être conditionnée et à reproduire ce carcan, jusqu'à le mériter, se rebiffe en s'auto proclamant Femme parfaite, super élégante, directive et standard, je me situe à l'opposé de ce schéma, bien que mon age me place dans les couguars, rien de cela à l'aspect, qui a pris des coups dans l'aile, survivre étant une question de choix, faut-il tout plaquer, ou persister dans la persévérance égoïste, insensible, égocentrique, de la recherche du bon choix, du bon numéro à coller sur le bon cheval. Être reconnu dans l'acception de l'autre, le premier pas envers les à prioris, sans rechercher dans un amour,le reflet de nos espoirs intimes, c'est la part de sacrifice humain que l'on se doit, partir dans une aventure, un voyage d'amour, qui peut aller de la folie d'aimer, au plus raisonnable. J'aime bien votre façon de raisonner, elle est raisonnable. Pourvu que jeunesse ne se passe, ni ne passe, l'Amour si déraisonnable...

vendredi 6 mai 2011

Intérêts dignes d'intérêt

concernée par la psychiatrie et passionnée du combat initial aux mouvements de contestation anti-psychiatrique, dont notamment le groupe Collectif 31, ainsi que le collectif de Neker luttant contre l'internement sécuritaire abusif qui menace les libertés de pensée, les libertés individuelles et font obstacle aux droits de la Convention universelle des droits de l'Homme. Fou, folle, pas fou, oas folle, comment s'y retrouver, dans un hôpital bagne mercantile en application d'une censure réelle envers le délit d'opinion et ainsi une constitution rampante de prisonniers d'opinion dans une psychiatrie éclatée dans les familles, devenues goulag français dans un éclatement des centres d'application de méthodes totalitaires, dans un consensus international, où les personnes ciblées restent incarcérées, trahies jusques par leurs proches,collaborateurs de ce nouveau régime Vichyssois doublé de KGB, aucunement adaptés ni compétents pour différencier les vrais déments des prisonniers d'opinion (quand ils sont pourchassés jusques dans les langes des nouveaux-nés dans un massacre programmé,réinventé, des innocents. Sob.

lundi 2 mai 2011

En fait, je médite le plus souvent mes réparties dans le cadre d'une publication sinon imprimée, du moins sur internet, mais je me méfie du stigmate chez les femmes de se cantonner dans l'indescriptible mutisme des femmes habituées aux barbares, à leurs barbaries et leurs massacres.J'aurais peut-être mieux fait d'étudier la sociologie, les penseuses de ce siècle,et défenseures des droits de l'homme,sacrifiés au cours de longues parties de torture médicale et d'exterminations de toutes sortes, afin qu'elles ne défient les pouvoirs établis sinon dans des régimes d'extermination raciale qui prévalent encore de nos jours, .L'étude philosophique mon dada, je m'attire des messages sur mes sites et autres supports d mes textes, des représailles aux douleurs ineffables, la censure commençant par l'obligation au délit d'opinion instauré contre les dissidences aux majorités.le Pen avance, la France de la souffrance, de la résistance, s'organise et enrôle ses camisard et maquisards, avant les élections présidentielles. Être et rester écrivain engagé plus handicapant que nègre de Pulidzer et Lévy-Strauss, ou Femme déclarée philosophie, les femmes philosophes inexistantes ou presque, le plus souvent sous quelque coton, dans l'occident entier, sinon en auto-proclamation et perte de l'aspiration, car doit rester dans les appareils ménagers  à la disposition de leur classe et de celle des Hommes, et là on les attend pour les qualifier de sociologues, sinon à soigner pour leur courage à rester sentinelles au poste de la critique en France. Ceci fait partie également de ma profession de foi.

vendredi 29 avril 2011

j'ai bien reçu votre e-mail, et me ravis de cette soif qui tient de la fuite en avant, le  vide intérieur vide d'amour et d'être aimé de la personne choisie,le corps plus creuset des âmes au parfum subtil d'encens mystique et fiévreux, soulageant tellement la bouffée d'air vicié qui se sclérosait au fond des poumons trop opprimés dans cette vie urbaine, qui fait que toute misère à l'étranger, est divertissement des malheurs quotidiens que nous vivons, les totalitarismes compensant par un appel à la beauté artistique, qui fait que les artistes s'il veulent vivre, font pacte de non agression avec les pouvoirs en place, où le désespoir de chacun niche ses rêves, dans des alvéoles de la société, où se créent le crime de vivre,  la beauté et le sens de la fidélité à une  ligne de conduite interne.
Lâchons le bouillon, les textes les plus tristes valent bien d'être profanés, dans l'idée, seule compte l'action, et s'arracher à la plume du nid, un symptôme de santé.
Allons donc,
merci pour votre e-mail

mercredi 27 avril 2011

 le 26-04-2011 à 09h21
Bonjour, je me demandais si l'Amour ne se préserve de la solitude, en solidifiant la rencontre dans une cage de verre, de l'union libre ou du mariage. L'on ne peut toujours répondre aux pulsions de fuite devant la Passion, ni c'est vrai enfermer des papillons de rêve dans une plaque de verre (de Duchamp,ou Duncan, je ne sais plus, sa merveilleuse Mariée). Souvent la Raison fuit la réalité, et cette fuite, est le paroxysme d'un manque de confiance. Je ne cherche le mariage, mais l'union libre, je refuse l'amour tant que ses bases ne sont établies d'une présence amie, capable de faire vivre mes derniers printemps, et de me faire découvrir cet Amour précisément.

samedi 23 avril 2011

Je soussignée Mlle Line Llao, demande que soit à défaut de levée de la mesure de tutelle, remplacée ma curatrice par un tuteur, ainsi que l'aménagement de la mesure de tutelle en curatelle simple, si doit être prononcé une mesure de protection, pour les dangers que ces mesures m'auront fait encourir,ma curatrice profiteuse et son manque de compétences m'ayant précipitée dans l'indigence. Étant donné que malgré mes courriers elle laissé se commettre des préjudices à mon encontre, et que durant un an elle a négligé de me verser les sommes nécessaires à mes besoins fondamentaux, mes forfaits hospitaliers laissés à la charge de mon allocation insuffisante pour les régler, son travail dans l'attente d'une décision de justice consistant à ne plus gérer mon dossier, j'estime qu'elle n'a tenu son rôle de protecteur de la personne, mais a aggravé la mise en danger en spoliant mes droits, mettant en œuvre des méthodes de surveillance présents durant les congés d'essai de Placement d'Office bien qu'il ne prononcé, mais officieux et surajouté à la mesure de curatelle, cette curatrice transposant mes réponses en arguments types de la schizophrénie, aliénation de mes droits qui aboutit à une main mise plus grave encore, une mise en danger de ma vie et de ma santé, car les mesures de curatelle m'appauvrissant à un point de me plonger dans une mendicité, ardoises de crédits récurrentes, la prostitution occasionnelle ou sous quelque protecteur qui menace et le voudra, mes signes extérieurs de richesse, me mettant en danger, car signes de misère dont la privation du droit de vote et de mes droits civiques. Ce qui me laisse à nu soumise et sans défense légale face à la délinquance la provocation et les violences à domicile de bandes de banlieues ainsi que les assauts répétés de la prostitution.

A ce sujet, je voudrais si vous y consentez, conserver ma voix électorale, car n'en abusant et votant depuis ma jeunesse, ne créant aucun préjudice en fonction de mes opinions durant les périodes électorales sauf promiscuité avec groupements d'extrémistes dans ma résidence, ce qui a pu causer quelques troubles publics très racistes.

Je demande que la personne qui sera choisie pour gérer mon dossier soit un tuteur et non une tutrice, les jalousies entre femmes fréquentes dans ces conditions. ainsi que l'a prouvé mon suivi Udaf et les réticences à bien s'occuper de mes demandes, que l'on souhaite dans ces cas harceleuses et rapportées dans un style bêtifiant faisant accroire à la régression intellectuelle. D'autre part, je fais appel à la décision du Juge de Tutelle, transformant la mesure en cours en tutelle, qui me mettra dans un état de vulnérabilité financière et physique, de spoliation et de précarité qui justifiera et appellera à des mesures plus graves, les conséquences dans ces affaires, la prostitution et la soumission à des impétrants qui tirent profit de ces mesures fil à la patte pour tout raquet qui sera aussitôt traité en délire de persécution de la personne victime, ce chantage m'est infligé, la prostitution sous peine de violences aggravées traitée en psychose grave, ou fil à la patte de cas sociaux dont les femmes le plus souvent soumises à ces contraintes parfois mortelles; parfois avec l'accord tacite des familles. Ainsi que cela se produit chez certains locataires et individu les fréquentant. Soufrant d'un cancer, je pense que une mesure de restriction serait dangereux pour mon état de santé, car ce cancer est du pour beaucoup par l'indigence sociale que l'on veut affilier à l'indigence mentale, pour ce qui est des cas les plus assujettis à la mesure. D'autant plus que les pertes budgétaires en lessives, alèses et protections augmentent mes dus, les traitements handicapants me marginalisant, m'excluant, aggravent mes dépenses, le neuroleptique que l'on me force à prendre, cause d'incontinence urinaire ou d'énurésie, ce qui a abimé mon mobilier neuf, l'impossibilité de changer un traitement très handicapant ou pour le médecin de reconnaitre des erreurs médicales qui poussent chez certains au crime ou à la démence aggravée au point où n'importe qui peut être traité en patient si on le veut, l'erreur thérapeutique le plus souvent seul traitement, le seul fait de se reposer sur un divan signe incontournable de schizophrénie catatonique, la réaction aux tentatives de soins en suite, par antidépresseurs, invoquée la paranoïa quand la pseudo dépression due aux psychotropes sédatifs; est soignée par des tranxènes, jusqu'à la crise induite d'abus hospitaliers et médicamenteux (les neuroleptiques sédatifs considérés effets de la maladie), les divans faits pour les invités et inabordables, sous peine de devoir y périr de lutte armée sous traitement illicite non déclaré, de multiples diagnostics différents, invoqués provenant de plusieurs médecins, pour parvenir à couvrir l'affaire officiellement, pour qu'elle ne perdure plus aux yeux de tous..

Ma vie privée sous les sévices de patients d'autres secteurs que celui qui me suit, précisément pour masquer cette affaire d'intrusions et maltraitances, ces personnes pénétrant dans mon domicile, lâchées pour désagréger ma vie, gaspiller mes vivres, m'infliger violences sexuelles, dévaliser mon tabac, mon café obtenir preuve d'une forte démence dont je souffrirais, soutenus par des fonctionnaires de la médecine et des autorités, le secteur du Point de Repère se sentant coupable de non ingérence dans les domiciles, les comportements violents et m'imposant les traitements prescrits par leur médecin, qui n'en tien compte et tente un rétablissement à force de tester plusieurs chimiothérapies, que ces patients refusent,et me forcent à absorber, en sus des injections retard qu'il auraient du subir car en déni de maladie, les vues de leurs malades mais entrant dans leur délire, font ingérence dans mon domicile et tout lieu où je me situerai, car pour certains de ces individus, atteints de symptômes de la maniaco-dépressivité, ou schizophrénie, liée à l'usage de l'alcool et des drogues, les amphétamines substituts de drogues dures subutex, palfium, amphétamines, leurs causant supériorité d'esprit maladive et exagérée, (ce pourquoi il refusent de se soigner, et me brutalisent si je refuse de les prendre mon plein gré, chez ces gens, personne ne se soigne comme cela,la jeune femme et ses amis logeant dans cette résidence, souffrant de besoins de scènes, d' hallucinations graves, envie de me taper, cogner et commettre viols homosexuels des plus dégradants pour la dignité humaine, pratiquant ou dans ses longs discours , invitant la neurochirurgie sans trace laissée à l'œil nu, des électrodes et opérations du cerveau sous anesthésie, couramment, éprouvant une attraction pour l'électrocution des muscles et de la peau du visage. Les trépans enfilés par les narines jusqu'aux sinus frontaux( les cas de neurochirurgie sont fréquents et pas officiellement reconnus, dits dépassés et symptôme du malade) retirant les croutes formées par les électrodes dans les circonvolutions et matières cérébrales cuites et broyées, ce secteur 2 me prenant en charge après m'avoir causé une ré-hospitalisation suite à leurs ingérences totalitaires quasi militaires ainsi que dans toute foi je ne donnais signe de vie, mais une aptitude à vivre sans soins, une capacité à la promotion d'un travail à plein temps, ce qui justifie mon état de pauvreté, et de lumpen prolétarienne qui est exigé,les extravagances de ces individus égalant toute bizarrerie à m'infliger pour que j'en reste leur fille tenue, bonne pour les parties de snurf et de sévices sado-masochistes innocemment pratiquées, pour lesquelles j'ai été hospitalisée.
Je pense que si les problèmes de voisinage immédiats se résolvaient à l'amiable ou sur décision judiciaire, je ne correspondrais pas aux types critiques de symptomatiques de démence. et donc pourrais ré-entre prendre de mener ma vie comme la loi l'entend, normale.

Dans l'attente de votre réponse,

vendredi 11 mars 2011

Violences à domicile

Sensibilisée depuis mon premier âge aux contextes des violences à domicile que peut contenir l'éducation de la naissance de l'individu homme femme ou enfant à sa mort, je vous prie de trouver ci-dessous récit d'expériences personnelles qui peuvent nourrir votre but de forcer les nations à respecter ces populations, désolidarisées, isolées, prostrées au cas par cas, sombrant dans l'approche de la folie, tant l'usage de la torture se banalise dès qu'il est question de domus, de droits familiaux fondés sur le sexe et ses droits et non plus de simples violences conjugales ou maritales.Pour exemple, j'ai côtoyé ces dernières semaines, au sein d'un pavillon de jour, une jeune musulmane amenée contre son gré à se faire hospitaliser et traiter en démence, pour le simple refus qu'elle oppose aux lois patriarcales ou matriarcales de son pays d'origine, le Maroc, que lui imposent sa mère, ses sœurs, consistant au port obligatoire du voile, le fait de fréquenter,être célibataire flirter avec un homme conçu prostitution, suit l'obligation à la prière, sa volonté de lutter faible des coups violences et blessures que les femmes de sa famille lui imposent, pouvant aller jusqu'au devoir de la tuer si elle persistait à résister, l'émancipation des femmes dans ces familles immigrées, menacé ouvertement de mort. Il est inadmissible que sur le territoire national, la prononciation du diagnostic de folie reste moyen de pression physique et mental dans l'imposition d'une religion et des droits tutellaires d'un despotisme étranger reconstitué à titre d'éducation familiale, les femmes, les enfants les plus visés, victimes de persécutions de dictat au sein d'une population d'individus qui démissionne face à l'ampleur du problème,la psychiatrie cautionnant le marchandage à l'intégrisme, au mariage forcé, par un relai passant des familles à l'intimisation, l'autocensure chez les femmes libérées livrées aux institutions psychiatriques appuyant par des méthodes totalitaires, le port du tchador médical, le totalitarisme des pays maghrébins qui à défaut en France de ne pouvoir rallier  la religion à l'État, fomentent dans le but d'un despotisme maghrébin-français cautionné par la médecine, instituant en alliance le port du voile et le respect des rites musulmans muselant les libertés fondamentales de la femme, réduite à quémander le mutisme sur les violences mutilatoires le plus souvent, endurées de peur d'être exécutées par leur famille si elles demandaient de l'aide. Que les institutions françaises guérissent des maux de la démence soit, mais qu'elles appuient le laminage des consciences pour détenir des vies innocentes perverties aux troubles de la dictature est inconcevable, sinon un fait réel, ces pressions peuvent amener à la folie réelle des victimes invisibles, allant jusqu'aux auto-mutilations dues aux désespoir de ces femmes livrées à la sauvagerie de familles dont le gouvernement sur le sol de ce pays n'est français, mais intégriste musulman..L'on ne peut plus accepter que la démocratisation de la médecine ici, psychiatrique, banalise l'usage de la torture dans les cas de détermination du degré de conscience d'une personne livrée telle prisonière, être femme française dans ces familles, jugé péché mortel, la liberté de conscience violée sans façon, délit d'opinion tabou aux yeux d'une politique française dotée d'une science médicale de camp d'internement  adoubant toute femme musulmane ou française à ce crime contre l'humanité qu'est la torture ad mortem des défenseurs de la libre pensée, s'imposant des statuts dictés par  le dictat, propagé de mère en filles. Être une femme dans ces cas, délit d'opinion;
Merci pour votre action,