vendredi 11 mars 2011

Violences à domicile

Sensibilisée depuis mon premier âge aux contextes des violences à domicile que peut contenir l'éducation de la naissance de l'individu homme femme ou enfant à sa mort, je vous prie de trouver ci-dessous récit d'expériences personnelles qui peuvent nourrir votre but de forcer les nations à respecter ces populations, désolidarisées, isolées, prostrées au cas par cas, sombrant dans l'approche de la folie, tant l'usage de la torture se banalise dès qu'il est question de domus, de droits familiaux fondés sur le sexe et ses droits et non plus de simples violences conjugales ou maritales.Pour exemple, j'ai côtoyé ces dernières semaines, au sein d'un pavillon de jour, une jeune musulmane amenée contre son gré à se faire hospitaliser et traiter en démence, pour le simple refus qu'elle oppose aux lois patriarcales ou matriarcales de son pays d'origine, le Maroc, que lui imposent sa mère, ses sœurs, consistant au port obligatoire du voile, le fait de fréquenter,être célibataire flirter avec un homme conçu prostitution, suit l'obligation à la prière, sa volonté de lutter faible des coups violences et blessures que les femmes de sa famille lui imposent, pouvant aller jusqu'au devoir de la tuer si elle persistait à résister, l'émancipation des femmes dans ces familles immigrées, menacé ouvertement de mort. Il est inadmissible que sur le territoire national, la prononciation du diagnostic de folie reste moyen de pression physique et mental dans l'imposition d'une religion et des droits tutellaires d'un despotisme étranger reconstitué à titre d'éducation familiale, les femmes, les enfants les plus visés, victimes de persécutions de dictat au sein d'une population d'individus qui démissionne face à l'ampleur du problème,la psychiatrie cautionnant le marchandage à l'intégrisme, au mariage forcé, par un relai passant des familles à l'intimisation, l'autocensure chez les femmes libérées livrées aux institutions psychiatriques appuyant par des méthodes totalitaires, le port du tchador médical, le totalitarisme des pays maghrébins qui à défaut en France de ne pouvoir rallier  la religion à l'État, fomentent dans le but d'un despotisme maghrébin-français cautionné par la médecine, instituant en alliance le port du voile et le respect des rites musulmans muselant les libertés fondamentales de la femme, réduite à quémander le mutisme sur les violences mutilatoires le plus souvent, endurées de peur d'être exécutées par leur famille si elles demandaient de l'aide. Que les institutions françaises guérissent des maux de la démence soit, mais qu'elles appuient le laminage des consciences pour détenir des vies innocentes perverties aux troubles de la dictature est inconcevable, sinon un fait réel, ces pressions peuvent amener à la folie réelle des victimes invisibles, allant jusqu'aux auto-mutilations dues aux désespoir de ces femmes livrées à la sauvagerie de familles dont le gouvernement sur le sol de ce pays n'est français, mais intégriste musulman..L'on ne peut plus accepter que la démocratisation de la médecine ici, psychiatrique, banalise l'usage de la torture dans les cas de détermination du degré de conscience d'une personne livrée telle prisonière, être femme française dans ces familles, jugé péché mortel, la liberté de conscience violée sans façon, délit d'opinion tabou aux yeux d'une politique française dotée d'une science médicale de camp d'internement  adoubant toute femme musulmane ou française à ce crime contre l'humanité qu'est la torture ad mortem des défenseurs de la libre pensée, s'imposant des statuts dictés par  le dictat, propagé de mère en filles. Être une femme dans ces cas, délit d'opinion;
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